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Disclaimer : ce chapitre n'est que le début il risque donc de ne pas être super intéressant.

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Tokyo.

l'une des capitales les plus connue au monde et peut-être même l'une des plus visitées.

Cette ville faisait la fierté du japon de par sa beauté et son esthétisme.
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Tout le monde le pensait.

Mais tout ça était...

Du pur foutage de gueule, voilà la vérité.

Ça faisait vingt minutes que je coursais ma cible dans cette fichue ville beaucoup trop agiter pour cette heure tardive et malgré la tête blonde de ma victime et son tatouage qu'on pouvait voir à des kilomètres la foule m'empêcher d'en finir avec lui.

Ce connard m'avait donné du fil à retordre, pendant deux semaines , il était introuvable et une fois trouver ce dernier avait encore une fois réussi à s'échapper.

Heureusement pour moi , malgré sa capacité à toujours s'en sortir, il était incroyablement

Bête ce qui le rendait prévisible.

Comme prévu : il n'avait pas pu utiliser la foule indéfiniment, il fallait bien qu'il retrouve l'un de ces gars pour se sortir de là et pour ça : le blond allait devoir passer par des endroits peut fréquenter.

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- Bordel de merde

Je venais de me prendre plusieurs cartons qui traînaient dans une ruelle et l'un de mes talons était resté accrocher à l'un des cartons, j'avais fini par réussir à m'en libérer sans oublier de m'insulter intérieurement pour le fait d'avoir mis des talons.

Nous étions désormais seuls à courir dans une étroite ruelle, ma cible avait décidé d'empreinte des escaliers histoire de directement couper vers une autre ruelle ou ses acolytes se cachaient très certainement.

J'avais décidé de prendre un autre chemin , j'étais censée arriver avant lui et le prendre au dépourvu , et c'est ce qui s'était passé , j'étais arrivé quelques secondes avant lui ce qui m'avait permis de dégainer mon arme tout en esquissant un sourire satisfait, le calcul était bon.

Enfin, c'est ce que je pensais :

Tout aurait pu être parfait, mais malheureusement pour moi, une pièce du puzzle m'avait échapper.

Une voiture.

Dès que ma cible avait posé un pied sur le sol de cette nouvelle ruelle, cette voiture n'avait pas perdu une minute et lui avait foncer dedans, le propulsant donc plus loin.

Il était désormais étendu sur le sol.

Son sang allait bientôt arriver au niveau de mes chaussures , son crâne s'était violemment heurter contre le sol, il était mort sur le coup.

Madarame shion une cible qui valait plus d'un million de yen venait de se faire tuer par une autre personne.

Donc, là, j'avais failli perdre mes pieds pour rien...

- Merde mes chaussures , même mort, il trouve un autre moyen de me faire chier

Je m'étais accroupi une lingette en main pour essuyer mes chaussures, il faut connaître ses priorités dans la vie.

Autrement dit : les vêtements et l'argent

Un pied venait de se poser juste en face du mien.

La fameuse voiture venait de s'arrêter à seulement quelques mètre d'où est ce que j'étais positionnée et une personne venait d'en sortir.

Cette personne, c'était directement diriger vers le corps de shion pour le prendre en photo avant de rangeait son appareil dans la poche de son large jogging, ses cheveux noirs bougeait légèrement à chacun de ses mouvements.

Une dégaine de clochard, des baskets plus vielles que les darons de certains et ce fin sourire plein de provocation.

Qui d'autre est ce que ça pouvait être ?

- c'est ma cible connard

Lui avais-je dit tout en me redressant.

Mikey- C'était ,plus maintenait

Sano Manjiro , aussi appeler mikey l'invincible.

Autrement dit mon rival.

Il venait de passer devant moi en jouant avec les clés de sa voiture.

Manjiro et moi partagions souvent le même secteur et on volé souvent les cibles de l'autre

- Fin' Merci d'avoir fait le sale boulot en le cherchant swan

Je m'étais retourné vers lui, le suivant du regard tout en me demandant si je devais l'insulter ou non.

- Donc tu n'as rien foutu et tu l'avoues en plus ? Tu n'as toujours aucune race à ce que je vois.

Il s'était retourné vers moi après avoir posé son bras sur la portière de sa voiture s'appuyant contre cette dernière, il avait ensuite baissé légèrement ses lunettes de soleil.

Comment étais-je censée avoir une conversation avec un homme qui mettait des lunettes de soleil alors qu'il n'y a pas de soleil ?

- tu as raté ton coup évite d'aussi rater ton bus

- je n'ai pas besoin de bus occupe toi de toi , en commençant par ton style vu que malheureusement, tu ne peux rien faire pour ta tête

- si tu parles de ta moto vaut mieux que tu te dépêches, et je comprends , mon visage peut en choquer certaine.

j'avais lâché un soupir tout en levant les yeux au ciel étant complètement agacé et ennuyer pare cette conversation qui ne m'apportait absolument rien.

- mais qu'est ce que tu racontes ?

il avait simplement remis ses lunettes avant de rentrer dans sa voiture et de partir me laissant seul avec le corp de shion d'un côté et la pluie qui commençait à tomber de l'autre.

- Tant pis...

c'était le jeu et cette fois, j'avais perdu, donc autant rapidement rentrer chez moi.

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- Hey ! qu'est-ce que vous faites ?!

j'étais rapidement retourné à l'endroit où j'avais garé ma moto histoire de vite rentrer et de pouvoir me poser sur mon lit et dormir, mais malheureusement pour moi je n'était pas prête de retrouver ma chambre : deux hommes étaient debout juste en face de ma moto.

_- Mademoiselle , bougez de là

Il y avait des claques qui allaient définitivement voler.

- Non, vous bouger de là et rendez moi ma moto

-_vous irez la cherchez à la fourrière

-_ la fourrière ?! c'est quoi ces conneries ?

-_ Une personne à signaler le positionnement de cette moto, vous pouvez toujours la récupérer demain en payant une s-

J'étais déjà énervée par rapport au fait que m'a cible m'est filer entre les doigts mais là, la façon de parler de cet homme n'avait rien arranger.

Surtout pour la personne susceptible que j'étais.

- mais payer de quoi tête de con ? Tu vois bien quel gène personne parce que spoiler alerte mise à part toi, ton gars et moi il n'y a personne ici , donc soit tu apprends à utiliser les deux trous qui te servent de yeux soit je te pète la gueule, tu vois bien qu'il pleut en plus.

_- ce n'est pas mon problème ça

Cet homme ne me prenait pas au sérieux, il ne me regardait même pas dans les yeux : trop occuper à rire avec son collègue.

- Et qui vous a appelé pour la signaler d..

Ce n'était pas la peine de finir ma phrase, la réponse m'était directement venu rien qu'en posant la question.

Une évidence.

- oh le bâtard

C'est bon.

J'allais définitivement le tuer lui et son insolence qui faisait trois fois sa taille.

_- Bon elle a quoi la petite, dégage la de là, il est bientôt minuit, on n'a pas que ça à faire

Son ami avait enfin fini par prendre part à la conversation, je m'étais mise à chercher une brique pour le frapper avec, mais le fait qu'il avait mentionné l'heure m'avait plus interpellé que ses bêtises.

- oh merde

J'avais sorti mon téléphone de ma poche pour voir l'heure : vingt-trois heures quarante-cinq.

- Merde, merde

Je m'étais mise à courir vers le premier arrêt de bus et heureusement pour moi, j'avais réussi à passer les portes et à payer avec mon téléphone.

Une fois assise, j'avais lâché un long soupir en parcourant mes contacts tout en essayant de programmer mes prochaines actions à l'avance, due au manque de temps que j'avais.

- j'aurais jamais le temps.

J'avais reçu un message qui disait que la prime qui était mise sur la tête de shion venait de disparaître, de quoi bien remuer le couteau dans la plaie.

- tu parles d'un retour éclater.

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Une fois arriver à mon arrêt, j'avais dû encore une fois courir pour arriver sous un arbre ou un sac à dos y était caché.

Je m'étais empressé de retirer la chemise que je portais , j'étais donc en bustier dans le froid.

Heureusement pour moi, j'avais prévu le coup, un sweat à manche longue, , un élastique, mon badge, des baskets et des livres se retrouvaient dans mon sac.

Après avoir enfilé tout ça et avoir caché ce qui devait l'être, autrement dit mon arme et mes chaussures tacher de sang, j'avais pressé le pas vers l'entrée de mon campus tout en passant mon sac à dos sur l'une de mes épaules.

_- pile à l'heure avant la fermeture, comme toujours.

Une fois rentré dans le hall qui allait me permettre d'accéder à ma chambre, le gardien des dortoirs m'avait automatiquement lancé ces mots par pure habitude, il n'avait même pas eu besoin de lever le regard de son ordinateur.

_- On à cru jamais te revoir Yumi

- Désolé je n'ai pas vu l'heure passée, j'avais beaucoup trop de devoir à rendre avec le retard que j'ai eu et...

_ -t'inquiète, mais quelqu'un te cherchais ?

J'avais rapidement vérifié si je n'avais pas reçu de lettre ou de colis tout en écoutant l'homme qui avait cette fois si relevé la tête vers moi , cherchant mon regard.

Je n'avais pas pu m'empêchant de lâcher un soupir.

- un homme ?

- _ Non, c'est l'une de tes amis, la petite qui court partout

- mh...je vois

-_ Yumi ?

_ oui ?

- tu l'as peut être pas reçu, mais ils sont en train de repeindre les murs de la bibliothèque en rouge, fait attention de ne pas te tacher la prochaine fois.

j'avais légèrement plissé les yeux dus à mon incompréhension avant de suivre le regard de l'homme. Ma main était tachée de rouge.

Et merde...c'était du sang heureusement que la distance me permettait de cacher le fait que ça ne soit pas de la peinture, j'aurais dû faire plus attention, j'avais rapidement changé mon expression lui offrant donc un sourire.

- Ouais merci toi aussi Eiji

Je m'étais ensuite rapidement dirigé vers mon dortoir.

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- Enfin !

Une fois arrivée, j'avais balancé mon sac à dos avant de m'affaler sur mon canapé, ce contrat était le plus gros du mois, toutes les autres que j'avais exécutées n'arrivais pas au niveau de ce dernier.

et tout l'argent était parti dans mes frais scolaires, je devais aussi payer pour récupérer ma moto maintenant, à cause de ce connard de sano manjiro.

Il était déjà une heure du matin et demain était la journée la plus chargée de mon emploi du temps, je pourrais ne pas y aller, mais j'avais déjà trop séché et je devais absolument valider tous ses fichus modules.

J'avais lâché un long soupir en jetant un coup d'œil à la petite pile de lettre que j'avais récupéré.

Ça ne faisait que un mois que nous avions repris les cours et je n'en pouvais déjà plus.

- je suis dans la merde

Ce n'était pourtant que le début.

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