You Saved Me
Joshua Kimmich x Paulo Dybala
J'attends vos commentaires
avec impatience 🙂
Marchant dans les rues de Munich, Joshua observe ce qui l'entoure. Les décorations de Noël ornent chaque murs, chaque maisons et appartements. Les lumières colorent la ville d'une douceur incroyable et pourtant, il n'arrive pas à se sentir heureux. Tout va pour le mieux dans sa vie. Il a une famille aimante, des amis qui lui apportent soutient et amour, une passion qui lui permet de vivre convenablement. Et pourtant.
Joshua ne se sens plus vivant. Il a l'impression qu'il lui manque quelque chose mais il ne parvient pas à mettre de nom dessus. Un trou béant qui s'agrandit de jour en jour.
La ville se plonge dans la pénombre et ce vide en lui devient de plus en plus insoutenable. Le blond ne sais plus comment vivre sans le ressentir. Est-ce les fêtes ou sa vie qui dérape, il ne le sait pas mais ce qui est sûr c'est qu'il ne ressens plus la magie de Noël ni la joie qu'elle apporte. Ce n'est plus qu'un jour comme un autre.
Certain dirait qu'il sombre dans une dépression, et peut être est-ce la vérité. Lui, il pense juste que sa vie ne lui apportera rien de plus.
Déambulant à travers les ruelles qu'il connait maintenant par cœur, Le joueur du Bayern arrive rapidement au Wittelsbacherbrücke. Le blond aimait énormément se promener, en été, sur les rives de l'Isar mais aujourd'hui, il avait l'impression que la situation allait prendre une autre tournure. Fini la joie et les rires. Qu'elle ironie.
Joshua a toujours trouvé ce pont magnifique. Il le traverse et passe sur le côté pour s'asseoir sur un banc, sous un des plus grands arbres de la rive.
Il ferme les yeux et se laisse bercer par le son de l'eau dont le courant semble rapide. Personne ne le remarque et il en est bien content. Lorsque le blond relève la tête, il aperçoit juste au dessus de lui, les branches de l'arbre qui l'abrite, recouvertes d'une légère couche de neige fraîche. Un manteau blanc avait enveloppé la ville dès le début de la semaine, ce qui rendait heureux beaucoup d'habitants ici. Que serait Noël sans neige après tout ?
Un soupir traversa ses lèvres alors qu'il luttait pour ne pas pleurer. Il n'avait plus goût à la vie, plus rien ne le touchait et c'était dur à encaisser.
Il se leva et se dirigea vers la balustrade. Après un moment de doute, à regarder l'Isar déchaînée, il se décida à enjamber la protection de métal. Après tout, qui le regretterait ?
Alors qu'il fermait les yeux, les larmes dévalant ses joues rouges, son portable sonna. Il laissa passer l'appel, n'ayant plus la force mais son interlocuteur n'était pas du même avis.
Joshua attrapa alors son Iphone avec rage avant de décrocher.
« Hey, calme toi petit coeur, je ne savais pas que j'allais te déranger en t'appelant, rit doucement Paulo. »
Il se détendit en entendant la douce voix de son meilleur ami. D'autres larmes s'échappèrent alors qu'il restait silencieux, ce qui inquiéta l'argentin.
« Josh, tu vas bien ?
- Je... Oui ça va, sanglota le blond. »
Il se maudit de paraître si faible. Paulo allait sans doute s'inquiéter et c'était la dernière chose que Joshua voulait.
« Ne me mens bébé, qu'est-ce qu'il se passe ?, demanda le plus âgé.
- Un petit coup de blues, rien d'important, articula-t-il difficilement. »
L'argentin souffla devant son obstination à lui mentir mais n'ajouta rien de plus sur ce sujet.
« Bien, de toute façon j'arriverai à savoir tôt ou tard Joshy. En attendant, t'es libre pendant la trêve ou tu passes tes vacances avec tes parents ?, demanda doucement le joueur de la Juve.
- Hum... Ils sont partit en voyage tous les deux pour passer les fêtes tranquillement.
- Donc tu es seul ?
- Oui mais-
- Alors tu viens à la maison! Mes parents viennent mais mes frères ne sont pas dispos et tu sais combien ma mère t'adore. Et puis, tu pourras rester pour le Nouvel An, ça me ferait tellement plaisir de t'avoir pour toutes les vacances, dis ouiiiiii, débita rapidement l'attaquant.
- Je ne sais pas, je n'ai pas envie de déranger et puis j'ai prévu un truc seul...
- Tu ne me dérangeras jamais joli cœur et il est hors de question que tu restes à Munich, sans personne, affirma Paulo. »
Passer deux semaines avec son meilleur ami ? Et, ce qu'il avait voulu faire ici, à Munich ? Il fût couper dans ses pensées par l'argentin qui le suppliait.
« Je crois ne pas vraiment avoir le choix non ?
- J'osais pas te le dire mais vu que t'en parle, rit son interlocuteur alors qu'un sourire prenait doucement place sur ses lèvres. Alors, ça veut dire oui ?
- Ouais, je viendrai.
- Super ! Je te fais de gros bisous mon p'tit bébé et on se voit dans quelques jours ! »
Il répondit rapidement avant de raccrocher, encore un sourire aux lèvres. Paulo était la seule personne sur cette foutue terre à le rendre vivant. Il n'avait pourtant pas besoin de faire des efforts, juste être lui.
Joshua regarda une dernière fois la rivière qu'il avait voulu rejoindre plus tôt et ré-enjamba la balustrade. Il y avait l'argentin dans sa vie, il ne pouvait pas lui faire ça.
__________________
Samedi 21 décembre. Joshua venait tout juste de descendre de l'avion et il arpentait déjà l'aéroport qu'il commençait à bien connaître.
« T'as p'tite tête m'avait manqué blondie, entendit-il derrière lui. »
Il se retourna et observa longuement celui qui venait de lui parler avant qu'un sourire en coin ne viennent étirer ses lèvres. Paulo ouvrit ses bras et, rapidement, l'allemand vint s'y réfugier. Le câlin dura plusieurs minutes sans qu'aucun des deux amis ne s'en lasse.
« Tu as fait bon voyage joli coeur ?, demanda le plus vieux en relevant le menton du blond de la main droite.
- Ouais mais je suis crevée là, répondit le joueur du Bayern et rougissant de la proximité qu'avait leur deux corps. »
L'argentin sourit puis se détacha de lui avant de lui faire signe de le suivre.
Le trajet s'était fait dans la bonne humeur et Joshua devait l'avouer, il n'avait pas autant rit depuis longtemps. Il regardait tendrement Paulo, un sourire un peu niais aux lèvres quand celui-ci le remarqua.
« Je sais que je suis beau, joli cœur, mais là tu baves, rit l'argentin en lui faisant un clin d'œil.
- Tu as trop prit la confiance liebe, je trouves que le Portugais te déteint un peu trop dessus, répondit le blond du tac-au-tac.»
Paulo, très mature, lui tira la langue avant de se reconcentrer sur la route.
À peine arrivé chez son meilleur ami, Joshua se dirigea vers la chambre qu'il occupait à chaque fois qu'il faisait un séjour en Italie et se jeta sur le lit, la tête la première dans la tonne de coussin que lui avait préparé l'argentin.
« Surtout fais comme chez toi blondie, ricanna le joueur de la Juve.
- T'en fais pas pour ça Paulito !
- Arrêtes de m'appeler comme ça, tu sais bien que j'aime pas, cria Paulo avant de se jeter sur lui pour lui faire des chatouilles. »
S'en suivit alors une bataille de coussins et des chamailleries qui permirent aux deux jeunes hommes de décompresser de cette d'année très rythmé.
Alors que Joshua, à genoux sur le lit, tenter désespérément de prendre l'avantage sur son vis-à-vis, Paulo le déséquilibra et s'allongea de tout son long sur lui, l'empêchant de bouger. L'allemand admit qu'il venait de perdre mais cela ne fit quand même pas bouger le brun. Ce dernier, toujours étalé sur son meilleur ami, prit appui sur ses coudes pour observer le visage du blond.
« Est-ce que tu es prêt à me dire ce qui n'allait pas l'autre jour ?, demanda-t-il quelques minutes plus tard.»
Joshua détourna la tête pour ne pas qu'il voit les larmes perler aux coins de ses yeux. Paulo se decala de lui et l'attira dans ses bras, s'échangent leurs positions.
«Je vois bien que depuis quelques temps c'est difficile pour toi, que ça ne va pas. Alors parles moi bébé, j'aime pas te savoir mal surtout quand tu es loin de moi.»
Le blond enfouit sa tête dans le cou de l'argentin, réfléchissant à ce qu'il pouvait lui dire. S'il lui avouait l'acte irréparable qu'il avait voulu commettre, Paulo allait lui en vouloir et ça le ferait souffrir. Peut être qu'un jour il aurait la force de lui en parler mais ce n'était pas aujourd'hui.
«Tout ce que je peux te dire, c'est que tu m'as sauvé et que tu me fais revivre, merci Paulo, murmura le blond avant de s'endormir.»
_______________________
Assis autour de la table, en cette soirée du 24 décembre, les discutions entre les parents de Paulo et les deux footballeurs vont bon train.
« Mais dis-moi Josh, tu as une petite mine et tu ne manges pas beaucoup, tu es sûr que tout va bien ?, demanda la mère de son ami, légèrement inquiète.
- Oui oui, ne vous en faites pas, c'est juste qu'avec la pression qu'on nous met, je perds un peu l'appétit mais tout va s'arranger, sourit le blond.
- Ce métier va vous tuer les enfants, il vous faut prendre soin de vous un peu !
- C'est pas comme si on était à plaindre non plus maman, ne t'en fais pas, ajouta l'argentin. Quelqu'un reprendra de la dinde ? Non ? Personne ? Pourtant elle n'était pas si mauvaise que ça ? »
Le père de Paulo détourna le regard lorsque son fils posa la question. Non elle n'était pas mauvaise mais si elle avait été moins cuite, elle aurait pu être appréciée à sa juste valeur disons. Le joueur de la Juve se leva pour ramener le plat de viande à la cuisine alors que Joshua le suivit avec celui des légumes. Ils les déposèrent sur le comptoir avant que l'allemand ne sorte la bûche du frigo. Alors qu'il réajustait un petit père Noël qui tentait de prendre la fuite, deux mains se posèrent sur ses hanches et un souffle chaud vint lui caresser la nuque. Il frissonna à ce doux contact en fermant les yeux.
« C'est vrai qu'elle n'a pas tord joli cœur, tu devrais manger un peu plus. Mais t'inquiète pas, un séjour chez moi et tu seras prêt à attaquer la nouvelle année comme il se doit, chuchota Paulo avant de déposer un léger baiser dans son cou. »
L'argentin récupéra le gâteau et se dirigea vers la salle à manger tout en sifflottant alors que le blond reprenait ses esprits, tenant fermement le rebord du plan de travail pour ne pas vaciller. Jamais il n'avait prit en compte la proximité de son ami mais là, le moindre rapprochement, le moindre surnom affectueux le rendait faible et fleur bleue. Il fallait qu'il remédie à ça et rapidement. Il rejoignit quelques minutes plus tard la famille sud américaine et ils finirent le repas dans la bonne humeur.
L'heure d'ouvrir les cadeaux était enfin arrivée ! Paulo était excité comme une puce faisant rire l'allemand. Ce dernier avait l'habitude de les ouvrir le 25 au matin mais il fit une exception, surtout quand l'argentin lui fit ses yeux de chien battu, auxquels il ne pouvait résister.
Assis autour du sapin, sur les canapés et fauteuils, chacun ouvrait leurs présents en ajoutant parfois quelques petits commentaires, sous les yeux des trois autres convives.
Lorsque Joshua ouvrit le sien, ses yeux s'illuminèrent. Il s'agissait d'un appareil photo, dernier cri. Seul Paulo savait à quel point le blond aimait prendre des clichés du monde qui l'entourait, comme pour se rappeler à quel point il le trouvait beau, à cet instant précis.
L'allemand lança un sourire franc à son meilleur ami, en secouant la tête.
La soirée se prolongea jusqu'à deux heures du matin, et c'est fatigués mais heureux que les quatre personnes rejoignirent leur chambre.
Avant qu'il ne rentre dans la sienne, Joshua interpella l'argentin.
« Merci infiniment Paulo, lui dit-il sourire aux lèvres.
- Je suis vraiment content que ça t'ait fait plaisir, j'aime te voir sourire comme tu l'as fait tout à l'heure, répondit son ami alors que le blond rougissait. Et puis, mon cadeau n'est vraiment pas à la hauteur par rapport au tien !
- Dis pas n'importe quoi, c'était parfait.»
Les deux jeunes hommes se regardèrent durant quelques secondes, sans bouger, un sourire étirant leur lèvres. C'est Joshua qui baissa les yeux en premier sous le rire mélodieux de Paulo. Ce dernier le prit dans ses bras et lui souhaita de passer une bonne nuit, tout en embrassant sa joue rougie.
Cette nuit là, le blond ne fit aucun cauchemars, juste le plus beau des rêves, avoir auprès de lui la personne qu'il aimait tant.
___________________
Paulo était pénible. Il l'avait tanné pendant des heures pour qu'il accepte de l'accompagner à la soirée du Nouvel An de Matuidi. Et bien entendu il y avait tout son club.
Lorsqu'ils étaient arrivés, l'argentin l'avait délaissé pour aller discuter avec ses coéquipiers. L'allemand s'était donc retrouvé seul, au milieu du salon, sans vraiment connaître et apprécier les gens qui l'entouraient. Il soupira puis se dirigea vers la table qui faisait office de bar et se servit de la sangria.
Une femme arrive vers lui et lui sourit avant d'entamer la conversation.
« Bonsoir, tu dois être Joshua ? demanda-t-elle en lui faisant la bise, tandis qu'il hocha la tête. Je suis Isabelle, la femme de Blaise. Je suis vraiment ravie de te rencontrer ! Paulo n'arrête pas de parler de toi, debita la jeune femme rapidement et sous les regards d'incompréhension de l'allemand elle rajouta, en bien ne t'inquiète pas ! Et parfois, crois-moi, on a l'impression que vous êtes en couple !, s'exclama la brune en riant. »
Joshua lui sourit avant de détourner son regard sur l'argentin. Alors comme ça il parlait de lui à ses amis ? Un sentiment de bien-être l'envahit alors qu'il continua à discuter avec la femme du français tout en sirotant son verre de sangria.
Plus tard dans la soirée, alors que pas mal de joueurs étaient ivres, le blond se rapprocha de Paulo qui discutait avec un de ses coéquipiers et l'enlaça, posant sa tête contre son dos, entrelaçant ses doigts à ceux de son ami. L'autre joueur de la Juve sourit devant le tableau et fit un clin d'œil à l'argentin avant de s'éclipser pour les laisser profiter de leur soirée.
« Tu m'as laissé tout seul, râla Joshua.
- Excuse moi bébé, tu as au moins pu rencontrer mes coéquipiers comme ça, tenta le brun.
- Mouais. »
Paulo rit franchement avant de se défaire de l'étreinte de son ami et de se retourner pour le prendre dans ses bras, dansant lentement sur la musique latine qui passait à cet instant.
« Tu m'achèteras pas avec une danse, Paulito, sourit le blond, un air de défi dans le regard.
- Tu ne paies rien pour attendre joli cœur, répondit Paulo sur le même ton. »
Les deux amis s'échangent un regard avant d'exploser de rire, faisant retourner plusieurs personnes. L'argentin prit la main du blond et l'entraînna à l'extérieur. Rapidement, ils se retrouvèrent sous le gazébo en bambou qui se trouvait au fond du jardin, de là, ils avaient une vue magnifique sur la ville et ne pourrait pas louper le feu d'artifice.
(Pour celles qui ne savent pas, comme moi, ce qu'est un gazébo, enfin j'avais l'image mais pas le nom, le voici :
Je trouve ça vraiment beau !)
« On va râter le compte à rebours avec les autres en restant ici, sortit rapidement l'allemand en pointant du doigt la maison.
- Pas grave et puis on peut le faire que tous les deux, à part si ça te gêne bien entendu, ricana le plus vieux, faisant sourire son ami.
- À ça, jamais ! »
Ils se regardèrent longtemps dans les yeux comme hypnotisés mais, alors qu'ils rapprochaient dangereusement leur visage, ils furent couper par des cris, ressemblant à priori, au compte à rebours. Malgré tout, Paulo ne pu se retenir. Il attrapa le visage d'ange de Joshua entre ses doigts et lorsque le zéro fut hurlé avec joie dans la maison, il déposa ses lèvres sur celles du plus jeune. S'en suivit une danse endiablé, les mains du blond s'accrochèrent à la chemise de l'argentin qui intensifia le baiser. Seul le magnifique feu d'artifice était, à cet instant, témoin de leur amour.
À bout de souffle, il s'écartèrent l'un de l'autre mais leurs mains ne tardèrent pas à se rejoindre.
« Je t'aime Joshy, murmura le joueur de la Juve et collant son front contre celui du blond. »
Pour seule réponse, l'allemand le réembrassa, passant ses mains dans sa nuque pour le rapprocher encore plus. Ils étaient bien, là.
Le lendemain matin, c'est Joshua qui se réveilla le premier. Un bras encerclait sa taille et le maintenait contre un torse chaud. Il sourit avant d'embrasser la main de l'attaquant et de se libérer de son emprise après avoir remarqué qu'il dormait toujours.
La soirée avait été plutôt courte pour le jeune couple. Ils étaient rentrés chez l'argentin vers trois heure du matin et Paulo avait insisté pour qu'il dorme avec lui, ce que bien entendu, il n'avait pu refuser. Ils se sont embrassés et câlinés avant de sombrer dans un profond sommeil.
Joshua se leva et sourit devant l'air enfantin que prenait son petit-ami en dormant. Puis il repensa à la fin d'année qu'il avait vécu et l'acte qu'il avait voulu commettre. Qu'elle belle connerie il avait faillit faire. Il n'aurait sans doute jamais connu ce bonheur. Une larme roula sur la joue du blond mais il vint rapidement l'essuyer, il était heureux maintenant.
Il partit rapidement dans sa chambre pour récupérer son appareil puis revint dans le lit de l'argentin.
Durant plusieurs minutes il le photographia en plein sommeil, le trouvant beaucoup trop mignon pour son propre bien.
Puis Paulo commença à bouger et quand il ouvrit les yeux il fit face à l'appareil photo de son chéri.
« T'es pire qu'un gosse Joshy, rit-il, sa voix rauque du matin faisant fondre le blond.
- Tu étais beaucoup trop mignon endormis.
- Parce que là, je ne le suis plus peut être ?, s'indigna le plus âgé.
- Ça dépend comment on le voit, sourit l'allemand avant qu'il ne reçoive un oreiller en pleine figure.
- Premier jour de l'année et tu commence comme ça, tu vas mal finir joli cœur. »
L'argentin lui piqua son appareil et le déposa précautionneusement au sol avant de grimper sur son petit-ami et de lui coincer les bras au dessus de sa tête.
« Ah ! Tu fais moins le malin là !, s'écria l'argentin assis sur le bassin du blond »
Pour toute réponse, l'allemand lui tira la langue. L'attaquant de la juve en profita alors pour l'embrasser, provoquant un hoquet de surprise chez son petit-ami.
Lorsqu'il se releva, fier de lui, il regarda amoureseument le blond sous lui.
« Si tu savais à quel point je t'aime Josh, murmura l'argentin. »
Le plus jeune se releva tant bien que mal et embrassa sauvagement le brun. Puis, lorsqu'il furent à bout de souffle, le blond retomba lourdement sur son oreiller et sourit.
« Je t'aime bien plus Paulo. »
_______
Woaaah! Enfin fini !
C'est bien la première fois que j'en fais un d'aussi long je crois.
J'étais inspirée.
Tout d'abord, Bonne Année à toutes, j'espère qu'elle vous sera bénéfique.
Je tiens à m'excuser de mon absence mais la fin d'année n'a pas été très facile pour moi.
Je ne sais pas si ce n'était que moi mais je n'ai pas ressentis l'esprit de Noël, ni des fêtes de fin d'année ces derniers mois.
Peut être n'étais-je pas la seule ?
Mais passons.
Cet OS vous a-t-il plû ?
J'ai mis plusieurs jours à l'écrire, je l'avoue et j'espère qu'il est à la hauteur de vos attentes.
N'hésitez pas à donner vos avis en commentaires, ça fait toujours plaisir.
Encore désolée de la longueur.
Cela peut déranger certaines personnes quand c'est trop long, donc si vous en voulez de plus courts, je m'adapterai !
Je vous fais de gros bisous et encore Bonne Année.
❤️❤️❤️
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top