En ce soir où la lune est haute et belle, les mots font un tumulte dans sa tête. Des idées se disputent, disparaissent.

Les mots sont là, mais ne veulent pas s'imposer. Ils sont comme Elle, à ne pas vouloir choisir, à fuir si c'est possible.

Choisir, c'est prendre le risque de perdre un chemin, choisir, c'est compliqué.

Alors, les livres, les Mangas ou encore les série mièvre au possible viennent égayer son monde.

Ah ! La fuite ! C'est la simplicité. En soit, c'est ignorer le réel, c'est vivre pour les autres.

Les autres, vivre pour eux, c'est nettement plus simple que de penser à soi.

Si on pouvais s'effacer pour eux, la vie serait plus simple.

Fuir, oublier, le passé. Fermer une porte est si attrayant.

Mais la porte, elle se rouvre dans la plus part des cas. Le vent en est souvent la cause. Alors, si, elle -la porte- n'a pas été rouverte par soi même, c'est un déluge de conséquence qui s'abat.

Tourments inutile, Inquiétude futile. Je désire ne plus inquiété qui que ce soit.

Partout où mes pensées se posent, se trouve pire que mes propres problèmes. Alors, Pensées, cessez d'être égoïste.

La vie est positive, la vie est belle.

Un filament de tissu rouge au poignet, nouer par un mot. J'ai prononcé ce mot pour moi et pour lui. Je me suis attaché ce bout de tissu et je dois lutter pour que ce rouge survive, car je l'ai promis.

Alors je file courir à côté de mon Zèbre, accepte que l'égalité se brise pendant dix-sept jour.

Je pose un pied puis l'autre, le vent dans mes cheveux, un fin sourire sur le visage, il faut vivre pour eux, il faut sourire car la joie est la clef.

Nul repos pour sa personne.