Framal #Epilogue

Point de vue Cléo

- Les filles je crois qu'il y a quelques chose qui cloche chez moi, dis-je en m'installant sur le canapé de Sophie. 

- De quoi? me demande Mégane. 

- J'ai passé un super week-end avec Framal c'est vrai, le cadre était parfait, on n'était que tout les deux, et il n'a rien tenter, dis-je déçu. 

- Et toi tu a tenter quelques chose? me demande Sophie. 

- Non, jamais, t'imagine je me fait des films? Je peut préparer ma valise et retourner dans la rue. 

- Tu sais bien, que tu ne retournera pas à la rue, on t'accueil avec plaisir Théo et moi. 

Je leurs ai tout raconter de ma vie passer. Elles sont les seule a savoir, je leurs en ai parler qu'une seule et unique fois. 

- Et puis, je sais de source sûr que Framal craque pour toi. 

Je me retourne vers elle. 

- Je sais pas, dis-je. 

- Ken, m'en a parler aussi, enfaîte pour être clair il est raide dingue de toi, me dit Mégane. 

- Les filles, j'ai peur. 

- Mais pourquoi? Hein, tu ne risque rien, me dit Sophie. 

- Si, de me taper la honte du siècle! 

J'attrape mon verre de coca et le bois. 

- Tu le revoie quand? 

- Demain, il a prévu de passer la nuit au studio. 

- D'accord, alors demain quand il rentre à la maison, tu va le voir et tu lui donne la plus grande pelle au monde, me dit Mégane en rigolant. 

- Ouais avec la langue, rajoute Sophie.

- Oh les filles sérieux! dis-je en rigolant.

- Il ne sait taper personnes depuis qu'il ta rencontrer.

-Si, Camille dis-je en faisant la grimace.

- Elle ce n'ai qu'une salope on s'en fous! rajoute Sophie. 

La soirée continue comme ça. 

Point du vue Framal

- Sérieux frère! Tu attend quoi? me dit Mékra.

- Je n'en sert rien, et si elle me rejetait? 

- Mec jamais de la vie.

Point de vue Cléo

Le lendemain, je vient tout juste de raccrocher avec la banque, je suis un peu sur le cul mais bon, je pense avoir une sérieuse discutions avec Idriss quand il rentrera. 1h00 après, je suis devant la télé, quand j'entends la porte s'ouvrir. Je me lève pour allé l'accueillir. Il a le sourire aux lèvres quand il me voie. 

- Salut, me dit-il.

- Salut, dis-je a mon tour. 

Je le vois poser son sac dans l'entrée, il s'approche de moi et dépose ces lèvres sur ma joue. J'arrête de lui sourire d'un seul coup, je me repasse le coup de téléphone de la banque dans la tête. 

- Qu'est ce qu'il y a? me demande-t-il.

- J'ai reçu un étrange coup de téléphone ce midi. 

- Ah bon? Me demande-t-il.

- Oui, de la banque, dis-je.

- Ah...

Idriss s'en va vers la chambre, je le suis. 

- Tu n'aurai pas quelques chose a me dire? Lui demandais-je.

- Non, enfin je ne sais pas, qu'est ce qu'il ton dit. 

- Il voulais savoir si je voulais rassembler mes deux comptes. Sauf que si je m'en rappel, on n'en n'a ouvert que un, a mon nom. 

Idriss fait la grimasse. 

- Donc je te demande si tu n'avais pas quelques chose a me dire. 

- Cléo... putin ils avait raison... l'argent que tu me donne, je le met sur un compte.. pour toi.

- Idriss, criais-je

- Je sais, tu va m'engueuler, mais je ne peut pas accepter ton argent. 

- Et pourquoi? 

- Cléo, cette argent je n'en ai pas besoin. 

- Et tu me l'aurai dit quand? lui demandais-je.

- Je ne sais pas, mais ne m'en veut pas s'il te plaît. 

Je souffle et retourne vers le salon. 

- Cléo attend. 

- Idriss sérieux! Qu'est ce que je peut faire pour tu accepte quelque chose de moi? 

- J'arrive pas a accepter que tu me donne de l'argent. 

Je me retourne vers lui et lui jette un coussin. 

- Je ne sais pas quoi faire avec toi! Sérieux mec! 

- Mec? Tu m'appel mec maintenant?!

Je m'approche de lui et tape avec mes mains sur son torse. Il me les attrapent en souriant. 

- Non mais je suis sérieuse! 

Je me débat, mais rien n'y fait. Nous nous chamaillons comme des gamins, sans le comprendre nous sommes tout les deux allonger sur le sol. Nous nous mettons a rire. 

- Tu sais, je ne veut plus que tu me cache des trucs comme ça, lui dis-je.

- D'accord. 

Nous tournons nos têtes l'un vers l'autre, aucun de nous ne parle. Il s'approche un peu et me dépose un baiser sur la joue, lui je remarque que ces yeux font l'allé retour de mes lèvres à mes yeux. J'en fait autant. Je m'approche encore plus, nos yeux se croisent une nouvelle fois. Nos visages se rapprochent, et nos lèvres se touchent. Ces lèvres son douce, une chaleur apparaît au creux de mon ventre. j'ouvre légèrement ma bouche pour laisser entrer sa langue, avec sa main il m'attire encore plus contre lui, je suis maintenant dans ces bras sans arrêter ce baiser. Mais a bout de souffle nous sommes obliger de nous séparer, je vois alors un large sourire s'afficher sur ces lèvres. Idriss me tiens toujours dans cet bras. 

-  On fait tout a l'envers, me dit-il.

- Je crois oui, dis-je en souriant. 

Je m'approche de nouveau pour l'embrasser. 

- On en aura mis du temps tu ne trouve pas? me demande-t-il, on commence par vivre ensemble, puis on tombe amoureux enfin moi je suis amoureux toi...

- Moi aussi, beaucoup même, et les filles le savait depuis pas mal de temps, mais j'avais peur de me ramasser.

Il remet une mèche de cheveux en place. 

- Et moi donc, je tiens tellement a toi, c'est vrai j'ai envie de te protégée, et que tu soit heureuse, je sais pas qui ta mis sur mon chemin ce soir là, mais c'est une très bonne chose. 

Il pose son front contre le mien. 

- Je t'aime Cléo. 

J'écrase mes lèvres sur les siennes. 

- Je doit comprendre que toi aussi, me dit-il en souriant. 

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Le lendemain 

Avec Framal nous arrivons chez Mékra main dans la main, depuis hier où nous nous sommes avouer nos sentiments, nous passons chaque minutes ensemble. Quand Mékra nous ouvre, Idriss a sa main autour de mes épaules. 

- Je présume que vous êtes enfin ensemble? nous demande-t-il.

- Oui, répondîmes en coeur. 

Nous le suivons jusqu'en le salon où nous retrouvons tous nos amis. 

- Et voici le nouveau couple!!!!! cris Mékra.

Les autres ne semble pas surpris. 

- Je dirai bien enfin, mais je vais me faire frapper, nous dit 2zer. 

- Sérieux les gens, je suis vraiment heureux pour vous, nous dit Ken.

- Ouais c'est clair! Nous lance Sophie.

Idriss pose ces lèvres sur ma joue. 

- Par contre y'a des chambres pour ça! 

Je doit rougir mais je m'en fous, je suis enfin avec Idriss, je m'y sens bien. Je n'aurai jamais pensée quand n'arrivant sur Paris le 29 novembre, je me serait fait au temps d'amis, que j'aurai vécu tout ça, que je serait tomber amoureuse un sentiments si puissant que je ne connaissait pas. J'ai quitter Rennes pour survivre, pour quitter la maltraîtance que je subissais. Pour enfin me sentir vivante. Et en l'ai regardant tous là autours de cette table, en train de rire, de sourire, de partager de vieille histoires, j'ai enfin compris que: 

Il y a des amis, il y a la famille puis il y a les amis qui deviennent la famille.

Et c'est eux ma famille... 


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Et voilà l'histoire de Framal s'achève ici... 

Vous en n'avez pensez quoi? J'attends vos avis bien sûr! ^^ 

Vous savez il y a des histoires qui son dur a terminer, qu'on a pas envie de quitter les personnages, que l'imagination vient tout de suite, et que les chapitres s'écrivent tous seule et bah cette histoire c'est ça, et je suis fier de l'avoir écrite. 

J'espère qu'elle vous a plus, je vous remercie de m'avoir lu, d'avoir voter et commenter! 

Je vous aime fort 

Mariane

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