Riri's Bizarre Adventure, ou deux formidables nouvelles de Riri !

~Rendez-vous Bollywoodien~

– ...Ęt łà, cēt įmbécīłę dē Įnk débårqūę ãū mømęnt mêmē øù j'ållãįs ēffåcęr łēs cødęs dē cęt ūnįvērs pãthétīqūę ! J'åppūįe sūr łę bøūtøn "ĒFFÅCĘR" ēt åvãnt mêmę qūę çã fåssę ēffęt įł dīspårãît dåns mēs mãīns ! Cømmę çà, pøūf ! C'ęst łà qūę j'åį ręmãrqūé qūę ł'âmē dę ł'hūmåįn qūę jē tęnãīs dåns mēs fįłs åvãįt dīspårūę ! Ję n'åī pãs ęū łē tęmps dē łå chęrchēr qūę j'åį rēçu ūn cøūp dē pįncęåū dåns łēs gęncīves. Łe pøt dę pēįntūrę l'åvãįt lībéréę ēt łę mīøchę å rēprįs łē cøntrôłē dę łå Tįmēłįne, BĪM, ūn Ręsēt, ęt tøūt møn tråvãįł ręmīs à zérø ! Møį quī åvãįt tøūt dønné pøūr cę Génøcīdę ! Frånchęmēnt, c'ęst trøp įnjūstę, tū nē pęnsēs pås ?

– S'il vous plaît, je peux rentrer chez moi...?

Tu tires sur les câbles lisses d'un bleu électrique qui lient tes poignets. Tu serres les dents, car cela n'a d'effet que de les inciser plus profondément dans ta peau. Tu essaies de trouver une position confortable sur le pouf, mais les bras maintenus à ce qui n'est pas vraiment un plafond depuis des heures, tu peines à se détendre. Tu commences à avoir des crampes aux omoplates, et tes prunelles piquent un peu, même si tu te forces à les caler sur les orbites tricolores du squelette à ta droite pour ne pas les brûler sur l'étendue blanche du décors aussi aveuglant d'une plaine enneigée en plein jour.

– Qūånd tū cømmęncērãs à m'ęnnūyęr, décide le prénommé Error, exprimant un rictus en tirant légèrement sur son "entresecret", ce qui te rapproche de lui dans un soubresaut. Tū ęs må nøūvęlłe mårįønnettē, ęt tū ręstērãs ēn må cømpãgnįē tånt qūę jē łę décįdē.

Il n'a pas été dur pour toi de retenir un nom qui est marqué partout sur son porteur. Et quel drôle de porteur, d'ailleurs ! Tu as vraiment dû tomber sur un haut perché de niveau céleste. Son visage est celui d'un enfant, l'ampleur de ses paroles celle d'un lunatique. Pourquoi, mais pourquoi au nom de tous les dieux de toutes les religions faut-il toujours que tu tombes sur ce genre de volatiles ?

Tu avais pris l'initiative de venir à une soirée dont avait parlé l'un de tes potes, ce genre de party's nocturnes que les étudiants de ton âge organisent chaque semaine où personne ne se connaît. Toi qui n'a jamais osé participer à ces sortes de jungles, tu as regardé ta triste vie sociale droit dans les yeux et tu t'es dit que tu allais enfin expérimenter toutes ces choses, les relations humaines, les karaokés cringe, la drague, tout ça. Tu as fait l'effort de mettre une belle robe rouge et tu t'es jetée à l'eau. Mais encore une fois, rien n'y a fait. Tu t'es emmerdée, tu t'es sentie différente, tu n'as trouvé personne d'intéressant. Tu t'es donc enfuie dans la rue, respirer un peu d'air frais. Et tu l'as rencontré. Ce n'est pas évident de discerner l'âge chez les monstres, encore moins chez les squelettes, mais il t'a semblée jeune. Il était esseulé, il était disgracieux, il était glitché, il était décousu, il avait un trouble du balbisme, il était fascinant. Tu l'as abordé, et bien que timide au début, il a fini par délier sa langue et vous avez papoté pendant un bon moment. Et maintenant te voilà.

Pourquoi faut-il toujours que seuls les excentriques t'attirent ? Tu ne pouvais pas te laisser appeler par quelqu'un de normal pour une fois ? D'accord, les gens normaux sont chiants, mais au moins ils ne risquent pas de te séquestrer pour te parler de leur vie de... Destructeur ?

C'est la dernière fois que tu essaies de sociabiliser avec un garçon. Promis, si tu t'en sors vivante, tu deviens ermite ou bonne sœur.

– Écoutez, tu bafouilles, un peu effrayée bien que rien ne le laissait supposer des sauts d'humeur de sa part jusqu'à présent. Je ne sais pas ce que notre échange vous a fait imaginer, mais...

– Hēįn ? Tū crøįs qūę jē t'åį chøīsįe pãrcē qūę tū ęs åmøūręūsē dę møį ? Qūę vãs-tū t'įnvēntęr, vøyøns ! ricane-t-il nerveusement en balançant sa main.

– Mais je ne suis pas amoureuse de t...

– Jē mę fåįsãīs chįēr ęt tū tę trøūvåįs sūr møn chęmīn, cę n'ēst qūę dū håsãrd !

– Merde, j'ai juste dit que j'aimais bien ton écharpe !

– Dū håsãrd, j'åį dīt !

Son sourire dépourvu de lèvres s'étire jusqu'à ses temporaux dans une colère sourde, et ses orbites déployées rouges luminescentes te font penser à une horrible citrouille d'Halloween. Il t'approche de lui plus fort encore, son défaut de prononciation s'accentuant alors qu'il prend une voix à glacer le sang.

– Tū n'ęs qū'ūn stū-ū-ūpįdē jøūęt à mēs yęūx, ūnę détēståbłę ãnømåłįē à qūį jē fåįs ł'hø-ø-ønnęūr dę prøfītęr dē mã présęncē... Tū nē våux rįēn dę płūs qū'ūn dįvērtīssęmēnt ęt jē fåįs dę tøī cę qūį mē chåntę !

Les câbles se desserrent, d'autres s'ajoutent afin d'enrouler tes bras, tes chevilles, ton cou. Tu es jetée par terre, puis réexpédiée en arrière, les fesses sur le sol immatériel et le crâne entre ses genoux. Exprimant un ricanement maléfique, il sort un peigne de sa manche et commence à le passer entre tes racines capillaires.

– ÅHÃHÅHÃHÅHÃ c'ęst ēncørę mīęux åvęc dē vråīs chēvęūx !!

Étrangement, le massage est presque agréable, si on oublie tout le contexte. Il ne fait pas mal, ses gestes sont précis et doux, comme s'il mettait vraiment du sérieux dans son ouvrage. Et puis, tu n'es plus à moitié suspendue, les fils sont lâches, de quoi t'asseoir convenablement. Tu n'oses pas chercher à trouver quelque rationalité là-dedans, tout ce que tu constates c'est qu'il a franchement l'air de kiffer ce qu'il est en train de faire. À ce moment, une brèche s'ouvre devant vous, la même qu'il a utilisé pour te faire venir ici. À moins que ce ne soit une télé... invisible... très originale ? On dirait un vieux feuilleton avec des voix hyperbolées, des musiques crépitantes et une mise en scène un peu kitch. C'est de l'espagnol ? Tu ne comprends qu'un mot sur dix.

La seule chose que tu as saisi et la plus évidente, c'est que cela met en scène une histoire d'adultère et de deux amants, l'un ressemblant assez à Error dans la silhouette, et l'autre une grande et belle créature de type caprine à l'habit flamboyant. Troublée par cette situation totalement braque, tu ne réalises que très tard que cette robe ressemble énormément à celle que tu portes actuellement. Tu sens tes tripes se compresser inexorablement.

De longues minutes se sont écoulées. Les actions d'Error s'alentissent, son sifflement jovial disparaît, et l'on n'entend plus que le ballet des cordes pendant que le duo ne communiquent plus que par le blanc des yeux. Il a fini de te coiffer, plus aucun nœud ne sillonne ton cuire chevelu. Tu ouïes au-dessus de toi le son d'une brèche qui s'ouvre, et la seconde d'après, il passe quelque chose sur ta tête. Tu palpes, c'est une fleur. Une azalée, tu le sais car c'est celle qu'arbore la dame chèvre à cet endroit.

– Euh... Tu...?

– Chūt.

Ce n'était pas rude, mais si solennel et contrasté avec l'engouement juvénile dont il faisait preuve jusque là que cela te cloue le bec.

La mélodie est douce, désinvolte, se propage en toi porté par le sang qui coule de tes veines, comme si tu n'étais toi-même plus réelle, mais un personnage du show. La dame chèvre démarre une danse dans un passage musical. Sans la quitter des yeux une seule seconde, Error manie ses fils. Tu es mutée à côté du poste de télévision, reproduisant parfaitement la démonstration. Ton corps de chiffon devient indépendant de ton âme, ta conscience est en suspend, tu n'observes plus que la douce mélancolie qui s'anime de ce néant de solitude, objet d'une représentation d'un théâtre tragique.

Le petit homme squelettique dans le feuilleton admire sa dulcinée avec fascination. Il se lève de sa chaise et tend les bras vers elle, le buste droit, les pas jonglant avec le parquet lustré, cadencé. Les deux amants se tournent autour au gré des violons et des castagnettes. Leurs styles de danse se heurtent, puis se mêlent et finissent par s'harmoniser. Des rires percent à travers la portée, quand les corps défient toute gravité, s'effondrant puis se rattrapant par la taille, se glissant sous le coude d'un autre avant de tourbillonner telle une envolée de samares d'érable. Leur danse dure quelques secondes, une minute, une heure, qui peut savoir ? Le temps n'existe pas là où ils sont. Ce qui est sûr, c'est qu'il existe un instant où la musique doit s'arrêter.

Error, dans des tremblements impulsifs, lâche lentement tes mains en les ramenant à son pull. Il rompt votre contact en se soustrayant d'un pas, appréhensif.

– ... C'ęst vråī qūę t'åīmęs bįēn møn échãrpę ?

– ...euh..

Il émet un gloussement en inclinant sa tête sur le côté, approchant sa cavité nasale à deux centimètres de ton nez.

– Jē n'ãį prēsqūę pås ęnvīe dę tē tūęr tøī ęt tøūs cęūx à qūį tū tįēns~ ! Tū ręntrērås chēz tøį ēt tū vįvrãs tå mįséråbłę pētitę vīę dē głįtch ēn påįx, c'ēst prømįs ! Ęnfīn... Jūsqū'à cę qūę jē ręvīennē détrūįre tøn ūnįvērs, évįdēmmęnt.

Tous les câbles qui te ligotaient chutent de tes membres et tu es enfin libre de tes mouvements. Il fait demi-tour et bondit sur son pouf en hissant une dizaine de petites poupées aux aspects similaires avec le petit homme dans la brèche télévision.

– Jē tę présēntę mēs åmīs ? Ålłęz, søīs pãs fårøūchę ! Įłs sønt très sÿmpås.

Il y a des tas de choses auxquelles penser, mais dans ce tohu-bohu, une seule question domine ton esprit.

Qu'est-ce qu'il se serait putain de passé si tu avais opté pour la tunique bleue nocturne au Kilo Shop ?

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~On emmerde Freud ? Allez, on emmerde Freud.~

Le pulpe de tes doigts caresse la surface glaçante du vitrail filtré. La faible lueur du ciel est plus réprimée encore par le teint ocre des carreaux qui te séparent de lui, de l'extérieur, de la liberté. En dépit du fait que, il faut bien l'assumer, rien de ce que tu vois à l'horizon ne semble porter le salut. Pas de soleil qui poudroit ou d'herbe qui verdoit, au-delà la mort, juste la mort.

Un rire grinçant anime une à une chaque vertèbre de ton dos en un frissonnement d'effroi. Un être à la physionomie inhumaine t'observe du coin de l'œil dans l'ombre, allongé sur un large lit festoyé d'oreillers. Les draps se mêlent au bois sombre du dais et une fine couverture de soi rampe à moitié au sol. Tu n'as encore jamais vu pareille bête, à l'aura si anxiogène qu'elle a l'air de se manifester comme l'accumulation de tous les vices de l'Homme. Son timbre est sépulcrale, résonnant, masculin aussi, une précision non négligeable contrairement à ce que l'on peut supposer étant donné que selon toi, rien n'est moins sûr que le genre, si cela est possible, d'une telle créature.

– D'habitude, les damoiselles que j'invite dans ma demeure prennent au moins le temps d'admirer les autres pièces avant de songer à partir... À moins que tu ne te sois pas encore remise de ton délicieux sommeil ?

Tes jambes avachies sur le tapis qui recouvre et réchauffe le sol de la pièce pierreuse sont trop engourdies pour te soulever, et de toute manière tu ne vois pas vraiment où tu pourrais aller. La créature fait tourner dans ses griffes une rose momifiée, sèche, dont la belle couleur rouge a viré au noir de poix.

– Tes mains sont douces pour celles d'une paysane, tout comme ton parfum; vieux parchemin pimenté de sève de pin, mais toujours très suave. Et je suis absolument certain que quand elle n'est pas éraillée par l'angoisse, ta voix l'est tout autant. Je l'imagine d'une volupté lénifiante, légèrement grave, un soprano lyrique, mature, comme celle de quelqu'un qui s'occupe tendrement d'un être plus petit. Dis-moi, angelot, comment t'appelles-tu ?

Tout en elle te prend au dépourvu, si bien que tu ne parviens pas tout de suite à articuler.

– ...iri...

– Mh ?

– Riri...

– Riri, répète-t-elle avec onctuosité. C'est un nom...

Elle se dispose à une inspiration, la bouche en cœur, quand sa figure se fige dans une perplexité déroutée. Elle fronce une arcade désabusée qui, dans toute autre circonstance, t'aurait été vexante.

– ...C'eeeest un nom.

La créature remet la rose à l'intérieur du vase placé sur son chevet et retourne tout son corps vers toi. Son œil affiné te transperce au-dessus d'un rictus malfaisant tandis qu'elle effleure les pétales avec une précaution douteuse. Qu'est-ce que c'est que ce type, bordel ?

– Tu te demandes l'objet de ta présence ici ? Moi, monarque de ce triste tombeau de froid et de ténèbres, avec pour seule compagnie mes fantômes et mes gardes... Je l'avoue, je le confesse, j'ai abominablement besoin d'un peu de chaleur humaine...

Elle se lève du divan, t'approchant comme un prédateur.

– Veux-tu devenir la première et l'unique à parvenir à me consoler ?

Tu te retournes instinctivement vers la grande fenêtre, pétrifiée, hagarde, refusant de lui faire face. La mâchoire chevrotante, tu comprimes une série de hoquets quand la chose passe ses griffes derrière tes cheveux, découvrant ton dos.

– Le monde est à mes pieds, j'ai une armée qui s'ennuie, un pouvoir presque entièrement mien, et cela fait cent cinquante ans que le malheur et la désolation se répand... La peste, la guerre, les pillages, au nez à la barbe de mon imbécile de frère coincé dans sa sépulture de pierre. Je devrais être heureux et prospère, mais je me sens si incomplet... Si seul dans cet immense château... Que me manque-t-il, franchement ? La dernière pomme doré ? Ou sinon une once d'affection ?

Dans un geste brusque, la chose s'effondre sur ses genoux et avachit sa tempe sur ton épaule. Tu retiens un couinement et cela ressort en deux larmes au coin des paupières. Elle fixe le vide dans un léger flou, la mine profondément attristée et toi, tu continues de te concentrer sur les bulles d'air piégées dans les copeaux du vitrail pour contrôler tes spasmes de terreur.

– Je n'ai pas d'image à tenir, personne ne me jugera, et toi tu es si innocente... Oui, c'est vrai, je n'ai jamais été gâté par ma famille, déplore-t-il comme s'il cherchait à attiser ta sympathie, ou bien juste à vider son sac. J'étais le protecteur de mon jumeau et ma mère ne m'avait mis au monde que pour accomplir la tâche ingrate d'un héritage maudit. Elle ne m'adressait la parole que pour me donner des ordres et me critiquer au moindre écart, jamais elle n'a montré un soupçon d'amour pour nous... Pour moi. C'est pour ça que je l'ai tuée et que je garde actuellement sa souche comme un trophée.

Ce n'est pas par courage mais par sidération que tu pivotes les cervicales vers la créature, avec une force saccadée, une vitesse entrecoupée. Vos regards se croisent. Grave erreur. Elle te fait risette et se laisse tomber l'occiput sur tes cuisses, ses phalanges croisées sur son torse.

– Tu sais, elle était très belle, ma mère. Elle était prisonnière au cœur de l'arbre des Sentiments, et quelle ironie, elle semblait n'en posséder aucune. Mais je savais à quoi elle ressemblait, cela s'inscrivait dans mon esprit aussi clairement que pour ses dires cruels.

Ton faciès se déforme par une centaine de grimaces contradictoires esquissées en même temps, fort opposé à l'insouciance de la nostalgie passionnelle que dévoile l'expression de la créature.

– Elle avait plus de chair de la moyenne, juste assez pour que sa silhouette soit d'une parfaite douceur, avec des épaules courbées, des mains rondes et protectrices... Une taille cylindrique un peu réprimée par sa robe, une peau diaphane sous laquelle aucun os ne venait gâcher la délicatesse, et un cou long et souple. Un peu comme toi, en fait.

Elle ne paraît pas porter la moindre importances à tes doigts hissés et crispés. Tu t'étais paralysée, à peine attentive à son langage aussi bien verbal que corporel. Elle mimait ce qu'elle disait à l'instar d'un artiste aliéné.

– Sa sévérité était sans colère, pire, d'une impitoyable neutralité, une véritable reine de marbre. Ses lèvres étaient translucides, son nez petit, et ses larges yeux blancs reflétaient les choses comme des miroirs !

Elle attrape distraitement une mèche de cheveux qui coulait sur ton flanc sans te quitter des yeux.

– J'aurais tant souhaité qu'elle me dorlote et me dise qu'elle m'aime, ne fusse-ce qu'une fois. Ton visage est plus laid que le sien, mais j'aime bien ta chevelure de jais.

Un sourire, tout petit, capricieux et presque innocent, se dessine sur ses dents.

– ...Tu m'caresses la tête ?

C'en est trop. Un cri étranglé jaillit de ta bouche et tu bondis sur tes jambes en repoussant la bête, lui assénant des coups de pied frénétiques dans l'abdomen qui la font se vautrer pitoyablement sur la moquette. Possédée d'épouvante, tu voltiges des talons et te sauves de la pièce en hurlant.

Nightmare se redresse, étourdi. Il se rassoit en tailleur et fait une moue bougonne. Le cou rentré dans ses clavicules, sa main moulant sa joue, il claque des doigts, l'œil au tapis. Les bruitages qui suivent attestent que ses gardes sombres n'ont fait qu'une brochette de la fugitive.

– Pfff... marmonne-t-il, lugubre. Toutes les mêmes...

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Alors, quelle nouvelle des deux était la plus bizarre/malaisante :D ?

J'avais promis que si je sortais des XReader ce serait avec le personnage qui s'appellerait Riri, avec le titre Riri's Bizarre Adventure, et bah voilà xD ! (En plus y'a carrément une scène que j'ai piquée de Jojo's Bizarre Adventure là-dedans, un cookie à qui la reconnaîtra–)

J'ai essayé d'imaginer ce que ça donnerait deux nouvelles XReader en gardant le côté XReader, mais cette fois en apportant quelque chose de nouveaux dans les love interest. Pas de personnages OOC plats dignes d'un Bot de Character.Ai qui tombent amoureux sans aucune raison, mais pas de "sombre réalité mature" ou le personnage est en mode : "Mhmh... Ouais, mais en fait t'es qui ? Hin-in, t'es pas dans ma fiche Canon, dégage, je suis trop sérieux pour perdre mon temps avec un humain banal et sans spécialité !"

...

Ça m'a toujours fait rire l'excuse de «C'est pas logique qu'il tombe amoureux de Riri parce que Riri est un personnage banal qui n'a rien de spécial»

Non, j'avais envie cette fois, expérimenter ce que POURRAIT être vraiment une interaction entre Riri et un Sans Alternatif. Deux personnages, à l'époque où ils sont jeunes et cons, tels que je les vois, et avec un brin d'absurde !

À la revoyure (⁠づ⁠。⁠◕⁠‿⁠‿⁠◕⁠。⁠)⁠づ !

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