Framal #5
Sa fait une semaine que je suis à Paris, une semaine que je vis avec Framal et tout ce passe bien, nous avons trouvez nos repèrent ensemble. Bon Framal rentre tard, mais il trouve toujours son dîner prêt, même ci il fait tout son possible pour passer ces soirées avec moi, il est toujours absent, enfin il enchaîne les concerts. Pendent ce temps je cherche du boulot, j'ai eu un bref entretiens dans une librairie, je doit retourner samedi matin voir le gérant, mais je n'en ai pas parler à Framal, je préfère lui dire de bonne nouvelle.
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10 Décembre
Nous sommes samedi matin, Framal ne rentre qu'en début d'après-midi. J'ai rendez-vous à 11h30 à la librairie. Je suis habiller de mes plus propre vêtement, un jean et un chemisier et pour terminer ma tenue, mes vieille basket. Je quitte l'appartement vers les 10h30, je traverse Paris à pieds. J'arrive devant la librairie a 11h15. Avec le temps qu'il me reste j'en profite pour regarder les dernier livres sortie. Mon portable sonne, je l'attrape.
De Framal A Cléo
Je serait de retour plus tôt que prévu, vers 12h30.
Mince, je ne serai pas rentrée.
- Cléo?
Je relève la tête, la jeune femme d'un peu près mon âge, elle est plus petite que moi, elle porte une petite robe grise avec des collant noir, c'est cheveux blond son attaché en une queue de cheval haute, ces yeux vert son vraiment jolie, un visage rond, son maquillage est léger mais lui va très bien.
- Oui, dis-je.
- Robert t'attends, me dit-elle.
- D'accord, dis-je.
Je ne prend pas le temps de répondre a Framal. Temps pis. Je retrouve ce Robert assit derrière son bureau, cet un homme d'environs 50 ans, il me regarde arriver en souriant.
- Comment tu va Cléo?
- Bien et vous?
- Très bien, installe toi.
La dernière fois je lui ai un peu expliquer ce qui se passait dans ma vie, que je venait a peine d'arriver à Paris, que je n'avait pas un sous.
- Je te propose pour l'instant un petit contrat jusqu'à fin décembre, ensuite je verrait a ton travaille si je te fait un nouveau contrat ou pas, d'accord? me dit-il
- Oui, d'accord.
- Sa n'a pas l'air, mais je veut un travaille sérieux et soignée.
- Oui, monsieur.
- Mégane va te donner tes horaires pour la semaine prochaine. Généralement je ne suis pas là le lundi et le mardi, je m'occupe d'une autre librairie.
- D'accord, dis-je.
Robert ce lève, j'en fait au temps, nous nous dirigeons vers l'entrée du magasin, Mégane encaisse une cliente. Une fois celle-ci partie.
- Tu pourra lui donner ces horaire s'il te plaît, lui dit Robert.
- Oui, il sont là, dit-elle en me tendant un papier.
- Merci, lui dis-je.
Je me retourne ensuite vers Robert, il me sourit et me tant sa main, que je serre. Je salue ensuite Mégane et retourne en direction de l'appartement. Il est 12H45 quand j'arrive à l'appartement, mon portable sonne, je ne répond pas puisque c'est Framal et que je suis en bas de l'immeuble, alors je me dépêche d'aller le retrouver. Je trouve son sac poser dans l'entrée.
- Salut, dis-je en arrivant dans le salon.
Tout les gars son ici. Ils se tournent comme un seul homme quand ils m'entendent parler.
- T'était où? me demande Framal.
- J'avais un truc.
- J'ai cru que tu était partie, me dit-il.
- Non, et si vous voulez savoir, j'ai trouver un boulot, bon pour l'instant c'est jusqu'à la fin du mois mais bon.
- Où ça? me demande Ken.
- Dans une librairie, " Comme au bon vieux temps"dis-je.
- C'est sérieux? me demande Framal.
- Oui, tu n'ai pas content? lui demandais-je.
- Si bien sûr que si, mais je voulais juste te dire si le patrons était sérieux, dit-il maladroitement.
- Oui, il tiens une autre librairie, lui-dis-je.
- Super alors.
Framal s'approche de moi et il me prend dans cet bras. Quoi? il me prend dans cet bras? Je ne me rappel plus depuis combien de temps on ne m'a pas prise dans cet bras. Mais j'ai chaud d'un coup, je me sens beaucoup mieux non je me sens bien. Après les félicitations des garçons, et après avoir tout manger. Framal et moi nous nous retrouvons seule. Nous sommes installer sur le sofa, et je lui demande bêtement comment c'est passer son concert. Nous sommes toujours en train de discuter vers les 17h45.
- Je peut te demander quelque chose? me dit Framal.
- Oui, dis-je.
- L'autre soir, quand tu tes endormie sur le canapé, j'ai vue sur ton corps...
- Je t'arrête tout de suite Idriss, je ne veut pas en parler.
- Mais il faudra bien un jour! me dit-il.
- Je sais, mais un jour, dis-je en me levant.
J'entends Framal souffler.
- Tu devrait aller te préparer, on doit être chez Nek dans 1h30.
- Et tu me le dit que maintenant! dis-je en me précipitant dans la salle de bain.
Une fois ma douche prise, je m'habille d'un jean et d'un t-shirt blanc. Je laisse mes cheveux séché au naturel, je me maquille avec le peu de maquillage que j'ai. Je n'ai jamais trop aimer ça, juste un maquillage léger et discret, rien de mieux. En attendent Framal je suis sur le sofa, je repense a ce qu'il m'a demander, devrais-je lui dire? Il aurai pitié de moi et je ne le veux pas, je pense déjà qu'il a pitié de moi, vue comment il m'aide.
- Aller sort de tes pensez, on n'i va, me dit-il.
Je pars mettre mes chaussures et ma veste, nous nous rendons ensuite chez Ken. Nous entrons sans frapper, ce soir il va y avoir pleins de gens que je ne connait pas, des filles comme des garçons. Framal semble remarquer mon traque.
- Ils ne vont pas te manger, d'accord.
- Quoi? de quoi tu parle? lui demandais-je.
Il ne me répond pas, mais me sourit. La musique est forte, nous ne font même pas un mètre que nous sommes déjà arrêter. Idriss me présente à Dj Elite, S.Pris noir, Alpha, Nepal, Doums, Luxe, Jazzy Bazz, Sneazzy, Deen Burbigo. Antoine, Hologram Lo, Areno... Au fond de moi, je ne pense pas retenir tout ces noms. Ensuite nous retrouvons, Mékra, 2zer, et Nek. Je les salues une nouvelle fois. Avec 2zer se trouve une magnifique jeune femme, de long cheveux brun, des yeux couleur noisette, le sourire aux lèvres. Elle s'approche de moi.
- Tu doit être Cléo? me demande-t-elle.
- Oui, dis-je.
- Je suis Sophie, la femme de Théo, j'ai tellement entendu parler de toi, allez vient on va te chercher un verre.
Sophie, me prend par le bras et m'entraîne avec elle vers la cuisine. Je me prend simplement un coca. Sophie n'arrête pas de parler, elle me dit qu'il faudrait qu'on se fasse une sorti shopping, je pense que Framal se cache sous ça, mais je ne dit rien. En sortant de la cuisine, je bouscule sans faire exprès une jeune femme. Je m'attendais a tous sauf a ça.
- Oh mais c'est la SDF que Framal a trouver dans la rue.
Je baisse instinctivement la tête, je suis piquer au vif. Mes larmes monte aux yeux, mais elle ne franchissent pas la barrière.
- Camille ta gueule, lui dit Sophie.
Cette Camille ne répond pas. Je relève la tête et sourie a Sophie.
- Ne fait pas attention a elle, je me demande ce qu'elle fait là d'ailleurs. Enfin bref on s'en fous.
Nous retournons vers les garçons. La soirée se passe bien, a part des regards noir de la part de cette Camille. Je ne cesse de penser a ce qu'elle m'a dit. Ken passe son temps sur son portable, sans doute cette fille. Je sens qu'on me tape le bras.
- Vient avec moi, me dit Framal.
Je me lève du sofa et je suis Framal jusqu'au balcon. Il referme la porte derrière nous.
- ça va? me demande-t-il
- Oui, dis-je, je passe une bonne soirée.
- C'est vrai, tu a l'air dans la lune.
- Oh non, ne t'inquiète pas.
- Tu sais, que tu peut tout me dire, me dit-il.
- T'est amies me voie comme une SDF?
- Quoi? Qui t'a dit ça? me demande-t-il en s'approchant de moi.
- On s'en fous de qui m'a dit ça, dit moi juste si il me vois comme une SDF et que tu a eu pitié de moi?
- Déjà personne ne pense que tu est une SDF et met toi ça dans le crâne, ensuite non je n'ai pas pitié de toi, je n'ai pu pitié de toi, au début si, je me demandais pourquoi tu était dans la rue, mais j'ai appris a te connaître, et même si je ne sais pas encore pourquoi tu est venu vivre ici. Je n'ai pas pitié de toi, qui t'a dit ça?
- Camille, lui dis-je.
- Laisse tomber cette fille est vraiment une garce.
- Oui peut être, mais si elle a dit ça c'est que d'autre pense la même chose non?
Framal, s'approche de nouveau, il pose ces mains sur mes épaules.
- N'écoute pas ce que l'ai autre te disent, d'accord?
Je ne lui répond pas...
- Cléo, répète-t-il.
- D'accord, dis-je.
Framal me sourit. Nous retournons avec les autres après qu'il ai terminer sa cigarette. La soirée continue, nous rentrons à l'appartement vers les 2h00 du matin. Après mettre changer, je me met sous la couette. Le sommeil m'emporte.
- Chute, calme toi.
Je me relève, je transpire, je respire mal et mon coeur bat vite. Framal est installé sur mon lit, une des ces main est poser sur mes cheveux dont il remet une mèche derrière mon oreille. Il essuie ensuite mes larmes.
- Qu'est ce qui c'est passer là-bas pour que tu fassent au temps de cauchemar.
-Je te le dirait qu'une seule fois Idriss, je ne veut plus pensez a ça.
- Juste une fois, me dit-il.
Je souffle.
- Les marques sur mon corps, sur mes jambes ces des brûlure de cigarettes et dans mon dos, des coups de ceinture. Je n'était jamais assez bien, mes parents tienne une ferme dans la campagne de Rennes, mon père bois beaucoup et il a plonger ma mère dedans. Sa a commencer quand j'avais six ans. C'était des petite tâches a accomplir, à la ferme et dans la maison. Quand je l'ai faisant mal c'était des baffes. Et les année on passer, l'alcool aussi, alors je faisait tout mal, alors que non, et c'est passer au coups de ceinture et au cigarette, mon frère s'y est mis aussi, ils le saoulais. Les seule moments de répit que j'avais c'était pendant les cours et un week-end sur deux. Le week-end avant que j'arrive ici, j'avais oublier de mettre le linge à laver, ils se sont tous déchaîner sur moi. Les uns après les autres. Comme tu peut le voir certaine blessures dans le dos ne son pas encore cicatrisés. J'ai eu temps d'occasion de partir, que j'ai attendu de rester dans les vap pour prendre ma décision. Alors le dimanche soir, j'ai remplis mon sac a dos de truc qui traînait. J'ai pris les 100€ que j'avais cacher, j'ai marcher jusqu'à Rennes, pris un billet de train et je suis venu ici, dans l'espoir de changer de vie. Ils m'on dit tellement de chose horrible, qu'il aurai du me noyer dans mon bain dans j'était bébé, que c'était pas prévu que je soit une fille, que j'était bonne a rien. Qu'ils aurait préféré que je ne vive pas, fini-je par dire en pleurant.
Idriss me prend dans ces bras et je pleure, encore et encore.
- Tu est bien mieux ici, me dit-il.
- Mais si il me retrouve, je ne suis pas sûr de vivre encore longtemps.
- Il ne te retrouverons pas, d'accord, je te fais la promesse qu'il ne te retrouverons pas, me dit-il en me caressant le dos.
Je ne lui ai pas tout dit, je n'en suis pas capable... Je m'endors dans cet bras épuiser par mes pleurent.
Alors ce chapitre vous le trouvez comment? Dîtes moi tout! J'espère qu'il vous plaît? Vous avez des idées pour la suite?
Bisous
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