15. TEN

Je toque chez James et il m'ouvre avant de froncer les sourcils. 

- Ten ? Qu'est-ce que tu fais là ? Il demande surpris. T'es encore venu me draguer c'est ça ? 

- Non je suis là pour passer aux choses sérieuses. 

J'avance et il ouvre grand les yeux en posant ses mains sur mon torse. 

- James, qu'est-ce que tu fais ? J'entends une voix féminine l'appeler. 

- Rien maman. Il dit. Pas maintenant, je suis pas seul. Il chuchote. 

- Laisse moi entrer, j'aimerai trop rencontrer ma future belle mère. 

Il rougit et je souris. 

- Euh maman ? En fait j'ai un devoir à finir. Je vais pas pouvoir manger avec toi désolé. 

- D'accord mon fils. Je te garde une assiette de côté ! 

Il me fait signe de ne faire aucun bruit et me tire à l'étage. Une fois dans sa chambre, il ferme la porte à clefs. J'ai à peine le temps de retirer ma veste qu'il me saute dessus pour m'embrasser. J'hausse les sourcils surpris mais je ne m'en plains pas. Ses mains me poussent et je tombe assis sur son lit. Il monte à califourchon sur moi et retire son t-shirt avant de m'embrasser fougueusement de nouveau. Mes mains commencent à explorer son corps alors que je le sens frissonner sous mon toucher. Je souris et il retire mon débardeur avant de s'attaquer à mon cou, ses mains dans mes cheveux. Je ferme les yeux, laissant le plaisir m'envahir. Il venait de trouver mon point sensible. 
Mes mains descendent plus bas et il soupire. 

- Je savais pas que t'allais me sauter dessus comme ça... 

- C'est un reproche ? Il demande à mon oreille et je me mords la lèvre. 

- Si tu continues comme ça. C'est toi qui va me faire des reproches demain. 

- Tu parles beaucoup je trouve. 

Je lâche un rire avant de le renverser sur le lit. A mon tour de lui montrer ce que je peux faire. 

J'embrasse son cou, mordille tandis que ses soupirs sont comme une mélodie pour mes oreilles. Je descends jusqu'à ses clavicules, puis son torse. Son dos se cambre alors que je souris. Il avait l'air si frêle entre mes mains que j'aurai peur de lui casser quelque chose. Je descends jusqu'en bas et lui enlève son pantalon avant de faire de même avec le mien. Je reviens au dessus de lui, entre ses jambes alors qu'il me regarde avec envie. 

- T'a une capote ? 

Il ouvre le tiroir de sa table de nuit et m'en donne une. Je l'ouvre en m'aidant de mes dents tandis qu'il baisse mon boxer. Je l'envoie valser et il fait de même avec le sien. Ma main glisse le long de ses fesses et il grimace avant de soupirer. Je le regarde attentif et décide de lui donner un autre coup de main un peu plus haut. 

Sa poitrine se soulève irrégulièrement et ses gémissements qu'il tente de retenir passent quand même la frontière de ses lèvres, le rendant dix fois plus sexy. 

- Deux c'est assez ou il en faut trois ? 

- Trois. Il dit hâtivement, à bout de souffle. 

Mon ventre se retourne et je dois prendre une seconde pour me calmer et ne pas y aller trop fort. Il serre la mâchoire mais je ne vois que du plaisir sur son visage. Mon désir augmente de plus en plus et après quelques secondes, je retire mes doigts. Il me regarde frustré et je souris en repoussant ses cheveux en arrière. 

- Attends une petite seconde, je ne veux pas te faire mal. 

- Dépêche toi, j'en peux plus. Il demande d'un air suppliant. 

Je me positionne et j'y vais doucement tandis qu'il se crispe. 

- James, détends toi... 

Je continue lentement alors que ses jambes se referment dans mon dos, me pressant un peu plus. Il soupire, essayant de ne pas faire trop de bruit. Je commence à onduler les hanches, un peu trop doucement à son goût. 

- Ten, si tu continues comme ça, j'vais le faire moi même. 

- Très bien. 

J'accélère la cadence et il s'accroche à moi, répétant mon nom, à m'en faire perdre la tête. C'était bon. C'était trop bon. 

J'accélère encore, nos gémissements faisaient échos avec nos souffles saccadés et le grincement du sommier. Je mordille de nouveau son cou, lui arrachant un petit cri tandis que j'accélère encore. 

- Ten, je... Je vais... Il ne peut finir sa phrase, n'arrivant plus à respirer. 

- Vas-y... 

Je l'embrasse, descendant une de mes mains pour l'aider. Ses ongles se plantent dans mon dos et je me redresse pour trouver un autre angle. Il pousse des cris plus aiguës, me signalant que j'ai trouvé sa prostate. Il pousse un cri plus fort, s'agrippant aux draps. J'atteins l'orgasme moi aussi avant de m'écrouler sur lui. 

Je reprends mon souffle en tombant sur le côté. Il se tourne vers moi, les joues empourprées, le souffle court. 

- C'était génial. 

- Ouais, ça l'était vraiment. Je souris. 

On se regarde dans les yeux et il vient m'embrasser encore une fois avant de se blottir contre moi. Je remonte la couverture sur nous et le serre contre moi en lui embrassant le front. 

- Maintenant... T'es à moi. Sourit James. 

Je pouffe de rire. 

- Très bien. 

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