Chapitre 25: Incommode
Salut ! Comment vous allez ? Je vous publie, aujourd'hui, après une semaine, le chapitre 25. J'espère qu'il vous plaira ! N'hésitez surtout pas à mettre votre opinion sur le chapitre ou l'histoire jusqu'à maintenant en commentaire.
Sur ce, je vous souhaite une superbe lecture avec ce chapitre 25. 📖✨
PS: Je rappel que les images que je mets en média ne sont pas de moi, je les prends sur google image. Je pense que c'est bon de le rappeler. Je les enlèverais si cela gêne des personnes.😉
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—Bon, qu'est-ce qu'on fait ? demanda Annabeth, l'après-midi touche à sa fin, on doit aller se reposer, renchérit-elle.
Percy s'ébouriffa les cheveux et regarda son groupe d'ami. En les observant, il vit une vieille pancarte suspendue à un poteau en horizontale. Il le suivit du regard et sourit en voyant la bâtisse.
—J'ai trouvé. Allons-nous reposer là-bas, dit-il en montrant un hôtel bien bâtit.
Ils se rapprochèrent de la bâtisse qui faisait très ancien temps et à la fois, dans les styles rustiques et moderne. Un toit surplombait la rue et faisait en sorte que, de l'extérieur, l'auberge était grande alors que c'était une petite aubergiste pour les voyageurs. Les murs extérieurs étaient en pierre et la porte massive en bois rendant encore plus vraie le côté rustique de l'auberge. Un fronton tenait l'écriteau du bâtiment. Ils ouvrirent la porte et un bel accueil chaleureux les accueillis.
Sur la droite, ils pouvaient voir une cantine avec des longues tables en bois et des chaises en faux cuir les entourer. Ils avaient une vue sur le grand jardin derrière l'auberge si on se retournait des tables qui étaient positionnée en horizontale. Du côté droit en verticale, un mur en pierre entourait la salle à manger et aidait la décoration de l'habitacle en portant des petites étagères rustiques pour des petites plantes qui mettaient de la verdure dans l'auberge. Au centre du plafond, un immense lustre tamisait la pièce.
À gauche, un bureau en rectangle et courbé aux extrémités étaient positionnée près de la porte d'entrée. Des cadres montrant les paysages naturelles, des prix et des membres du personnel autour d'une table ornaient le derrière et à côté du bureau. Le bureau était muni d'une caisse et de papiers administratives.
Devant les adolescents, ils pouvaient voir un escalier presqu'étroit qui menait au second étage. Un piano était posé contre le mur des escaliers et à côté de la grande baie vitrée. Une porte en bois était à côté du bureau menant, possiblement, au salon du personnel. Un autre petit lustre était au-dessus du bureau. Une vieille dame sorti de la pièce de derrière la porte et ignora les adolescents.
—Madame ! Excusez-moi, madame ! appela Annabeth en la voyant s'éloigner vers une deuxième porte cachée par l'embrassure d'une grande arche qui séparait la cantine de là où ils se trouvaient tous.
La vieille dame se retourna et plissa les yeux en voyant les adolescents.
—Excusez-moi, mais mes amis et moi on aimerait avoir une chambre pour la nuit afin de nous reposer. On a une longue à faire et...
—Ne blablatez pas ma chérie, je vais vous préparer une chambre. Suivez-moi, dit-elle d'une voix criarde.
Annabeth sursauta à la familiarité de la vieille dame avec eux et elle regarda d'un air inquiet ses amis. Grover secoua la tête dans tout les sens en essayant de ne pas geindre de frayeur. Il n'avait pas confiance en cette dame. Son instinct de Satyre l'en dissuadait de s'en approcher. Cependant, ils n'avaient pas le choix s'ils voulaient se reposer. Grover suivit avec peu d'assurance ses amis qui suivaient déjà la vieille dame s'en se méfier, même s'ils trouvaient l'ambiance, tout à coup, moins chaleureuse.
Alycia vit des cadres de décoration sur les murs lorsqu'ils montèrent les escaliers, mais ils prenaient un autre escalier que celui de devant l'entrée qu'ils n'avaient pas aperçue. Il y'avait peu de couloir, mais de nombreuses portes ornaient les deux murs du corridor. Des cadres ornaient toujours les murs de pierre et des petites lumières étaient installés sur le plafond pour éclairer. Il n'y avait pas de fenêtre et de ce fait, la lumière naturelle était inexistante dans le couloir menant aux chambres du motel.
—Ça m'a vraiment surprise de vous voir à l'entrée jeune gens, dit-elle d'une voix aigrette, qu'est-ce qui vous amène dans le coin ? Je ne vous ai jamais vu par ici, renchérit-elle.
—Oh, nous profitons de notre semaine de vacance avant qu'on reprenne les cours, déclara Annabeth.
—Oui, on a décidé de partir de notre ville pour venir ici. On trouvait que le coin était sympa et y'a plein de chose à faire ici, non ?! rajouta Percy.
Alycia se mordit la lèvre en voyant que Percy et Annabeth essayaient de mentir à la vieille dame. Apparemment, eux non plus ne portait pas confiance envers cette vieille dame. Percy écoutait, au moins, le conseil donné par Hermès il y a, à peine, quelques heures. Leurs pas craquaient sur le plancher et parvenait désagréablement aux oreilles d'Alycia, indiquant que la bâtisse en avait vécue des événements.
La vieille dame s'arrêta devant une porte et se courba pour insérer une clé dans la serrure et ouvrir légèrement la porte. Grover s'avança pour pénétrer dans la pièce, mais la propriétaire l'arrête.
—Patiente, mon petit. Est-ce que vous voulez deux chambres mixtes ou non ? Est-ce que cette jeune fille et ce jeune homme veulent dormirent dans la même chambre ? demanda la vieille dame en se tournant vers Alycia et Percy.
—Pardon ? demanda Alycia, surprise de la question de la vieille dame.
—Voyons, ne jouez pas à ça avec moi, jeune gens. Moi aussi j'ai une jeunesse, ha ha ha. Je sais ce que c'est l'amour. Je pense que vous formez un joli couple, vous deux, renchérit-elle donnant le rouge aux joues à la jeune sorcière et Percy toussota.
Alycia et Percy croisèrent le regard de chacun et le jeune homme détourna le regard en premier, le cœur battant dans sa cage thoracique tandis qu'Alycia elle savait que ses joues rebondies étaient rouges comme un coquelicot.
—Je...Euhm, vous vous trompez madame. Percy et moi...Nous ne sommes pas ensemble comme un couple, annonça-t-elle avec gêne.
—Laissez-moi en douter, jeune fille, rigola la vieille dame.
Alycia se sentait mal à l'aise. Comment une personnage âgée peut-elle plaisantée comme ça sur leur relation ? Bien qu'elle admirât beaucoup Percy et qu'elle l'admirait énormément, elle ne s'était jamais questionnée sur leur relation amicale. Ils n'étaient pas encore fusionnels et ni une complicité comme Percy avait avec Grover et Annbaeth, mais Alycia espérait qu'un jour, elle est cette même relation. Pour le moment, elle comptait garder cette relation par peur de tout perdre.
—Bien. Toi jeune homme et cette jolie demoiselle, vous allez dormir dans cette chambre. Ne vous inquiétez pas, y'a deux lits et une salle de bain. Si y'a quoi que ce soit, venez me voir en bas, renchérit-elle.
Puis, elle poussa Grover dans la chambre tandis qu'Annabeth scrutait Alycia et Percy qui étaient tous deux resté en retrait. Confuse et fatiguée, Annabeth ne se posa pas plus de question sur ce qu'il vient de se passer et pénétra dans la chambré qui était dans le style rustique que moderne. Une agréable odeur d'épice parvint aux narines de la fille d'Athéna et elle se retourna pour dire « bonne nuit » à ses amis, mais la vieille dame ferma la porte dès qu'Annabeth la franchie. Cette dernière soupira d'exaspération et s'avança encore plus dans la chambre pour voir Grover sautiller allégrement sur le lit, assit sur le matelas.
—Eh bien, on va quand même pouvoir bien dormir avec ce lit-là. Il m'a l'air confortable. Je vais pouvoir oublier cette voix horripilante de cette vieille folle, décréta Grover en frissonnant d'amertume.
Annabeth leva les yeux au ciel, exaspérée de ce comportement enfantin et alla dans la salle de bain pour se préparer à dormir.
—Venez avec moi vous deux, dit la propriétaire d'une voix cassante.
Alycia déglutit et sentie ses mains devenir moites. Percy la prit par l'épaule et la colla légèrement contre lui, étant inconfortable de la situation. Ils n'allèrent pas si loin, puisqu'ils ne firent que quelques pas pour voir la seconde porte de là où ils étaient.
Percy et Alycia se regardèrent, intrigués. La vieille dame s'approcha de la porte en bois et fit les mêmes gestes que pour la précédente. En revanche, elle laissa la porte entrouverte et se retourna vers les deux adolescents qui se trouvaient derrière elle. La propriétaire du gîte se tourna vers les jeunes et leur sourit en plissant les yeux faisant montrer ses rides, indiquant son âge avancé.
—Voici votre chambre jeunes gens, annonça-t-elle.
Alycia hocha la tête, approuvant l'information et elle vit la vieille dame se rapprocher de Percy. Celle-ci lui demanda de tendre sa main et celui-ci, regardant avec curiosité la vieille dame tout en jetant un regard incertain à sa comparse, Percy tendit sa main gauche. La dame âgée sourit et prit la main avec violence, faisant avancer le jeune homme qui émit un cri de surprise faisant paniquée légèrement Alycia qui se précipita pour tenir le bras musclé de Percy.
—Lâchez-le ! s'écria-t-elle, à répétition.
—Tu as une très belle peau, jeune homme. Très douce, agréable au toucher, complimenta-t-elle faisant déglutir Percy.
La propriétaire s'attarda un peu plus sur la main du fils de Poséidon, l'examinant dans tout ses recoins possibles avant de rigoler lorsqu'Alycia réussit à lui enlever la poigne. Leur interlocutrice regarda du coin de l'œil sa cliente et lui sourit avant de s'éloigner en rigolant. Son rire cassant se répandit dans tout le couloir faisant frissonner de malaise la jeune fille. Percy posa ses yeux bleu clair sur la paume de sa main. Il déplia ses doigts et en découvrit la clé de leur chambré.
—Qu'est-ce qu'il vient de se passer, au juste ? Qui est vraiment cette dame ? demanda Alycia.
L'événement l'avait chamboulée et elle ne se sentait pas en sécurité dans ce gîte.
—Rentrons dans la chambre, reposons-nous et n'y pensons-plus, annonça Percy, tout autant perturbé.
Alycia hocha la tête à l'affirmatif et suivit Percy. Après avoir pénétré la chambre, ils l'observèrent. La tapisserie était dans les tons marrons et de la fausse pierre était en relief du papier-peint. Des poteaux ornaient le plafond et un immense lustre éclairait la pièce, installé entre deux poteaux. Une grande vitre portait vue sur le jardin. À l'intérieure de la chambre, un immense lit double ornait le sol, couvert de draps blancs et rouges ce qui contrastait avec le reste de la chambre, les rideaux étaient tout aussi rouge. Une vieille chaise trônait fièrement dans le coin gauche de la chambre partant du mur à l'horizontale. Une deuxième porte les menait vers la salle de bain. Pas si loin, une table entourée de chaise était installée. Un petit canapé était installé au bout du lit double.
—Tu penses que tu sais où mène cette porte, Annabeth ? demanda une voix familière qui parvenait à leur oreilles.
Alycia et Percy se regardèrent, surpris et se rapprochèrent de la provenance de la voix. Ils virent une troisième porte près de la grande fenêtre qui faisait office du mur de gauche. Puis, tout aussi brutale, la porte s'ouvrit les faisant sursauter et reculer. De l'autre côté, Grover pénétra la chambre de Percy et Alycia.
—Ouah, s'étonna-t-il.
Il se tourna vers Percy et Alycia et sursauta tout autant en les voyant de l'autre côté de sa porte.
—Annabeth ! Viens voir ! C'est trop génial ! Notre chambre est commune à celle de Percy et d'Alycia ! s'écria-t-il.
Annabeth accourut et vit, qu'effectivement, la chambre de Percy et Alycia. Elle était subjuguée, mais au moins, peu importe ce qu'il arrivera dans ce gîte, ils savaient tous qu'ils pourraient compter les uns sur les autres pour cette nuit.
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