Framal #1
Je vient d'arriver à Paris, avec seulement un sac a dos avec quelques affaires dedans et dans la poche 50€, je n'ai nul pars où aller, mais je préfère être là que de retourner là-bas, à Rennes. Nous sommes le 29 novembre, il fait froid à la capital. Je vient de quitter la gare de Montparnasse, je ne connais rien de cette ville, je marche sans trop savoir où je vais, mais l'architecture de cette ville est magnifique. Il est plus de 17h00 et la nuit commence a tomber, il fait encore plus froid, je passe par une supérette me prendre a manger, mon ventre crie famine. Je prend un sandwich dégueulasse. Je doit faire attention a mes dépense, mais 50€ c'est tout ce que j'avais, avant qu'il me bloque tout. Je pensais trouver un petit hôtel pas trop chère, mais nous sommes à paris et bien sur les chambres coûte plus de 50€ la nuit. Bravo Cléo une journée dans la capital et tu devient SDF. Je m'installe dans un arrêt de bus, je resserre mon écharpe au tour de mon cou, je n'aurais pas pu faire ça au mois de juillet? Non, je n'aurai pas tenue.
Alors je me retrouve à Paris a dormir dans un arrêt de bus comme dîner un sandwich immonde et une bouteille de coca. La nuit tombe, les rues se vide. La nuit va être longue.
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30 novembre
Je n'ai pas fermer l'oeil de la nuit, je saute le petit déjeuner et le déjeuner. Je remet mon sac sur mon dos et continue ma visite de la ville. Des touristes son bien présent à la capitale. Mais je suis comme eux, je m'extasie devant chaque monuments, bon je ne l'ai fait pas tous, j'aimerais faire le Louvre, mais ce n'est pas dans mes moyens. Je marche dans la ville cherchant un hôtel, mais c'est peine perdu. Mais la journée se termine trop vite, je retourne à l'arrêt de bus. Je ne veut pas passer ma vie ici. Mais je ne veut pas retourner à Rennes, ça serais encore pire si je revenait maintenant. Bon demain est un autre jours. Je me prépare mentalement une petite liste que je doit faire demain.
~1~ Me trouver un boulot.
~2~ Me trouver a manger.
~3~ Me trouvez un logement.
~4~ Ne pas perdre espoir.
Je termine mon sandwich, jette mon papier à la poubelle et retourne m'installer sur le banc. Le vent à fait son apparition, et je sais que je ne vais pas fermer l'oeil de la nuit. Encore.
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1er décembre
J'ai trouver des toilettes publique, par chance il y a un lavabo et ce n'est pas payant! Je me lave les dents, les cheveux, j'utilise un t-shirt pour les séchés, et les attaches en queue de cheval, il manquerais plus que je tombe malade. Je me change et quitte les toilettes, personnes ne m'a vue et c'est temps mieux.
~5~ Trouver une laverie.
Je recommence mes recherches, mais je n'ai que des mauvaises surprise, magasins de vêtements ne prenne pas de nouvelle vendeuse. Sephora il en ai hors de question je ne pourrait pas le payer le maquillage. Une nouvelle journée s'écoule et je suis abattue quand je m'installe pour une nouvelle fois sur le banc de l'arrêt de bus. La nuit tombe, je devrait peu être retourner à Rennes. Et rester soumise a cette vie. Je suis sûr qu'il nous même pas signaler ma disparition. Remarque je ne suis rien pour eux qu'un gagne pain.
- Excusez-moi, me dit une voix de femme.
Je relève la tête, une vieille femme est en face de moi.
- Oui?
- ça fait plusieurs jours que je vous voie ici, vous n'avez nul pars où allez? me demande-t-elle en me regardant de haut.
- Non, dis-je.
- Vous devriez aller en foyer sinon je vais appeler la police.
- Et pourquoi vous ferriez ça? je n'ai rien fait de mal.
- Ici c'est un bon quartiers, il n'y a aucuns SDF vous avez pu le remarquer Mlle?
- Oui, dis-je.
- Partez d'ici, me dit-t-elle. Je vous laisse une dernière nuit, si vous êtes là demain j'appellerais la police.
Puis elle s'en vas, super! ma première vrai discutions avec une personne et c'est pour dire qu'elle appellera la police. Demain je n'aurai qu'à tout recommencer ailleurs, il ne me reste que 20€ dans ma poche, ce n'ai même pas assez pour rentrée à Rennes. Je ne ferme pas l'oeil de la nuit. Je ne sais même pas qu'elle heure il est, je n'ai pas de portable, je n'y avait pas le droit. Cette nuit j'entends des sirènes de police, de pompier, je ne vais pas pouvoir rester là ce week-end, je ne serai même pas si je serait encore vivante ce week-end, j'ai faim, j'ai froid, j'ai envie d'une douche bien chaude, un lit douillet. J'ai envie de sortir de cette vie, de cette arrêt de bus. Je n'arrive pas a me réchauffer même en frottant mes mains entre elles, mon écharpe ne serre plus a rien et j'ai sans doute choper un rhum. Quand j'ai laver mes cheveux l'eau était froide et la journée le vent était là, la gelé aussi. Je prend ma tête entre mes mains.
- Vient avec moi, me dit une voix d'homme.
Il me fait sursauter, je relève la tête vers lui, mais ne le vois pas vraiment, il porte une grosse doudoune, une casquette et une capuche, il en a de la chance. Comme je ne répond toujours pas. Je le vois prendre mon sac, je n'ai pas le temps de lui dire non, qu'il est déjà en chemin, je le regarde partir avec mes affaires. Je quitte enfin le banc et le suis à bonne distance. Et si il allait me tuer, où pire me violer me couper en morceaux, les mettre dans des sacs poubelle et me balancer dans la Seine. L'homme entre dans un bâtiment quelque mètre plus loin, il me tiens la porte, j'entre, il fait toujours noir et mon coeur bat à cent a l'heure. Nous montons ensuite dans un ascenseur, je regarde mes pieds, il ne me parle toujours pas. Je renifle bruyamment se n'ai vraiment pas très classe, mais bon là où j'en suis. Je m'en fou. L'ascenseur s'arrête, il sort le premier et insère sa clé dans la serrure de la porte. Il entre et pose mon sac dans l'entrée avec un peu de chance je peux l'attraper et partir en courant.
- Entre, dit-ils.
Je l'écoute, mais manque de chance il a repris mon sac et la poser dans son salon. La porte se referme derrière moi, je sursaute. Il passe de nouveau a côté de moi, il retire son manteau, je remarque enfin qu'il est plus grand que moi, mais bon ça se n'est pas compliquer. Il porte une casquette noir, une barbe de plusieurs jours, il n'est pas gros mais musclé ce n'est pas non plus Arnold machin là. Ces cheveux sont châtin foncer presque noir. Quand il pose ces yeux sur moi, je me sens vraiment petite et très mal à l'aise, c'est yeux son marron.
- Je vais te montrer la salle de bain, pour que tu prenne une douche, en t'attendant je vais te préparer une chambre.
- Je... euh...
Il me regarde de nouveau.
- Merci, dis-je
Il m'indique la salle de bain.
- Tu a des affaires propre? me demande-t-il
- Oui, dans mon sac.
Il regarde mon sac puis moi, je sais ce qu'il doit ce dire, mais d'où sort cette plouc.
- Très bien, dit-il.
Après avoir pris mon sac, il me laisse dans la salle de bain, je referme la porte a clé on ne sait jamais. Sa salle de bain est très jolie, grande, blanche, une douche et une baignoire. J'allume l'eau chaude. Me regarde dans le miroir. J'ai une tête a faire peur, je suis blanche, ma queue ne tiens plus, mes cheveux son gras, je suis sale. J'entre dans la douche et laisse ma peau brûler sous l'eau chaude. ça fait tellement de bien. J'y reste sans doute une bonne vingtaine de minutes. Une fois propre et changer, je quitte la salle de bain. Je marche sur la pointe des pieds vers le salon, là où j'entends du bruit. Le salon est immense, blanc, un grand canapé noir dans un coin, une grande télé accrocher au mur, et une quantité de photos accrocher aux mur.
- Si tu a faim c'est près, me dit-il.
Je me retourne, l'homme est dos à moi. Une assiette fumante de pâte est poser sur le bar de la cuisine. J'avance et m'installe sur un tabouret, j'attrape une fourchette, prend les pâtes et l'emmène a ma bouche. Bordel que c'est salé! Il mis tout le flacon ou quoi!
- Je ne suis pas très bon cuisinier, me dit-il en se retournant.
- Non ça va, dis-je. Merci, rajoutais-je.
Le repas se passe dans le silence, une fois mon assiette terminer et un grand verre d'eau avalé pour calmer ma gorge. Quand je débarrasse mon assiette dans l'évier.
- C'est quoi ton prénom? me demande-t-il.
- Cléo.
- Moi c'est Idriss, mais tout le monde m'appel Framal.
- D'accord, dis-je.
Il se lève et marche en direction du couloir. Je le suis.
- Voici ta chambre, reste ici le temps qu'il te faut.
Puis il me laisse seul. Mon sac est poser près du lit, j'entre sous la couette. Le lit est confortable, vraiment confortable, j'ai éteins la lumière, il est bientôt 4h00 du matin. J'entends l'eau de la douche couler une nouvelle fois, j'espère lui avoir laisser assez d'eau, mais je n'entends pas quand il a terminer, le sommeil m'a déjà emporter.
J'ai décider de recommencer cette histoire, celle-ci me plais plus! j'espère qu'elle vous plaira aussi. Donnez moi vos avis!
Bisous
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