Prologue: Chaos à l'Olympe.

Eh ! Je reviens avec une nouvelle fiction sur Percy Jackson ! Oui, c'est ma troisième fiction sur cet univers, mais y'a tellement de chose à écrire sur Percy Jackson, aussi. J'aime tout autant écrire sur cet univers-ci, car j'adore avant tout Percy Jackson ✨💖 Bref, c'est un petit mot pour vous remercier de lire cette nouvelle fiction que j'écris depuis quelques mois déjà et j'aimerais avoir votre avis sur le prologue. J'avais très hâte de vous le poster. Attention, il est très long, mais il place très bien le début de l'histoire. Du coup, je vous laisse languir cette nouvelle fiction et n'hésitez pas à me dire vos appréciations. 💖 

Bonne lecture 📖

PS: S'il y'a des fautes d'orthographes ou de syntaxe, peu importe, n'hésitez pas à me le précisez en commentaire, je le corrigerais ! Merci d'avance~ 

Edit: J'ai modifié quelques vocabulaires que j'avais mise, auparavant, dans ce prologue. L'un d'entre-vous m'avez rappeler que Rhéa est la mère de Zeus et non sa sœur. Rien de cette erreur, ne change grand chose au prologue et heureusement ! Ha ha ha. Merci de m'avoir corrigé sur cette énooorme bourde.   Et Cronos est présent ici dans ce prologue, parce que je le fais revenir juste avant qu'il ne soit envoyé au Tartare...

oOo


Dans l'Olympe, le temps était beau, les oiseaux chantaient et voltigeaient dans l'atmosphère sans se préoccuper de quoi demain était fait. Les feuilles des arbres dansaient au rythme du vent qui sifflait dans le royaume des Dieux. Un grand château blanc surplombait les plaines où les rayons solaires le faisaient scintiller de mille feux sans soucis, éblouissant quiconque regardait le château.


L'Olympe se préparait pour un grand événement que tous attendaient avec impatience. Un mariage. Tout le monde y était convié parmi les Dieux, tout le monde sauf Hadès, le frère de Zeus. L'intérieur du palais était couvert de dorure et d'ornement blancs et ors. Des grandes tables, où longeait de la nourriture à en perdre de vue, longeaient dans la grande salle de bal du plais de l'Olympe. Un grand lustre trônait au plafond et illuminait chaque recoins de la salle de bal. Un tapis rouge avec des gravures or étaient installé sur les marches qui menaient au trône de Zeus. La pièce était tout autant illuminée par les rayons du soleil qui traversait les fenêtres des murs. Les Dieux et les Déesses, pourvus de leur grandes tenues de soirées, discutaient entre eux dans la grande salle sous le regard bienveillant de Zeus, la main gauche tenant sa mâchoire. La tête légèrement penchée, il regardait l'ensemble des invités, attendant avec impatience les mariés. De là où il se trouvait, il pouvait voir, près du banquet, Poséidon discuter houleusement avec Aphrodite, Héra, Hermès et Hestia d'un sujet qui semblait les passionner chacun différemment. 


Bientôt, le brouhaha qui remplissait la salle se tut et Zeus se redressa, époustouflé par l'entrée de la mariée et de sa beauté éternelle. Les grandes portes de la salle s'était ouverte et les mariés, les bras l'un dans l'autre, pénétraient dans la salle. La marié était habillé d'une robe blanche qui lui allait à merveille. La robe montrait ses épaules nues, une dentelle ornait le haut de la robe et collait en bas des clavicule de la jeune femme. L'arrêt du haut s'arrêtait juste en dessous des épaules et partait en voile à l'arrière du dos. Le voile traînait au sol tout comme le pan de la robe qui partait en cercle, cachant ses souliers blancs en talon. Le haut de la robe scintillait puisque le haut était fait de perles et de dentelle. Le reste de la robe était lisse et montrait les formes harmonieuses de la mariée. 


Ses cheveux marrons étaient remontés en un chignon tressé et où des ornements de fleurs blanches s'incrustaient dans sa chevelure. Elle avait un petit maquillage très discret et avait des boucles d'oreilles, très longue, en forme de feuilles, montrant sa symbolique de déesse. Une petite couronne faite de feuilles d'or entremêlés ornait le dessus de sa tête, tenant un petit voile qui cachait les autres ornements de son chignon et descendait jusqu'au milieu de son cou. Accroché autour de son cou, un pendentif en forme d'oiseau tenant un mais dans son bec pendouillait jusqu'à ses clavicules, montrant la symbolique de son statut de Déesse.


—Qu'est-ce qu'elle est ravissante, s'extasia Aphrodite en l'ayant admirée.

—Tu es beaucoup plus sublime qu'elle, Aphrodite, le complimenta Hermès.


Aphrodite rougit tout en tapant amicalement l'épaule droite d'Hermès et en pouffant de rire. 


—Ne dis pas n'importe quoi. 

—Pourquoi dirais-je un mensonge devant une fleur qui vient à peine d'éclore ? demanda Hermès, légèrement vexé. 


Aphrodite ne sut que répondre et baissa la tête avant de reporter son attention, quelques secondes plus tard, sur le couple festif qui avaient tardé leur mariage puisque tout leurs fils et filles étaient présent dans la pièce pour cette occasion.


Son futur mari était habillé d'un costard simple dans les tons noirs et blancs. Il avait les cheveux noirs et qui partait à l'arrière, bien coiffé.


Les pas des mariés pénétrèrent la grande salle de l'Olympe et ils se mirent au milieu. Le mari prit sa future femme par la taille d'une main, rapprochant son corps du sien d'une manière sensuelle et de l'autre tenant sa main. Quant à la mariée, elle tenait de son index, un morceau de son voile et son autre main, tenant l'épaule carré de son futur mari. Tout en se regardant dans le blanc des yeux, ils commencèrent à valser au rythme de la musique qui commença à retentir contre les parois de la grande salle. Ils dansèrent sous les yeux admiratives et bienveillants de leurs amis.


Une fois la danse finie dans un dernier tournoiement lancé par le mari, la femme sourit en entendant les applaudissements à ses oreilles. Ils firent la révérence et se dirigèrent vers Zeus qui applaudissait en souriant.


—Mère ! Mon futur beau-père, quel plaisir de vous voir en cette ravissante soirée.

—Tout le plaisir est pour nous, mon frère, déclara Rhéa, la mère de Zeus.


Zeus ria et se leva de son siège pour rejoindre sa mère au bout des marches. Il la prit dans ses grands bras musclés et salua son futur beau-père d'un regard et d'un hochement de tête respectueux. Après tout, ce Dieu était l'un des plus puissants de l'Olympe en comptant lui-même et Poséidon.


—Cronos, salua-t-il.

—Zeus, dit ce dernier sur le même ton joviale.


Rhéa étira ses fines lèvres rosées par son rouge-à-lèvre peu voyant et elle serra fort le bras qu'elle tenait entre sa poitrine et son bras. Les yeux pétillants elle discutait jovialement avec son fils et son futur mari. La musique gracieuse et voluptueuse résonnait dans toute la salle, faisant danser chaque Dieux et Déesses présents jusqu'à ce que Zeus fît arrêter la musique d'un coup de main.


—Nous allons maintenant apprêter à la cérémonie de mariage pour unir ma mère et son futur mari, déclara-t-il.


Après les propos de Zeus, une arche remplie de fleur blanches et bleus apparurent au-dessus de la tête de Rhéa et de Cronos. De plus, comme par magie, le plafond de la grande salle fut décoré de fleurs du jardin, cachant le plafond original et faisant comme s'ils étaient à l'extérieur. Les fenêtres, de l'intérieur, était ornée de dorure florale. Les invités s'agglutinèrent dans la salle pour être sur les premiers rangs afin de voir les mariés. Zeus commença à énoncer le discours de mariage sous les yeux pétillants et amoureux des mariés. Puis, un coussin rouge et or apparut entre Zeus et les mariés par un petit Dieu qui le maintenait entre ses petites mains. Dessus, des bagues en argent orné de petites feuilles tressées entourait la bordure de la bague.


—Vous pouvez faire les vœux de mariage, énonça-t-il, le cœur joyeux et fier.


Aussitôt dit, aussitôt fait. Le mari prit l'anneau et la mit au doigt de sa femme en dictant ses vœux de mariage tout comme le fait, l'instant d'après, Rhéa.


—Félicitation, je vous déclare mari et femme. Vous pouvez embrasser la mariée.


Alors que Cronos s'était rapproché de la mariée, tout en tenant ses mains douces et frêles depuis qu'ils avaient mis les anneaux de mariages, le beau temps de dehors se tarit et laisse place à une tempête effroyable.


Le lustre clignota et les ampoules éclatèrent faisant crier de peur les Déesses et les Dieux qui se penchèrent sur eux-mêmes, essayant d'éviter les verres des ampoules. Cronos s'arrêta dans son mouvement et Rhéa regardait autour d'elle, alors que la grande salle était sur le point d'être que ténèbres en ce si beau jour. Zeus regardait le centre de la grande salle avec les yeux plissés et le visage inquiétant.


La pluie s'éclata sur les fenêtres et fortement, elles se brisèrent. Les verres parsemèrent le sol immaculé et faisant reculer les invités jusqu'au centre de la grande salle. Le vent puissant et sauvage éteignit les quelques bougies allumés et faisait virevolter rageusement les robes et les cheveux de tout le monde comme un mauvais présage.


Puis, le silence revint avant qu'un rire éclatât dans la grande salle avant d'apparaître en plein milieu. Il alluma vigoureusement les bougies de la grande salle de balle, le faisant apparaître. Les yeux de Zeus s'ouvrir en grand et il fronça les sourcils.


—Hadès...souffla-t-il, mécontent.

—Oh, bonjour mon frère. Je vois que vous avez commencé la fête sans moi, ce n'est pas très gentil de votre part, commença Hadès en marchant dans la grande salle, laissant une fumée noire traînée derrière lui.

—Que fais-tu là, Hadès ? demanda Zeus en dépassant sa mère et son mari, surplombant les marches.

—Oh, je me disais que ça serait bien que je passe par ici et que je passe mes félicitations à ma mère, voyez-vous. J'étais très en colère et triste en voyant que vous ne m'avez pas invité en ce si beau jour de...fête. Ha ha, que dis-je! Ce n'est pas dans votre habitude, de toute façon, de m'intégrer dans vos magouilles. Je m'en vois vaincu et incroyablement ignoré. Je suis toujours le dernier à être sur la liste, de toute les façons.

—Si quelqu'un trempe dans des magouilles, mon cher frère, c'est toi.


Hadès ria jaune, faisant tressauter ses larges épaules et son rire fit naître la peur chez les Dieux et les Déesses.


—Je veux que ça change, Zeus. C'est pour ça, je suis venu te faire un marché.

—Un marché ? Je ne marchande pas, Hadès et tu le sais très bien.

—Oh très bien, très bien. Je m'en vois désolé ! Tu ne voudrais pas qu'il arrive quoi que ce soit au fils de Poséidon, je présume ? menaça Hadès.

—De quel droit tu oses me menacer ?


Hadès sourit et entremêla ses doigts. Les yeux se tournant vers Rhéa et Cronos.


—Ce n'est qu'un tout petit, petit, petit marché, vois-tu. Je me sens seul dans les bas-fond, tu sais. Même si j'ai quelques âmes par-ci par-là, une femme qui est à mes côtés et qui n'arrête pas de me tromper par je-ne-sais-quel-moyens ! Tu vois, j'en ai marre d'être dans l'ombre de mon frère et dans cette endroit de folie, ou je n'arrête pas d'entendre mes chers âmes psalmodier de l'aide, ce qui me fait atrocement rire, vois-tu. J'ai tellement besoin de compagnie et d'activités. Je m'ennuie. C'est terriblement lassant de faire tout le temps la même chose. Puis, subitement, j'ai eu une idée qui m'est donné par une âme tiens-donc.


Hadès rigola, son rire fit tressaillir Rhéa et quelques Déesses dans la grande salle de mariage.


—Je n'ai pas le temps à t'accorder, mon très odieux frère. Retourne d'où tu viens, ordonna Zeus.

—Laisse-moi finir, tu veux ? Je me disais donc, que si je voulais faire cette petite activité qui m'est venue à l'esprit et je sais que j'ai de très bonnes idées, je m'étais dis que tu pourrais me l'accorder au risque de ton royaume. Vois-tu, j'aimerais bien m'accaparer de cette chose. Vois-tu, comment ça s'appelle déjà ? Mmmh...Voyons, c'est très rare et c'est quelque chose dont tu l'obtiens par toutes ces valeurs inutiles...Ah oui, la couronne magique. C'est un objet de valeur, tu vois. Avec cette couronne je pourrais refaire mon enfer. Je m'ennuierais moins.

—Hors de question ! Je ne te donnerais pas cette couronne. Et puis, tu ne pourrais jamais l'avoir puisqu'on l'obtient par union d'un amour éternelle, loyal et éternelle. C'est une couronne précieuse pour le monde de l'Olympe. Elle tient espoir et donne l'amour qu'elle reçoit. Je ne te laisserais pas la terrir par ta magie diabolique, mon frère.

—Patati, patata. Zeus, Zeus...Tu ne me comprends déjà donc pas ? Avec cette couronne, je pourrais renaître de mes cendres comme ce mauvais oiseau de malheur. Et...malheureusement pour toi, je l'ai déjà en ma possession, rigola Hadès.


Zeus écarquilla les yeux tout comme Rhéa. Rhéa était l'une des gardiennes de cette couronne et le fait qu'Hadès dise cela la contrariait, la frustrait et l'horripilait.


—Menteur ! Tu n'as pas la couronne ! cria-t-elle, se détachant des bras de Cronos et en pointant du doigt le frère mauvais et détestable de Zeus.


Hadès sourit et ce n'est que trop tard, quand Hadès pointa le plafond que le chaos régna.


—J'en conjure par ce sortilège d'envoyer Zeus à ma place, dans les tréfonds de l'Olympe ! Par ce sortilège, je me fais Dieu de l'Olympe et je bannis tous les Dieux et les Déesses de ce royaume, maintenant mien !


D'un claquement de doigt, Zeus disparut sans qu'il ne soit pas réagir et il réapparut dans la salle noire d'Hadès. Un feu de cheminée éclairait le salon et des chiens aboyaient sur lui. Un canapé en forme de « u » était installé devant le feu qui crépitait et hurlait de sa noirceur, de sa tristesse et de sa colère. Une grande table séjournait contre le mur droit, des victuailles ornaient le dessus. Zeus pouvait entendre des bruits de pas arriver dans le salon et il se retourna. Il vit une jeune femme belle et dans une robe noire. Ses cheveux étaient tressés et cachaient son épaule gauche. Elle sourit en voyant Zeus et s'accota contre le rebord de la porte du salon, les bras croisés.


—Alors comme ça, Hadès a réussi à enfermer son propre frère dans le royaume des Enfers...Intéressant, dit-elle.

—Perséphone, dit-il en la reconnaissant entre milles.

—Bienvenu dans les enfers, papa, dit-elle avec rage.


Zeus plongea son regard azur dans ceux noirs de sa très chère fille qu'il n'avait pas vu depuis des siècles. Quant à Hadès, il rigolait fortement en voyant la terreur dans les yeux de Rhéa et de Cronos.


—Qu'as-tu fait de mon frère, espèce de—!

—Hop, pas d'insulte à mon égard, jeune Déesse.


D'un coup, il réussit à enlever la voix de Rhéa qui écarquilla les yeux, voyant qu'elle ne pouvait plus parler. Elle se tourna vers son époux, les larmes aux yeux. Cronos la prit dans ses bras et regarda furieusement Hadès.


—Oh que c'est touchant ! Je plaisante ! Je ne me laisse pas attendrir aussi facilement. Et puis, je m'amuse tellement ici. Ha ha ha, c'est mieux que dans les Enfers.


Il fit tournoyer une boule virevoltante entre ses voix, un timbre de voix émanait de ce filet d'or, montrant que c'était bel et bien la voix douce et autoritaire de Rhéa. Hadès mis ce filet d'or dans un petit sablier de temps qui pendait sous la cape bleue et noire d'Hadès. Ce dernier finit par monter les marches et s'asseoir sur le trône de Zeus, offusquant tous les Dieux et les Déesses du royaume de l'Olympe.


—Je suis votre nouveau Dieu, un Dieu qui règne parmi tous les Dieux. Zeus n'étant plus, ne croyez plus en lui et croyez en moi.


Puis, rageur, Cronos mis sa femme derrière lui et sortit sa faux. Hadès se mit à rire lorsqu'il vit Cronos pointer sa faux.


—Je te ferais revenir dans les Enfers et je reprendrais la voix de Rhéa. Je ramènerais Zeus !

—On a un petit ambitieux, ici, voyons. Que pourrais-je bien faire de toi, dit-il en écartant le bout de la faux de Cronos.


Cronos se jeta sur lui sous les yeux pétrifiés de sa femme et Hadès tapa dans ses mains, le visage las. Cronos s'arrêta et disparu. Rhéa amena ses mains contre sa bouche, les yeux écarquillés. Cronos réapparut quelques minutes plus tard, transformés en chien. Une patte encerclé d'un anneau et d'une chaîne qui était maintenu contre un mur. Cronos grogna de mécontentement. Rhéa se jeta sur lui pour le prendre dans ses bras, mais Hadès l'arrêta, la figeant dans l'espace-temps. Une petite poudre encercla la jeune femme.


—Par tous les Dieux, je suis le maître ici. Personne ne doit se rebeller au risque de se voir transformer en un chien ou en une âme perdue, dit-il férocement, gelant le royaume de peur et de noirceur.


Il rigola, son rire se rependît dans tout le royaume de l'Olympe. Cependant, la seconde d'après, ayant marre de s'ennuyer, il transforma tous les Dieux et les Déesses présents dans la grande salle en fleur et les emprisonnant dans le sablier du temps qu'il avait sous sa cape et accroché à sa taille d'une ficelle assez solide. Certains, se firent transporter dans une autre salle et transformé en âme errante dans des bassins d'âme comme il avait dans les Enfers.


L'Olympe était tombé sous les mains d'Hadès en un rien de temps sans que les Dieux et les Déesses puissent réagir sous l'effet de surprise et de peur qu'avait formulé Hadès.


—Je vais pouvoir m'amuser, maintenant, déclara Hadès.


Il regardait sournoisement la grande salle de balle plongée dans les ténèbres, les vitres et le lustre brisées, aucun Dieux et Déesses présents sauf Cronos et Rhéa présents, le silence régnant en maître. Hadès entrelaça ses doigts entre eux et son sourire s'agrandit sur son visage mate. 


oOo

Alors, qu'est-ce que vous en pensez ? 

Aimez-vous bien le prologue ? 

Que pensez-vous qu'il se passera dans les prochains chapitres ? 

Qu'attendez-vous de cette nouvelle fiction ?

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