Le roi Léon avait pour habitude de ne faire confiance à personne même pas à sa femme, la belle Anya. Il n’allait pas commencer maintenant. Miss Saintclaire avait beau être une de ces femmes imposantes et forte, elle n’en restait pas moins à ses yeux qu’une femme avide de pouvoir. C’est pourquoi il se tenait devant elle avec  deux de ses meilleurs combattant.
- Tout ceci n’était pas nécessaire. Lui dit-elle tout en sirotant son verre de vin rouge.
- Jusqu’à preuve du contraire tout ce que j’entreprends est nécessaire. Rappliqua calmement le roi.
Ils étaient dans un petit salon, il faisait sombre comme dans tout le manoir, et ceux malgré les grande bais ouverte sur les Highlands. En fond sonore, on pouvait entendre un gramophone jouer les dernières notes d’ave Maria de Schubert.
Agathe Saintclaire n’avait pas toujours était la femme qui se tenait devant le roi Léon. Autrefois elle était naïve et facilement influençable. Les gens la prenaient pour une godiche. Elle était aimante et souriante. Puis il a fallu qu’elle se souvienne. Les souvenir de lys avait anéantis la beauté d’âme qu’elle avait eue. Elle n’hérita que d’une partie de ses souvenirs mais pas des moins dangereuses. Enfermé dans son manoir elle ne désirait qu’une seule chose, ce que les souvenirs de Lys alimenté, la vengeance.
Elle se leva de sa chaise Henry VIII et avec une grâce et une élégance rare, s’avança vers le roi.
- J’ai connue Terranime au temps de votre grand-père. C’était beau et paisible. Le paradis. On m’a appris que votre père en avait fait une foire à la violence et à la haine.
- M’avez-vous fait venir ici pour parler de ma façon de dirigeais mon royaume. Attaqua le roi, nullement impressionné par la jeune fille devant lui.
Cette remarque fit perdre le sourire à la jeune comtesse.
- Si j’étais vous je n’employais pas ce ton avec moi. Je ne peux sortir de cette cage, mais par chance m’a magie elle le peut. Et d’un seul claquement de doigt je pourrais si je le voulais, tuer votre femme qui attend gentiment dans votre voiture accompagné de votre premier fils. Je ne vous ai pas appelé pour faire cosette mais pour affaire. Vous devais me retrouver deux personnes extrêmement importantes.
Elle avait parlé sans jamais une seule fois haussé la voix. Elle attrapa sur la table une enveloppe marron qu’elle lui tendit.
- Je les veux vivant et le plus rapidement possible.
Le roi pris l’enveloppe sans regarder ce qu’elle contenait le regard toujours rivé vers la jeune fille. Il pouvait à présent sentir sa magie et sa puissance.
Sans en attendre plus il sorti du manoir. Dans la voiture son fils de deux ans dormait dans les bras de sa mère, il profita du sommeil pour ouvrir l’enveloppe. Elle contenait des photos d’un garçon et d’une fille. La fille était brune avec de grands yeux noirs, le garçon avec les cheveux blanc et les yeux vert. Ils avaient des marques comme de longue cicatrice sur le visage et les bras. Elles étaient bleues et presque lumineuse.
- Mon dieu, soufflât-t-il en lâchant les photos.

A suivre…

Et voilà c'est fini pour le tome I ! Passeurs II est encore en cours d'écriture, donc il faudra être patient!!