Chapitre 19: Retour chez soi
Coucou, nouveau chapitre pour cette fiction, j'espère que ce chapitre 19 vous plaira !
Le chapitre 20 arrivera peut-être la semaine pro' ou ce week-end, je ne sais pas encore ;)
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Ils marchèrent rapidement jusqu'à l'immensité de la porte grecque qui se trouvât devant eux, les surplombant de sa majestuosité ancestrale jusqu'à l'infinie leur imposant une énorme admiration à cette structure. Alycia passât une main dans sa chevelure rose et mit une mèche derrière son lobe d'oreille gauche, humectant, par la même occasion, ses lèvres rosées. Le stress augmentait en elle. La raison était simple. Elle allait revoir ses parents, mais dans quelles situations ? Allaient-ils bien ou mal ? Elle avait peur de savoir. Une main sur son épaule droite la fit se tourner vers son interlocuteur et sourit en voyant Grover la réconforter.
—Ne t'en fais pas, je suis sûr que tes parents vont bien, déclara-t-il.
—Comment tu peux en être aussi sûr ? demanda-t-elle soucieuse.
Grover ne répondit rien et Alycia baissa la tête. Elle pouvait entendre le crépitement des flambeaux qui étaient alimenté auprès de la grande porte et sous les indications d'Annbaeth, ils se mirent en route dans un silence religieux.
Leurs pas craquèrent sur les feuilles mortes et les branches qui longeaient le sol forestier de la forêt et qui parvenaient à leurs oreilles, brisant légèrement ce silence qui n'était pas si désagréable que ça. Par moment, ils pouvaient entendre des chants d'oiseau qui brisaient leur quiétude apaisant.
Ils arrivèrent à l'orée de la forêt, au bout d'un moment. L'air tiède de la forêt se dissipa et la chaleur du soleil qui les frappèrent les firent plisser les yeux pendant quelques secondes tout en leur donnant une chaleur réconfortante sur leur corps.
Une légère pente de descente et de montée se fit devant eux comme à l'allée, leur donnant une mise en valeur d'une petite crevasse accessible entre ces pentes fines. Ce fut Percy qui brisa le pas hésitant de ses amis en glissant, maintenant une main sur la pente et glissant grâce à ses pieds, en premier sur la pente descente. Percy gravit la barrière qui était installé proche du ravin pour la protection de l'environnement et des civiles.
À sa suite, Annabeth était non loin de lui, Grover montait la deuxième pente et Alycia marchait jusqu'à celle-ci après qu'elle avait descendu l'autre pente. Montant, à présent, la pente-montée, arrivée au bout, elle se fit aider par Percy. Celui-ci lui tendit sa main et la fit aider à traverser la barrière, même si Alycia savait qu'elle en était capable de le faire seule, avoir un peu d'aide n'était pas désagréable surtout qu'elle n'était pas très sportive et tout cet effort physique depuis le début, l'épuisait grandement. Elle rencontra le torse musclé de Percy quand celle-ci trébucha sur ses deux pieds gauches et que Percy l'aida à se maintenir. Sa maladresse la rattrapait.
—Est-ce que tu vas bien ? demanda Percy, inquiet.
Le souffle court, Alycia ne put qu'hocher la tête. Ses mains posées contre les muscles du torse du jeune homme et ses joues rosirent en sentant ces battements de cœur retentir contre son oreille droite. Elle se décala du son maintien et hocha de nouveau la tête comme si elle pensait que Percy ne l'avait pas vu répondre à sa question. Celui-ci sourit et lui prit la main d'un geste tendre pour qu'ils poursuivent leur route commune. Le rougissement d'Alycia s'agrandit et c'est pivoine, qu'elle suivit le jeune homme qu'elle admirait tant depuis leur rencontre et leurs œillades au lycée.
Le soleil tapait dans leur dos sans que cela ne les dérange. Arrivée en ville, le quatuor se regardèrent inquiet.
—Vous croyez qu'ils sont encore là ? Ceux qui nous poursuivent ? demanda Grover.
—Je n'en suis pas sûre, Grover, mais s'ils sont tenaces ils seront présents. Sinon, ils attendront le bon moment avant de se montrer. Cela dit, ce magicien biscornu et son acolyte fou n'attendront pas bien longtemps, répondit Annabeth.
—Allons-y, ne perdons pas trop de temps si on veut aller chercher cette couronne. Il ne nous restera plus beaucoup de temps avant le solstice d'été, dit Percy, on te suit Alycia, rajouta-t-il en l'observant.
Alycia hocha la tête à ses propos et elle se mit en marche montrant le chemin qu'elle empruntait tout les jours de sa maisonnée pour se rendre au lycée. Bifurquant sur plusieurs intersections avant de pénétrée sur deux ou trois rues plus droite que sinueuse, Alycia se sentait anxieuse. Qu'allait-elle faire lorsqu'elle verrait ses parents ? Les serreraient-elles dans ses bras ? Aura-t-elle le temps de leur parler ? Toutes ces questions lui tordaient l'estomac et une main sur son épaule la fit sursauter. Se retournant vers son interlocuteur, son regard s'adoucit en voyant le regard tendre de Percy.
—Tout va bien aller. On te laissera autant de temps qu'il en est possible pour que tu puisses parler avec tes parents. Vous en avez besoin, dit-il confiant.
Alycia émit un léger sourire rassurée et ses yeux se détourna de ceux écumes du fils de Poséidon pour croiser, enfin, une maisonnée au bout de la rue. C'était sa maison. Rien n'avait changé de l'extérieure, mais elle savait très bien qu'à l'intérieur rien n'était plus pareil. Stressée par l'anxiété de revoir ses parents, Alycia se précipita vers sa maison suivit de près par Percy, Grover et Annabeth qui lui emboitaient le pas aveuglément.
Arrivé sur le porche de la maison, Alycia s'arrêta et reprit une respiration normale. Percy, Annabeth et Grover se stoppèrent à leur tour. Percy se rapprocha d'Alycia et lui pressa amicalement l'épaule pour la réconforter. Remettant à nouveau sa mèche rose derrière son oreille droite qui avait décrochée, Alycia ouvrit la porte de chez elle, le cœur battant et inconfortablement.
La quiétude qui s'était installée entre les adolescents disparurent immédiatement lorsqu'ils pénétrèrent le hall d'entrée de la maison pour qu'un silence pesant abattit sur leur épaules. Alycia jeta un coup d'œil à l'escalier devant la porte d'entrée qui longeait le mur droit, le placard qui longeait le mur gauche et y'avait un grand tapis avec arabesque de couleur marron et beige qui longeait le sol d'entrée. Un craquement se fit entendre lorsque Grover marcha, par accident, sur un objet qui longeait le parquet.
Grover enleva son pied et s'excusa presqu'immédiatement à la jeune fille qui regarda l'objet en fronçant les sourcils. Percy se baissa pour ramasser quelques morceaux de l'objet pour le montrer à son amie. Celle-ci le prit et vit que c'était une petite tête d'ours d'une figurine qui était normalement posée sur l'étagère contre l'escalier. Sur l'étagère, seulement le reste du corps de la statuette d'ours était présente. Cependant, ce qui était bien étrange, c'était qu'il n'y avait rien de renversé au hall d'entrée.
—Papa ? Maman ? appela-t-elle d'une voix fébrile.
Elle répéta ces mots à plusieurs reprises dans la maisonnée tout en pénétrant dans chaque pièce de la maison : le salon près du hall, la salle à manger qui était à l'opposé du salon, la cuisine à gauche et qui s'ouvre sur le hall. Dans un petit recoin, entre le couloir de la cuisine et le dos des escaliers, se trouvaient les toilettes. Des cadres familiaux ou décoratives ornaient les murs selon les pièces. Alycia retourna vers le hall et monta les escaliers une à une. Elle pénétrât, en premier, dans les bureaux de ses parents et elle finit par la chambre de ces derniers, mais rien. Il n'y avait personne.
Personne.
Personne.
Personne.
Alycia reculât et percuta le torse de Percy qui lui prit les épaules pour la réconforter.
—Ils ont dû s'absenter pendant un court moment...Faire des courses, un rencard, etc, conseilla Percy en essayant de rassurer la jeune femme.
Mais ils savaient tous deux que ce n'était pas la peine. Il y avait quelque chose derrière leur disparition si soudaine. Alycia se souvient que leur adversaires avaient prit l'apparence de sa mère pour la duper. Cette fois, c'était certain.
Alycia se sentait au dépourvue. Pourquoi ? Pourquoi faisaient-ils ça ? Qu'est-ce que cela avait-il avoir avec elle et sa famille, ses origines ? Quel est le lien qui l'unissait au solstice d'été ? Tant de questions la submergea et sous le stress et l'émotion, elle finie par tomber complètement dans le néant.
Percy rattrapât la jeune femme lorsqu'il vit Alycia tomber à la renverse.
—Alycia ? Alycia ! l'appela-t-il, en vain, en la secouant légèrement par les épaules.
À son appel, Annabeth et Grover arrivèrent pour constater la situation. Ils se regardèrent inquiet et aidèrent Percy à amener Alycia dans sa propre chambre.
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