Poème XVIII

Le temps s'écoule. Lentement.

Elle pleure, se perdant.

La tête lui tourne.

De tout ceux qu'elle connaît, elle se détourne.

Le sang, inévitablement, vient tacher ses vêtements.

Elle sourit et se dit que ce n'est rien de bien méchant.

Elle tourne sur elle-même, reine d'un pays imaginaire.

Elle tourne sur elle-même, puis tombe à terre.

Le temps s'accélère.

Le monde se met à tourner autour d'elle.

Et juste le temps que dans ses yeux s'allume une étincelle.

La voilà dans les bras de la dame drapée de tissus mortuaires.

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Heyo, nouveau poème.

Toujours aussi joyeux ahah *kof kof*...

M'enfin.

Qu'en pensez-vous? Je remarque, que je laisse de moins en moins place à différentes interprétations.

Follement,

Kiwi,

l'étrange délurée.

L'inspirée.

Vendredi 12 Février 2016.





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