Printemps 1917

Aujourd'hui est un jour comme les autres depuis que la guerre a éclaté. La fumée noire des bombes, les corps inertes et la forêt meurtrie sont devenus l'emblème de mon paysage depuis ce litige militaire.

Cela fait si longtemps que je n'ai vu le Ciel dégagé. Pouvoir respirer normalement ou encore vivre sans avoir peur de recevoir une balle. Mais au lieu de cela je suis contrainte à vivre dans l'ombre et la peur.

Du haut de mes 18 ans, je n'ai pas eu la chance de devenir le médecin que j'ai tant rêvé d'être. Car, la guerre nous prive de nos rêves et nous contraint à nous battre.

C'est le cœur lourd et le regard affligé que je passe mes journées à soigner les hommes blessés. Le pire, c'est quand j'ai affaire à un gamin. Je pense donc dans ce cas, à mon petit frère disparu depuis l'aube de cette bataille.

La française asservie que je suis n'a jamais cessé d'être contre cette guerre au allure dévastatrice et de regretter d'avoir une partie d'elle dans le camp enemie. Mes yeux bleus, la reflète largement. Et même mon prénom, est un don de sa personne. Perle.

Que vous dire de plus, je passe mes journées dans ce lieu infâme à atteindre que tout s'arrange mais hélas, c'est une cause perdue. Ma seule activité, aider mon père à faire des recherches ici à Ypres afin d'obtenir de nouvelles armements capable d'éradiquer ce fléau.

Ahhh!!! aujourd'hui encore l'air est si sale que les larmes me perlent les joues. se paysages sombre me plante dans un someil profond ;je peux me le permettre.
(Une voie affoler acheve mon sommeil)

-perle (une fois urlante)

-quoi

-il sont là, l'armée levés toi vite
.ces fils de putes ont passé la frontière

- papa(pleurant)

- viens perle

Un coup de feu se fait entendre tandis que papa attanche des affaires pour fuir tous en m'expliquant que l'armée allemande avait cette fois encore attaque la capital et cette fois par malheur,ils ont réussi à prendre nôtre siège.
Les bruits assourdissant des balles perdues et des explosions résonnait et papa me prend la main pour sortir lorsque je remarque que la maison es encerclé.

- oh my god!!!
voilà c'est la fin, il nous encercle y'as pas de solution que mourir avec dignité aurevoir