Restaurant
Le père de Gabriel nous dépose devant un restaurant 5 étoiles. Moi et mon copain regardons l'endroit la bouche légèrement ouverte. Je pensais pas que lorsque Mika m'avait dit de venir manger à son resto, voulait dire manger dans ce type de resto. On est habiller propre, mais pas chic comme cette endroit le voudrais! On fait demi tour? Pourtant Gabriel me prend la main et me tire à l'intérieur. Il est impressionner de la beauté des lieux.
"Wow Théo. C'est une magnifique sortit de couple. On va goûter des plats nouveaux! On va jouer les jeunes couples riche!"
Soudain il réalise un truc qu'il vient de dire.
"Oh. Dis moi, tu as assez d'argent pour qu'on mange ici? On peut aller au mcdo aussi, ça ne me dérange pas."
La seul chose qu'il commande quand on va au mcdo, c'est une frite. Je l'amène plus jamais là!
Oui, bon à part la frite, il y a rien de végétalien, vous avez un bon point, mais pareil.
"Ça va, t'inquiète." Que je répond en lui cachant la vérités.
Mika a dit que comme j'étais son meilleur pote, oui notre amitié est déjà rendu là selon lui, je mangerais gratuit avec mon copain. Il est mieux de tenir promesse, car il me reste 18$ dans mon compte.
On fait la file devant la réceptionniste qui vérifie les réservations, puis mon regard est capter par quelqu'un. Cheveux attacher en queue de cheval, jupe de créateur qui lui arrive au cheville et chemise à moitié ouverte d'un créateur sûrement.
Son défilé de mode ma surpris. Ma mère à adorer et étrangement moi aussi. Peut-importe.
Je le vois allez s'asseoir à une table ou deux hommes plus âgés doivent discuter affaire et ou une femme semble s'ennuyer. Le mannequin s'asseoit à la table et aussitôt l'un des hommes passe son bras sur son épaule sans arrêter sa conversation avec son vis à vis. Pendant que le mannequin se penche pour remplir sa coupe de vin, je reconnais l'homme qui enlace son épaule. Son mari.
"Je peux me commander une autre bouteille de vin?" Demande le mannequin déçu de n'avoir réussi qu'à remplir la moitié de sa coupe.
"Nous allons bientôt y aller Hugo. Je présume que votre gardienne attend votre retour." Dis le mari.
"Du tout. Notre fils dors chez une amie." Répond l'autre homme avant que sa femme rajoute:
"En plus les parents de la petite son gay et l'ont adopter. L'un est avocat et l'autre éducateur en garderie. Qu'en est-ce que vous allez adopter vous aussi?"
Le mannequin dénommer Hugo ouvre la bouche grand et son mari tourne rouge.
"Adopter?" Répète le mari.
"Oui, Seb. Vous ne voulez pas fonder une famille?"
"C'est que... on en a vaguement parler, mais on est bien sans trop de responsabilité."
"J'ai pas du tout l'instinct parental!" Signale Hugo qui cale sa coupe de vin.
"Mais Sébastien aimerait, non?"
Le principal visé poussa un soupir.
"Je suis combler d'être le parrain de ton fils. Si Hugo ne veut pas d'enfant, je l'accepte."
"Tu accepterais n'importe quoi qu'il te demanderai de toute façon." Lui signala son ami en hochant la tête.
"Théo, c'est notre tour."
Je reconnecte avec le présent et je tourne mon regard vers la réceptionniste qui nous lance un de ses regards.
"Euh... Théo.... Théodore Ruel. On a une réservation."
Elle regarde dans son cahier avant de nous faire signe de la suivre. Gabriel me serre la main exciter et on se dirige à notre place.
On quitte la première pièce, pour entrer dans une autres plus silencieuse et douce, puis on change encore de pièce pour arriver dans l'une ou un chansonnier sur une petite scène nous joue de la musique aider de sa guitare. Rien de trop entraînant. Une musique toute en douceur pour rappeler que nous sommes dans un restaurant de qualité.
Je vois déjà Gabriel balloter sa tête sous le son envoûtant de la musique et je me souris. J'espère que nous serons dans cette pièce, il va adorer. Je me tourne vers le chansonnier qui chante d'une douce voix en grattant les cordes de sa guitare et je fige. C'est le type qui ma aider en appelant un taxi après que l'ectasie ma fait vomir tout mes tripes.
Je tourne ma tête vers Gabriel et déglutit. Je lui ai dit que Joey m'avait fait faire n'importe quoi cette soirée là, mais j'ai pas préciser pour l'ectasie et que c'est un inconnu qui ma aider à rentrer chez moi. S'il me reconnaît et me fait salut, j'explique comment que je le connais à mon copain?
Relationnalisons. Il ne me reconnaitra pas. Il faisait noir et c'était il y a longtemps. Il ne me reconnaitra pas. D'ailleurs j'ai moi-même faillit ne pas le reconnaître, tellement il était mieux habiller qu'au bar. Adieu maquillage autour des yeux et chemise de hipster. Il porte un pantalon noir et une chemise blanche tout ce qu'il y a de plus normal. Il doit s'adapter à l'endroit où il joue remarque.
On nous asseois à une table dans le coin le plus éloigner. Pas le meilleur endroit, mais on est en intimiter et on va bouffer gratis. À peine la réceptionniste partit qu'un serveur arrive.
"Désirez-vous quelque chose à boire pour commencer?"
"Une bouteille de vin."
"Laquel?"
Je fige. C'était une farce je ne suis même pas majeur! Il va vraiment m'en apporter une?
"Euh... la moins cher."
Il s'éloigne avec un sourire. Il va pas nous apportez une bouteille de vin, pour vrai?
"Nous ne sommes pas majeur, Théo."
"No joke. Je sais, mais je pensais pas qu'il allait me prendre au sérieux!"
Le serveur revient avec une bouteille qu'il nous parle, ouvre et verse dans deux coupes avant de s'éloigner.
"On ne peut pas boire ça. Ton ami va avoir des ennuis."
J'observe mon ange toujours inquiet de l'intégrité d'autrui. Je prend le verre devant moi.
"Une gorgée. Comme quand on était petit."
"Tu buvais du vin quand tu étais petit?"
Je fixe mon copain à la recherche du sarcasme. Bah non, il est sérieux. Clairement il a jamais demander à ses parents de goûter à leur vin comme n'importe qu'elle enfant.
En tant que merveilleux petit copain, je n'insiste pas et porte la coupe à mes lèvres. C'est toujours aussi dégueulasse que dans mes souvenirs. Je dépose donc le verre en faisant une grimace qui fait rire mon ange gardien.
"Nous n'avons pas de menu. Comment allons-nous commander?" Demande le saint parmis les saints.
J'hausse les épaules. Je me tourne pour essayer d'avertir une serveuse de la situation et je vois mon soi-disant Best friend arriver vers nous de son sourire mort.
"Salut Théo."
"Salut Mika. Joli resto."
"Vous êtes le propriétaire? Vous avez un très joli restaurant." Dis mon ange qui fixe le châtain de ses grand yeux doré.
"Merci. Tu es le copain de Théo?"
"Oui, je m'appelle Gabriel."
"Parfait. Les amis de Théo sont mes amis, Gaby."
Mon ange semble ravies pendant que moi je veux mourir tellement c'est gênant comme situation. Pourquoi il lui donne un surnom, alors qu'il vient de le rencontrer? Je lui donne toujours pas de surnom et je sors avec depuis des mois!
"Ma maman travail avec votre copain. Je vous reconnais du spectacle de musique classique." Continu mon ange.
"Ah oui. Je le dirais à mon Tommy. Il n'est pas là. Il passe la soirée avec un de ses collègue. Je ne suis pas jaloux. Il a le droit. Moi je travail, alors il peut faire ce qu'il veut avec qui il veut. Même s'il passe beaucoup trop de temps avec ce Jason. Ça me dérange pas. Il peut. Mais il a d'autre ami. Il pourrait passer du temps avec d'autre ami. Mais il fait ce qu'il veut. De toute façon, je ne suis pas là. Je travail. "
C'est moi ou sa sonne comme un mantrat pour essayer de ce convaincre?
"Tu veux faire quelque chose avec moi, demain Théo?" Me propose-t-il en tournant son regard vers moi.
"Euh... on verra."
"Réfléchis-y. Je vais allez préparer vos repas."
"Mais on a pas de menu." Que je signale.
"Je sais. Je vais vous faire déguster ma spécialité!"
"Je suis végétalien." Avertit tout de suite l'enfant de dieu.
Mika le fixe alors intensément. C'est effrayant son truc, il pourrait arrêter?
"D'accord, je sais par quoi remplacer la crème." Qu'il dit avant de s'éloigner.
"Il est gentil ton ami!" Me dit, heureux de cette rencontre, monsieur bonheur en personne.
J'aurais pas utiliser ce mot pour le décrire. Malaisant, bizarre, épeurant, mais bon. Au final il est sympa, il n'a pas tord. Et si Gabriel l'aime, c'est que ça doit être un type bien. Les anges, ça n'aime que les types bien.
Je viens de penser à Joey.
Finalement Gabriel à un instinct de merde pour choisir les gens qu'il aime. D'ailleurs parlant du diable, le téléphone sonne et c'est lui. Gabriel se lève donc pour aller prendre l'appel. C'est drôle à dire, mais depuis que Joey à soi-disant tuer quelqu'un, il est tout doux et gentil. Il veut toujours être avec Gabriel et obéit à tout ce qu'il lui dit. Pis Gaby est trop sympa pour abuser de se pouvoir, malheureusement.
Bonus
Julien referma la porte de la chambre où sa fille et son ami de garderie se trouvait. Il avait mentionner l'extinction des feux au deux jeunes enfants de maternelle et avais souligner le tout en fermant les lumières. Bien sûr, il n'avait rien contre le fait que les petits discutent ou joue avec les toutous dans le lit. Mais s'il en surprenait un debout, il serait sans pitié. Il avait néanmoins totalement confiance en sa fille pour ne pas désobeir en son réglement. Il sourit à lui-même avant d'apercevoir le visage confus de son mari sur le divan.
"Il y a un problème?" Qu'il demanda à son conjoint.
"Tu étais pas censer leur dire d'arrêter de jouer et d'aller ce coucher?"
"C'est ce que j'ai fais."
"Mais, alors... le petit il dort où?"
"Avec notre fille dans son lit."
Aussitôt le blondinet le plus énervant qu'il eut connu se leva d'un bond. Julien roula instinctivement des yeux.
"Ensemble? Mais on ne peut pas faire ça! C'est un garçon et elle, une fille!"
Julien envoya un regard narquois à son copain. Le même qu'il avait toujours lorsqu'il y voyait une façon simple et efficace de l'humilier.
"Je te félicite pour ce fait. Ce sont bien les sexes qui leur ont été attribuer à la naissance. As tu un autre fait totalement inutile à élaborer à haute voix?"
"Ju, je suis sérieux! On fait pas dormir un gars et une fille ensemble. Surtout à cet âge, ils vont vouloir... jouer à touche pipi." Expliqua le blond avec des gros yeux pour signifier son point.
Le seul effet qu'il eu, fut que son époux perdre son sourire narquois pour qu'il ouvrir doucement la bouche.
"Pardon? Je craint mal avoir entendu."
"À cet âge les enfants sont curieux et ils peuvent vouloir... voir la différence entre le pénis d'un garçon et... on peut pas les laisser dormir ensemble!"
"Non, mon point était plutôt, ils vont à jouer à quoi?"
"Touche pipi." Répéta Rémy de moins en moins sûr de lui.
"Malheureusement j'avais donc bien entendu la première fois." Ce dit à lui même Julien qui le mentionna assez haut pour que Rémy ce rendre compte de ses propos avant l'humiliation qui allait suivre. "Touche pipi. J'espère, sincèrement, que lorsque tu te retrouve devant un juge pour défendre un client, tu utilises des mots qui te font paraitre mature et en contrôle, car touche pipi ne me donne pas cette impression face à toi."
Rémy tourna au rouge en un instant.
"Bien sûr que je n'utilise pas ses mots dans le cadre de mon travail! Mais toi oui, alors j'adaptais mon langage à..."
"Je n'utilise pas les mots touche pipi. J'utilise les mots pénis et vulve. Même devant les enfants, pour qu'ils comprennent qu'il n'y a rien de vulgaire à employé les bons mots pour désigner une partie du corps humain." Spécifia Julien en hochant la tête décourager.
Rémy hocha doucement la tête en baissant les yeux au sol. Il était doué pour s'humilier seul.
"Maintenant que tu as fait un fou de toi, laisse moi te signifier que moi et Camélia avons fait de nombreuse soirée pyjama ensemble lorsque nous étions des enfants et jamais ils ne nous est venus l'idée d'explorer notre corps ensemble et jamais ça n'a déranger mes parents ou les siens."
"Ça compte pas, c'était écrit dans le ciel que tu étais gay." Marmonna Rémy.
"Pardon, j'ai cru mal entendre? Est-ce un manque de respect que tu marmonne?"
"Aucunement!" Se rattrapa Rémy en offrant un regard piteux.
"Une bonne chance. Maintenant si tu veux bien te diriger vers la table de la cuisine, je vais te présenter le plan de la fin de semaine que je nous ai prévu."
L'avocat observa son mari se diriger vers l'endroit de sa démarche princière et sortir une feuille d'un cahier. Il était vraiment obliger de marquer chacune de leur futur activité à la minute prêt sur une feuille? Il aimait un peu trop contrôler et malheurs à eu s'ils avaient un retard sur leur planning.
"Je croyais qu'on prenait sa relaxe demain? On a même pas la petite, elle va chez son ami quand ses parents vont venir la chercher."
"Ce que j'ai prévu ne comporte justement pas notre enfant dedans."
"Tu nous a prévu une fin de semaine en amoureux." S'étonna Rémy en s'asseoyant à la table que Julien lui avais désigner.
Julien le dévisagea dégoûter et lui déposa une liste de nom d'endroit devant lui, avec une courte description de ce qu'on retrouvait là-bas. Rémy lu le premier et le rouge regagna son visage en un rien de temps.
"Choisit le bar qui t'intéresse le plus. Avertit moi d'ici demain midi que je puisse sélectionner ta tenue."
"Ce sont tous des endroits..."
"BDSM et sado-masochiste? Oui. Tu ne voulais pas essayer?"
"Oui..." Murmura Rémy en lisant la spécialité de chacun rouge de gêne.
"Parfait, alors tu as jusqu'à midi pour me dire celui que tu veux aller."
Les persos de plusieurs histoire se retrouve ici.
Je te déteste, Latte, moka et espresso, Traffic humain, Je me soumets à tout tes désirs et Un jour à la fois.
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