Je ne suis plus capable de ses manière! Je ne peux plus le supporter! Ce n'est pas une vie de rien avoir à manger , de faire toute les corvées et d'aller au lycée. JE N'EN PEUX PLUS! J'ai atteint mes limites depuis un bon bout. Alors je crois que l'heure et venue pour moi de parti loin. Très loin. Tellement loin que personne ne me retrouveras.

- Adieu monde cruel...

Je me laissa tomber du pont. Heureusement il faisait nuit et aucune voiture passais par là. Je pus donc faire ce que j'avais à faire. Me suicider. Le suicide étais ma seule délivrance. Le seul monde qui accepterais une minable personne comme moi.

L'eau froide entra en contact avec mon corp et je sus que mes souffrance serais abréger. Tout ce calme. Le silence. Plus de père qui crie , ni de mère qui donne des ordres et des claques au visage.

Je me rappel qu'à l'école je me cachais le visage pour pas qu'il voie tout ces bleu et ces plais qui ornent mon visage triste et sombre. Ce visage qui ne veut rien dire au yeux de plusieur personne , mais qui au yeux d'une personne veut tout dire. Enfin c'est se que j'imagine.

Je me sentais partir. Je sentais tout ces malheur disparaître. Je pouvais sentir l'eau me monter au sang. Soudainement je senti des bras m'entourer la taille essayant de me remonter à la surface. Mon réflexe fus de regarder cette personne. Je ne la connaissais pas. Mais je pus apercevoir que c'étais un garçon. C'est habit étais... Étrange à vrai dire.

Je ne pus me rendre à la surface que je perdis connaissance. Il faisait tout noir. Pas un brin de lumière. Et ce calme! Que ça faisait du bien...

Je me sentais transporter. Mais le hic dans tout ça c'est que mes cheveux volais dans le vent , et je le savais bien , c'est une sensations que je connaît très bien. Tout ce temps où j'ai défilé les rue en courant les cheveux au vent. Alors cela veut dire que , sois je cour , sois je vole. Mais avec qui? Le garçon qui ma sauver? Ça je le saurais à mon réveil.

Le sol il est tout froid et dur. Où suis-je? C'est quoi cette endroit? On dirait une sorte de cage ou de boîte , mais avec des trou.

- Chère c'est une cage. Je te le confirme.

- Qui êtes vous?

- Voyons tu peux me tutoyer.

- Tu n'a pas répondu à ma question. QUI EST TU?

- Je te le dirais plus tard. Et toi? Qui est tu?

- Pourquoi vous le dire si vous ne me le dite pas?

S'il pense pouvoir gagner se jeu. Alors bonne chance. Je peux jouer longtemps comme ça. Le jeune homme s'approcha de la cage et ouvra la porte.

Si je ne lui est pas dit qui j'étais , c'est parce que je me souviens plus. J'ai complètement oublier mon prénom et mon nom. Le reste je m'en souviens. Je me souviens de toute les souffrances que j'ai dû endurer. Tout les coups que j'ai encaisser. De la personne fragile que je suis de l'intérieur. Et la personne forte que j'ai l'air de l'extérieur.

- Bienvenue! Me dit le garçon.

- Où sommes nous?

- Nous sommes à Neverland.

- Heu... C'est une blague!? Tu me prend pour qui? Ce monde magique n'existe pas.

- Si il existe tout en a la preuve sous les yeux.

- Je ne te crois pas.

- Et ça? Ça te fait changer d'avis? Me dit il en faisant un rond avec sa main.

De la fumée verte sorti de celle-ci et il disparu au milieu de toute cette brume verte. Il avait disparu. Comme ça. D'un tour de main. Je crois qu'il ma convaincu.

- Je suis content de t'avoir convaincu! Je n'ai qu'à me présenter maintenant.

- Comment c'est tu que tu m'a convaincu!? Je n'ai pas parler pourtant.

- Je lis dans les penser. Je peux savoir ce que tu pense a tout moment et là tu te dis que c'est un truc de fou et que ce n'est sûrement pas réel. Je me trompe?

- No...Non.

- Vien alors je vais te dire qui je suis.

- Bon!

- Je suis Peter. Pete...

- Peter pan. Oui c'est bon je le sais ce monologue. Il a plusieurs histoire à ton sujet et chaque fois tu dit cette phrase. Qui me tape sérieusement sur le système.

- Et toi? Tu ne te présente pas?

- Je ne peux pas.

- Ah bon? Pourquoi? Ah... Ok c'est bon j'ai compris. Tu ne sais plus ton prénom?

- Oui c'est ça...

Il fit le même geste que les minutes précédente , quand d'un coup mes penser me revinrent.