Prologue : Accident
[Ariana]
Tout s'est passé très vite. Ma sœur me lance son ballon. Il passe au-dessus de moi. Il atterrit sur la route. Je cours le chercher. Ma sœur me cri quelque chose. Je me retourne. Un camion fonce sur moi. Puis, plus rien.
[Fiona]
Cela fais une semaine que ma sœur a eu son accident.
Le camion lui a roulé dessus sans la voir et à continuer sa route sans savoir l'horreur qu'il avait faite. Mes parents portèrent plainte contre X. Le conducteur du camion fut retrouvé et mis en garde à vue pour les interrogatoires. Puis, il fut condamné à 3 ans de prison. Pas assez pour mes parents, ni pour moi. Moi, j'aurais voulu qu'il meurt écrabouillé par son propre camion. Mais on ne donnait pas ce genre de condamnation en justice.
Mais je me sentais coupable. C'était à cause de MON ballon que ma sœur s'est retrouvé sur la route. Et c'est aussi à cause de MOI, car je l'ai lancé trop haut. Je suis coupable. Mes parents me disent le contraire, mais c'est la vérité. Je suis coupable.
J'ai beaucoup pleuré, j'ai cru qu'elle était morte. Mais elle était juste dans le coma. Deux jours plus tard, elle était sorti du coma. Mes parents sont allé la voir, mais en rentrant, ma mère pleurer et mon père était accablé. J'essaya d'avoir des explications mais il me dire que tout aller bien, qu'elle serait bientôt de retour et qu'ils étaient juste un peu fatigué. Mais je ne les croyaient pas.
Aujourd'hui, j'ai décidé d'aller voir ma sœur à l'hôpital après les cours sans l'accord de mes parents. Je n'attendais que ça, aller voir ma sœur, essayer de me faire pardonner, et l'aider à aller mieux. Je couru vers l'hôpital.
[Ariana]
Je me réveilla dans une pièce toute blanche. La lumière du jour diffusais une lueur apaisante. Quelqu'un entra. Une dame en blanc me dit que j'avais de la visite. J'ai eu beaucoup de visite, mais toujours les deux mêmes personnes. Aujourd'hui, ce fut une jeune fille. Elle était plutôt joli, et avait l'air très gentille. Mais elle avait l'air embarrassé.
La dame en blanc partit. Après quelques secondes d'hésitements, elle courut vers moi et me fit un câlin en me disant qu'elle était si contente de me voir en vie. Je lui répondit :
« Mais... Qui es-tu ? »
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