Chapitre 8

PDV Extérieur

_ Tout simplement parce-que le chanteur de ce groupe est un des chanteurs, les plus en vue du moment et aussi une célébrité qu'Alec rêve de rencontrer, explique la jumelle tout en regardant son frère aîné qui a les joues un peu rougies de ce déballage qui n'a pas sa place dans cette salle. Puis elle reprend, tout en donnant un coup de coude à son aîné, Alec a tous leurs albums, il fait partie des supers fans du groupe. Je peux vous assurer que la chanson qui a fait connaître le groupe, il l'écoute toujours en boucle dans son pick-up. De plus les essoufflements du chanteur ferait tourner la tête à plus d'une personne y compris mon fr ... , finit-elle se faisant mettre la main sur la bouche par le noiraud qui la bloca dans une étreinte avec ses bras pour la faire taire totalement.

_ Silence traîtresse ... Ou plus jamais tu ne seras au courant de quoique ce soit de ma vie, intime ou pas, lui murmure t-il à l'oreille pour qu'il n'y est qu'elle qui l'entende alors qu'elle rigolait toujours dans les bras de son frère.

Reprenant un minimum de sérieux, Alec continue l'échange avec Catarina tout en tenant encore sa sœur, pour ne pas qu'elle en rajoute. Il ne savait jamais sur quel pied danser avec elle, en quelques secondes Izzy avait le don de changer de sujet et de mettre mal-à-l'aise quiconque était dans son viseur.

_ Quand pouvons-nous les rencontrer pour mettre notre garde rapprochée à votre service au plus vite ? demanda Alec, essayant de cacher au mieux son malaise dû aux vérités de sa sœur, tout en-là maintenant toujours légèrement contre lui alors qu'elle se débattait comme une furie.

_ Alec lâche ta sœur et toi Izzy calme toi et arrête tes sous-entendus déplacés, lui demanda Maryse tout en essayant de garder son sourire pour elle devant la complicité de ses enfants qu'elle adorait voir et surtout son sérieux de directrice d'Institut.

Elle devait montrer l'exemple, car extérieurement du moins elle était sérieuse, à l'inverse intérieurement le mère de famille était dans le même état que sa fille. L'agente essaie de garder son éclat de rire pour elle, mais sourit quand même de la tenue de la fratrie qui était adorable, l'aîné maintenant toujours sa sœur contre lui dans un câlin fraternel. Elle avait l'impression de voir la complicité des membres du groupe de rock. Tout en reprenant son sérieux, elle répondit en s'adressant à toute l'assemblée.

_ Ils seront de retour demain. Cette nuit ils prennent le jet privé du groupe. Ils reviennent de leur concert de Las-Vegas. Je pense que vers 16h00 ce sera parfait, ils se seront correctement reposés. Qu'en pensez-vous ? Est-ce-que cela vous convient ? demanda mademoiselle Loss tout en regardant les directeurs et les agents devant elle, attendant une réponse de leur part.

Sentant que leur réponse avait du mal à venir, les uns attendant l'accord de leurs supérieurs, Catarina ajouta un peu gênée et mal à l'aise, faisant sentir son stresse et son inquiétude vis-à-vis de la sécurité du groupe et surtout du chanteur qui était la cible principale.

_ Le chanteur du groupe etant la cible et je m'inquiéte beaucoup pour lui. Il a reçu beaucoup de menaces de mort auxquelles au départ nous avions pris à la légére, mais forcé de constater que la personne derrière tout ça était passer à l'acte, leur expliqua le plus calmement possible la jeune femme.

Elle essayait de cacher les trémolos dans sa voix qui laissait percevoir son inquiéture et sa peur, alors qu'elle essayait de dissimuler au mieux et de retenir ses larmes de tristesse. Elle estimait au fond d'elle que son ami ne méritait certainement pas tant de haine et que la célébrité qu'il avait aujourd'hui lui était due, car lui et le groupe s'étaient donné corps et âmes pour y arriver. Voyant la jeune femme dans un état de faiblesse et de tristesse mélangées face à ses dires, Alec reprit posement.

_ Comment ça ? demanda-t-il interloqué par le ton de voix triste de l'agente et voulant en savoir davantage.

Le noiraud embrassa les cheveux de sa sœur et la relâcha lentement, son professionnalisme reprenant le dessus. Tous écoutèrent attentivement les explications de mademoiselle Loss. Maryse fit signe à la jeune femme de s'assoir autour de la table de réunion et lui servie un verre d'eau fraîche de la carafe posé sur la table avec des verres. Catarina la remercia d'un signe de tête et le bu d'une traite. Maryse ainsi que Robert s'assirent autour de la table de réunion, faisant signe à leurs agents qui firent de même.

_ Vous souhaitez peut-être un café, un chocolat ou un thé ? lui demanda Maryse tout en lui souriant.

_ Oui, un café avec du lait, s'il vous plaît, lui dit-elle repondant à son sourire.

Maryse ayant fait signe à son aîné, alla préparer les cafés, ayant tout ce qu'il fallait sur le meuble juste à l'entrée de la salle, pour l'agente et ses parents sans sourciller. Il les sert chacun leur tour. Ces derniers le remerciérent d'un signe de tête accompagné d'un sourire et Alec se réinstalla sur sa chaise face à la jeune femme pour la suite de leur entretient. L'agente but une gorgée de son café au lait, prit une inspiration et commenca à raconter les faits.

_ Et bien un soir, parmi tant d'autres, en rentrant de gala, j'ai découvert d'autres menaces accompagnées d'animaux morts. Des rats plus précisément et les mots disaient ce qu'il adviendrait du chanteur s'il continuait à chanter. Que sa fin serait aussi directe et douloureuse que celle des rats, expliqua tout en tremblant mademoiselle Loss.

Alec s'approcha d'elle et prit ses mains dans les siennes, comme pour la rassurer et l'apaiser. Lui caressant le dessus de ses mains en faisant des cercles avec ses pouces. Alec avait appris par sa mère que ce geste rassurait et calmait la personne qui pouvait être stressée ou angoisée. Alec ancra ses orbes bleues cobalts à celles de Catarina. Ils échangérent un regard empli de compréhension, de bienveillance et de promesse, signe que ça irait pour le mieux pour la suite. Le noiraud lui fit un signe de tête pour confirmer le rendez-vous avant que l'agente ne reprenne, souriant légèrement au vu du visage sérieux que le jeune homme arborait au moment présent.

_ J'ai communiquée l'adresse à vos supérieurs, explique-t-elle en regardant Robert et Maryse puis elle ajoute à l'attention d'Alec. Ne croyez pas ce que vous pouvez lire ou entendre sur le groupe et surtout sur le chanteur. Les journalistes et les réseaux sociaux font tout et n'importe quoi. Le chanteur peut-être soupe au lait et agaçant parfois, mais il n'a jamais mordu personne à ma connaissance. Il crie plus qu'il n'agit mais cela reste entre nous lui murmura-t-elle souriante alors que le noiraud lui sourit en retour. Pour le reste du groupe, le batteur est un peu grincheux mais il n'est pas méchant. Le bassiste est très direct et ne maĉhe pas ses mots. Quant au guitariste, il est assez timide en dehors du groupe. Mais vous verrez, ils sont tous adorables qu'en on les connaît. Nous nous connaissons tous depuis le lycée, nous avons grandi et évolué ensemble. Je vous les présenterais à notre rendez-vous ainsi que le reste du personnel qui les encadre, finit-elle d'expliquer.

L'agente venait de découvrir une chose formidable et elle ne doutait pas le connaissant que l'artiste en jouerait aussi. Le jeune garde du corps n'était pas aux bouts de ses peines avec le leader du groupe. Elle ne doutait absolument pas que leur rencontre serait ... explosive en tous points, ce qui la fit sourire rien qu'en imaginant la tête de son ami chanteur.

_ Très bien mademoiselle Loss, demain à 16h00, c'est bon pour moi, fit Alec reprenant le dessus, après un signe de tête de ses supérieures qui approuvaient le rendez-vous et de ce fait, la mission. Toujours avec son sérieux professionnel, il relâcha les mains tremblantes encore légèrement de la jeune femme.

_ À demain alors, leur dit la jeune femme.

Tout en se levant, elle tend sa main pour serrer de nouveau celle de tout le monde et leur souhaiter une bonne journée. Elle se dirige vers la porte pour partir, raccompagnée par les parents Lightwood.

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Alec entra chez lui après une sale journée. C'était une journée de merde où rien n'allait comme prévus, la mission avait tournée court, le client avait fini dans un état grave à l'hopital sauver de justesse par le personnel des urgences, lui-même y avait échappé de peu sauver par un collégue qui lui y était resté. Ses supérieurs l'avaient incendié comme jamais avec une suspension de plusieurs jours, il était parti furieux claquant la porte en verre avec tellement de colère qu'elle avait explosé faisant rugir un peu plus ses supérieurs qui lui précise qu'il paierait les dégâts qui lui seront prélevés sur sa prochaine paye. Il avait conduit avec colère grillant les feux, les stops et autres panneaux faisant son propre code de la route et lançant des doigts d'honneur à toutes les personnes qui le klaxonner sur son passage dangereux. Arrivé chez lui, il pensait enfin être passé au calme mais c'était mal comprendre que quand la vie en a après vous, vous ne lui échapperez pas d'un claquement de doigt et qu'elle s'acharne encore plus sur vous. Elle lui en voulait personnellement à lui et personne d'autre.

Passant la porte de son appartement, Alec reconnut ses odeurs qui lui titillaient les narines, ses effluves insupportables qui lui donnaient envie de vomir. Puis il entendit des rires, celui de sa compagne et d'une autre personne. Il s'approcha de la pièce de vie avec une boule au ventre, cette sensation que quelque chose va arriver alors que vous n'y êtes pas préparé. Et en effet, là devant ses yeux, sa rouquine était face à Duncan. Lui était assis sur le canapé là regardant avec ses yeux de braises, amoureux comme jamais, en admiration et surtout avec délectation quand celle-ci retira sa robe pour laisser apparaître son corps nu et épilé à la perfection. Elle tourna la tête vers Alec et lui dit tout en lui souriant.

_ Tu es là mon amour, lui sourit-elle. Regarde bien tu vas aimer ce qui va suivre! Tu arrives à point nommé. Si tu veux participer à ce qui va suivre ne te gêne surtout pas, quand y en a pour un y en a pour deux, reprit-elle lui souriant encore plus tout en se rapprochant de Duncan.

Clary ancra son regard à celui du brun qui était totalement nu lui aussi, son membre au garde à vous dans sa main face au corps nu de la rouquine qu'il attendait avec grande impatience, se foutant royalement que le noiraud soit là ou pas. Alec voulait répondre mais rien ne sortit de sa bouche comme s'il était muet. Il voulu partir mais il était comme enraciné dans le parquet, il ne pouvait pas bouger, ses yeux refusaient de se fermer, l'obligeant à voir ce spectacle horrible, il avait l'impression de l'avoir déjà vu. Peut-être étais-ce le cas d'ailleurs. Clary vient se rapprocher encore plus de Duncan, elle prit le sexe du jeune homme en main et avec lenteur commença à le caresser, titillant de son pouce le gland déjà bien chaud. Tout en se penchant, elle continua ses lents vas et viens avec sa main tout en calant l'autre dans la nuque du brun pour l'embrasser sauvagement tout en continuant de la masturber. Ils laissérent échapper leurs soupirs de bien-être sous les yeux horrifiés d'Alec qui ne pouvait que subir cette scéne une nouvelle fois. Clary s'agenouilla devant Duncan et le prit en bouche, juste le temps de l'exsiter, puis d'un geste rapide et calculé, la rouquine vient s'empaler d'une seule poussée sur le brun, qui n'attendait que ça son membre prêt à tirer, les faisant gémir de plaisir mutuellement tellement c'était bon de sentir cette chaleur. Duncan vient ancrer fermement ses mains sur les hanches de Clary commençant à la prendre de plus en plus fort, criant, hurlant leur plaisir alors qu'Alec était témoin de leur ébat.

_ Tu as aimé ce que tu as vu, mon Amour, demanda Clary se remettant de son moment de plainitude et heureuse du mal qu'elle pouvait lui faire, le regardant un un air malsain.

Une fois finie avec Duncan, la rouquine ancre son regard à celui d'Alec, se lève toujours nu et bien déterminée à le faire craquer par n'importe quel moyen. Elle s'approche de lui avec son air félin et sans crier gare attrape le visage du noiraud en coupe et vient l'embrasser aussi brutalement que possible pour le faire réagir car celui-ci ne répondait pas à son baiser. Elle se recula, regarda Alec et lui demanda tout en prenant un air triste.

_ Tu n'as pas aimé le spectacle ? Tu étais au première loge pourtant cette fois. On ne t'a rien caché et en plus on sait donner à 100% rien que pour toi, mon amour.

Clary face à lui, commence à lui caresser le torse tout en déboutonnant et ouvrant sa chemise lentement. Il frissonna comme avant, les touches de la rouquine lui faisaient toujours de l'effet et elle en était ravie, il pouvait le voir dans ses orbes emeraudes. Alec lui, n'appréciait pas les retours que son corps envoyait à cette nympho. Il était toujours comme collé au sol et complètement paralysé, aucun de ses membres ne voulaient bouger, son corps ne lui répondait plus. Alors elle s'attaqua à déserrer sa ceinture de pantalon et fit glisser la fermeture éclair de celui-ci. Elle fait glisser le vêtement en même temps que son boxer sur ses longues jambes. Elle s'agenouilla devant lui et, sans aucune hesitation elle prit rapidement l'objet de ses désirs entre ses lévres. Le sexe du noiraud était déjà bien tendu à sa grande surprise, lui qui n'avait rien ressenti pourtant. Son corps le trahisait lui aussi et il ne l'accepte pas. Il se battait intérieurement pour reprendre le contrôle de son corps mais celui-ci en avait décidé autrement. Elle vient poser ses mains sur son fessier musclé qu'elle malaxe avec plaisir et déléctation tout en le faisant gémir.

_ Ne me touche pas ... Ne ... Ne mets pas tes sales mains ... Sur moi ! Tu me ... dégoûte toujours ... Clarissa Fray ! begaya-t-il malgré la colère qu'il avait en lui.

Tout en se laissant aller aux bons soins de la rouquine qui savait y faire, il fallait bien l'avouer. Ce dernier malgré ses paroles se laissa faire, son corps le suppliait de se laisser aller et de profiter. C'était tellement bon et bordel, elle savait y faire la garce. Pris d'une pulsion qu'il n'avait jamais ressenti jusqu'ici, le noiraud posa ses mains sur ses cheveux roux et les maintenaint fermement pour contrôler le rythme qu'elle devait suivre. Contrôlé par son plaisir, il tira sur les cheveux de Clary et lui fit une gorge profonde comme elle adorait. Il la releva, la retourna et la plaqua contre la table face à lui et la pénétra directement. Celle-ci gémissait déjà rien qu'en imaginant la suite. Alec commença ses vas et vient pensant à son propre plaisir qu'elle lui avait si longtemps refusé et continua ainsi pendant plusieurs minutes, se faisant du bien tout comme à elle au vu de ses complaintes. Plus elle hurlait , plus il allait profondement, et rapidement jusqu'à ce que la jouissance le prenne et qu'il se vide en elle dans un râle bestial qu'il n'avait jamais eu aupravent. Elle l'avait rendu mauvais, jamais il n'avait fait cela, jamais il ne s'était comporter ainsi. Réalisant ce qu'il venait de faire, il se récula, remonta ses vêtements, mal à l'aise alors qu'en face de lui la rouquine et le brun rigolaient de son état, se fouttant royalement de lui.

_ Ça ne t'a pas plu ? J'ai fais cela pour nous, mon Amour, pour que tu me reviennes, lui dit-elle mielleusement.

_ Jamais ... Jamais ... Jamais je ne reviendrais fourre toi le dans le crâne ! Plutôt crever !!! hurla-t-il à pleins poumons tout en se rhabillant à la va vite.

Alors que Clary regarde Alec droit dans les yeux et lui sourit d'un air machiavélique, une détonation se fait entendre. Alec sent son corps s'affaiblir, ses jambes sont flageolantes et il s'écroule au sol. La rouquine met le noiraud sur le dos, se place au-dessus de lui et pointe une arme face à son visage et lui dit tout en souriant de plus belle.

_ Ton vœux va être exaucé, mon Amour. Mais je t'assure qu'on se reverra plus vite que tu ne le penses ! lui assura-t-elle tout en lui souriant.

Puis gardant son regard emeraude ancré à celui bleu cobalt, elle tira une seconde fois sur lui, ses yeux se fermérent peu à peu, suivi d'une douleur qui passa presque inaperçue le faisant tomber dans un trou noir.

Se réveillant en sursaut et en sueur dans son lit, Alec se rendit vite compte qu'il était dans sa chambre. Encore un putain de cauchemar avec son ex. Bordel cela faisait maintenant deux ans qu'il l'avait quitté mais depuis quatre semaines elle venait hanter ses rêves les transforment en cauchemars. Tout en se frottant le visage avec ses mains pour mieux se réveiller, il se rendit compte qu'il pleurait. Son réveil sonna le faisant sursauter une nouvelle fois. Tapant sur ce dernier brutalement pour le faire taire et arrêter cette sonnerie stridante qui pourrait réveiller un mort tellement elle est agaçante. Encore une nuit catastrophique pour le noiraud qui avait encore très peu dormi et qui se sentait encore plus épuisé que quand il s'était couché la veille. Pris d'un élan de motivation soudain et surtout voulant oublier cet affreux cauchemar trop souvent vécu et présent en ce moment, il se leva pour se prendre une bonne douche et se préparer à une nouvelle journée qu'il espérait plus calme que sa nuit. Ça seul l'Ange le savait !

Sur le chemin du rendez-vous, Alec met la radio. Il était seul dans son pick-up, avec sa fratrie ils s'étaient donné rendez-vous directement à l'adresse indiquée par l'agente. Alec n'était pas d'humeur à supporter les taquineries et ils l'avaient bien compris quand ils avaient échangé au téléphone ce matin avant de partir.

Il adorait la chanson qui passait comme bon nombre d'autres de ce groupe de rock mais "Beat It" était sa préférée. Ce mélange de guitare et de batterie du début à la fin sans oublier la superbe voix du chanteur, qui donnait des frissons au jeune homme chaque fois qu'il l'entendait s'exprimer. Le chanteur du groupe Magdaël avait une voix en or aux dires de l'animateur radio. Alec ne pouvait que confirmer vu l'état dans lequel le mettait l'interpréte rien qu'avec sa voix. Le voir en chair et en os allait être compliqué pour le noiraud. D'après ce dernier, tous les concerts étaient complets et plus une seule place n'était disponible. Magdaël montait crescendo depuis deux ans, le groupe était vite monté dans le top dix des musiques les plus écoutées et des meilleures ventes.








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