Framal #10

Nous sommes samedi soir, je vient de terminer de prendre ma douche, comme je ne sais pas où on va, je porte un jean noir troué au niveau des genoux, une t-shirt gris et un long gilet de la même couleur, ce son mes premier achats avec la paie que j'ai reçue. Je me suis maquiller et me suis fait une tresse. Quand j'entre dans le salon, il est installer sur le canapé dans son portable. Il porte un jean noir, un pull et une veste de la même couleur. Et la casquette que je lui ai offerte pour noël. 

- Tu est prête? me demande-t-il.

- Oui, dis-je, je ne savais pas comment m'habiller, j'espère que sa ira.

- Oui, tu est superbe. 

Il se lève du canapé et nous quittons l'appartement, Idriss nous conduit jusqu'à un restaurant. 

- J'avais envie qu'on dîne ensemble autre pars qu'à la maison et après on rejoint les autres dans un club. 

- D'accord. 

Une fois dans le restaurant, je passe un agréable moments. Il me fait goûté son plat que je n'avais jamais entendu parler. Moi je suis rester sur mon éternelle steak, frites. Nous quittons le restaurant vers les 22h00. Nous avons rendez-vous avec les autres qu'à 00h00. Nous nous promenons donc sur les quais de Paris. 

- Tu n'a pas trop froid? me demande-t-il.

- Non, dis-je, merci pour le manteau. 

- L'autre était mort, je n'ai rien fait d'anormal. 

Je le regarde, lui garde la tête bien droit. 

- A partir du mois prochain, je vais pouvoir commencer a te rembourser. 

- Cléo.

- Idriss, je suis sérieuse, tu me dit ça a chaque fois que tu ne veut pas de mon argent, mais tu en fait tellement pour moi, c'est normal. 

- Si j'accepte ton argent, tu va te la fermer sur ce sujet? Il tourne la tête vers moi en souriant.

- Oui, dis-je.

- Très bien, alors. 

Le silence revient entre nous, et nous marchons dans la nuit parisienne, il fait frais, nous arrivons dans une rue où se trouvent plusieurs bars. Il me bouscule avec épaule, mais nous n'avons pas la même force, alors je "vole" un peu plus loin. Il me rattrape, et je me retrouve coller contre lui. 

- Excuse moi, me dit-il. Tu veut passer par cette allé? 

Je suis enivrée par son parfum, et ne réponds pas tout de suite. Mes yeux voyage de sa bouche a ces yeux. Je ne l'écoute pas. Il souris, je revient a moi, je doit être rouge comme une tomate. 

- Je disait, si tu voulais passer par là? répète-t-il.

- Bien sur. 

Je suis déçu, j'aurais pensez enfin au fond de moi, qu'il m'aurai embrasser. Je pense qu'il ne doit pas partager les même sentiments a mon égard. Nous reprenons notre route. Le silence est de retour. 

- Cléo! crie un homme. Cléo c'est bien toi! 

Je me fige, cette voix, non ce n'ai pas possible. 

- Cléo ça va? me demande Idriss.

- Hey Cléo tu peux répondre! crie de nouveau l'homme.

Il s'approche. 

- On peut partir? demandais-je a Idriss. 

- Bien sur.

Mais c'est trop tard, je sens qu'on m'attrape le bras et qu'on me retourne. je me retrouve face a un homme que je connais que trop bien. 

- Henry...

- Cléo, dit Idriss.

Il se place devant moi.

- Hey mec, je ne lui veut pas de mal! lui dit Henry. 

- Qu'est ce que tu fait là? lui demandais-je.

- Je suis venu avec des potes. Et toi? 

- Elle vie ici, maintenant, lui répond Fram.

- Il... est avec toi? lui demandais-je hésitante.

- Non, Cléo, il ne faut pas que tu revienne à Rennes, ils sont vénère contre toi, pour ta sécurité ne revient pas. 

- Tu ne leur dira rien? lui demandais-je.

- Non, tu sait avec ce qu'il ton fait, tu a le droit d'être libre. Il ton privé de temps de chose, nourriture, eau...

- La ferme, lui dis-je. 

Idriss n'est pas au courant de ça et c'est ça que je ne voulais pas qu'il sache. Je voie c'est poing se serrer. 

- Et tu ne l'a pas aider? lui demande-t-il.

- Tu ne l'ai connais pas, lui réponds Henry. 

Il se tourne vers moi. 

- Cléo, je ne dirait rien, je te le promet. 

Il a l'air sincère. 

- D'accord. 

Il pars s'en rien demander d'autre. Idriss se tourne vers moi. 

- C'est vrai ce qu'il a dit? 

- De quoi? lui demandais-je perdue. 

- Privé d'eau, privé de nourriture! Pourquoi tu ne me l'a pas dit! 

- Je ne voulais pas que tu ai encore plus pitié de moi. 

- Combien de fois je vais devoir te dire que jamais je n'aurai pitié de toi. 

Il me prends dans ces bras, puis nous faisons marche arrière, dans le silence bien sûr. Nous retrouvons les gars une bonne vingtaine de minutes plus tard. Nous entrons facilement dans le club. J'attends Sophie mais malheureusement elle est avec Camille. Après des salutations très froide, nous partons danser, j'oublie ce qui c'est passer plus tôt dans la soirée, je m'amuse, dance, chante. A chaque fois que je croise le regard de Framal, celui-ci me sourit. Mon Dieu qu'il me plait ce mec. Oula j'ai un petit peu trop bu. Enfin bref. Il est 2h30 quand je quitte la piste de dance, je cherche Framal mais le trouve pas, alors je décide d'aller au toilette. Une fois dans cette pièce, je fait ma petite affaire.Quand je me lave les mains, j'entends glousser. 

- Oh ces tellement bon. 

Bordel mais c'est Camille. Qu'elle salope sérieux. 

- Tais toi on va nous entendre, dit une voix d'homme.

J'arrête ce que je suis en train de faire, cette voix grave. Framal c'est toi?!

- Oh Fram, glousse t-elle de nouveau. 

Un coeur peut-il se briser en mille morceaux? J'ai les larmes aux yeux en quittant les toilettes. Je m'installe dans le coin, où nous sommes. Sophie me rejoint. 

- ça va? me demande-t-elle.

- Oui, dis-je.

- Arrête ça va pas? Il est où Fram? 

- Il est en train de ken Camille dans les toilettes. 

- Quoi? me demande-t-elle.

Je la regarde et je n'ai pas envie de le redire. 

- Tu veux que je te ramène? Nous allions partir avec Théo. 

- Oui, dis-je, cette soirée sera pourrie jusqu'au bout! 

Sophie ne me comprend pas, nous quittons le club, là tout de suite, je n'en ai rien a foutre de ne pas prévenir Idriss que je suis partie. 

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Le lendemain vers les 10h30, je suis dans le canapé, j'ai mal aux ventre, je n'ai pas réussi a dormir de la nuit, Framal n'est pas rentrée et je suis sûr qu'il est avec cette traîner et en plus j'ai mes règles! Week-end pourri. Je me lève et pars à la première supérette du coin, j'achète des serviette, du nutella. La vendeuse me regarde avec compassion. Je lui fait un léger sourire et rentre à la maison. Je suis de nouveau installé dans le canapé, le nutella entamé. Je regarde une série à l'eau de rose. J'ai envie de pleurer, je me trouve grosse et moche et pis merde je me met a pleurer. J'entends la porte se fermer, j'essuie mes larmes. 

- Qu'est ce que tu as? me demande Framal tout paniquer.

Il arrive vers moi. 

- Oui, dis-je, je suis simplement fatiguer. 

- Non ça ne va pas, c'est quoi le doliprane dans la cuisine? Tu est malade, tu veut que je téléphone a un médecin. 

- Non, dis-je, j'ai juste mal au ventre. 

- Tu est sûr, ça ne prendra pas longtemps.

- Framal, tu ne comprend pas...j'ai mes règle, tout simplement.

- Oh... répond-t-il. 

Il retire sa veste et sa casquette. 

- Attend, je revient. 

Il retourne à la cuisine. Je ne peut pas en vouloir a Idriss, nous ne sortons pas ensemble, il fait ce qu'il veut, mais pourquoi ça me fait au temps de mal? Framal revient avec un pot de glace et deux cuillères. 

- Je ne peut pas te soulager de cette douleur, mais je peut te faire plaisir.

Il ouvre le pot de glace à la vanille et au caramel beurre salé et me le tant. Il me sourit, comment puis-je ne pas tomber amoureuse d'un mec comme lui. 

- Merci, lui dis-je en souriant. 

Je pose ma tête sur son épaule, puis nous regardons alors cette série a l'eau de rose ensemble. 


Alors ce chapitre? Comment vous le trouvez? J'ai eu beaucoup d'inspiration, et j'ai pris plaisir à l'écrire. J'espère que vous l'aimerez. Que pensez vous de Framal? Camille? Henry? j'attends vraiment vos avis! 

Je vous fait pleins de bisous, je vous adore!


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