|Douleur

Tout, un jour, se finit,
Sauf le ciel qui est infini.
Tout comme la douleur
Qui n'a jamais de fin en couleur.

Plus de plume sur les ailes,
Seulement des squelettes de ce vieux rêve.
Je dois créer des ailes industrielles,
Ô je souhaite tellement une trêve !

Une trêve de la fatigue, de la peine,
De la douleur, de la colère.
Bizarre, aucune haine,
Juste une mélancolie similaire.

Si souvent envie de crier,
Je gratte alors sur le papier.
Pas d'autre moyen de m'exprimer,
Si ce n'est pleurer
En espérant encore rêver.

Tout, un jour, se finit,
Sauf le ciel qui est infini.
Tout comme la douleur
Qui n'a jamais de fin en couleur.

Plus de plume sur les ailes,
Seulement des squelettes de ce vieux rêve.
Je dois créer des ailes industrielles,
Ô je souhaite tellement une trêve !

Une trêve de la fatigue, de la peine,
De la douleur, de la colère.
Bizarre, aucune haine,
Juste une mélancolie similaire.

Ô être disgracieux !
Ô être malheureux !
Un peu fêlé,
Mi corazon essaye de se réparer.

Une larme invisible
Dans les vagues de l'âme.
Est-ce risible
Ou infâme ?

Plus de plume sur les ailes,
Seulement des squelettes de ce vieux rêve.
Je dois créer des ailes industrielles,
Ô je souhaite tellement une trêve !

Quelques coups au cœur,
Je vole en éclats.
Ô précieuse douleur !
Je veux lui dire "Mahal kita".
Mais je ne peux pas,
Chère douleur, à cause de toi.
Dire qu'il croit en moi...

Une larme invisible
Dans les vagues de l'âme.
Est-ce risible
Ou infâme ?

Ô être disgracieux !
Ô être malheureux !
Un peu fêlé,
Mi corazon essaye de se réparer.

Tout, un jour, se finit,
Sauf le ciel qui est infini.
Tout comme la douleur
Qui n'a jamais de fin en couleur.

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