Journal d'un petit conquistador:

17 juin 1490, de retour de les quêtes aux Amérique, les conquistadors et moi même étaient en route pour nos terres d'Europe. Avant l'embarquement, nous hissons les cordes au dessus de notre grand navire en bois, pour ne pas manquer de nourriture durant le voyage, nous avons même pris quelque biens de ses terres d'Amérique riche en verger à perte de vue. Nous embarquons aux alentours de quatorze heure de l'après-midi, le soleil est encore haut dans le ciel et la mer est calme. Après l'embarquement je me laisse porter par les sons des vagues et de la nature resplendissante qui s'offre à moi. Après environ deux heures sur ce navire, il commence à y avoir des secousses, le navire tremble, tous le monde est inquiet,

- Le ciel est pourtant bleue, que se passe t'il? Questionne le navigateur du navire.

Après qu'il eut dit ses mots, une monstrueuse créature à la queue de poisson surgissant de nul part le prit par les pieds et l'engloutit dans la minute. Je suis pétrifié, terrorisé, même paralysé par la peur. Mais mains se sont raidi et mes dents claquant les unes contre les autres crée presque une mélodie. Mes jambes tremblent, mon tint devient blanc et blème. J'ai mal, et je ressens des sueurs froides, mon mal me cause la nausée. Malgré ça j'arrive encore à distinguer la créature et a remarquer que c'était une sirène. Surprise que je l'ai reconnu elle commença à chanter de sa voix angélique. Sa voix, je ne pouvais pas m'enpêcher de l'écouter, j'ai l'impression d'être hypnotisé. Je ferme les yeux. Face au vent qui fouette et caresse mon visage en même temps, je ne ressens plus rien. Plus de peur, plus de tristesse, plus de mal. Mon coeur bat au rythme de ce spectacle. Quand je regarde autour de moi, tout est noir, la terreur règne, mes compagnons se font tous dévorés par la monstrueuse bête au yeux globuleux et à la queue de sirène. Moi, je sais que je vais mourir et pourtant je suis envahi par un bien que je ne comprends pas. Un bien avec lequel je ne me suis jamais senti aussi seul. C'est sa voix, sa voix qui me met bien et pourtant qui est là pour me tuer. Je ne ressens plus rien. Je me laisse emporter par cette créature, sans parler, sans réaction juste en partant. La mer englouti le navire et la sirène l'emportant avec elle sous les marines, je me sens si mal. Mon mal reviens, le stresse m'envahit, la créature le ressenti car elle commença à me remonter au dessus de l'eau et de sa plus belle voix recommença. Des goutes coulaient du long de mes joues, je voulais nager, lui échapper mais elle ne pouvait plus me lâcher si bien que je manquais presque d'oxygène. Je suffoquer, à la fin, quand elle comprit que j'allais mourir, elle me lâcha dans la mer. Mon souffle manquait, mes yeux me piquait, ce jour là, la mer englouti mon corps, ce jour là elle emporta mon âme.

Dark-Crito voilà je te rend mon petit chapitre, il n'est pas très long mais je n'étais pas trop inspiré.