Je t'empêcherai de choisir le mauvais chemin

Joey observa son reflet de par la lame du couteau qu'il tenait. Il avait la lèvre fendu, un hématome énorme sur sa joue et une coupure au front. Son géniteur ne l'avait pas rater, mais sa mère était dans pire état. Il avait au moins permis à sa petite soeur d'aller ce cacher et d'éviter les mêmes sévices qu'eux. Il referma le tiroir de la cuisine dans lequel il avait prit son arme.

La maison était tellement silencieuse à 1h du matin. Tout la soirée et la nuit, il avait passer son temps à réfléchir à comment il vengerait ses attaques gratuite. Il était beaucoup plus vieux que le jour où le démon avait prit possession de son corps dans cette chambre d'hôpital, mais toujours petit et prépubère. Une proie de choix pour son père. Plus pour longtemps.

C'était maintenant qu'il devait agir. Il en avait envie. Il n'éprouvait que ce désir. Il grimpa donc les escaliers jusqu'à la chambre de ses parents. Il attendit devant la porte prêtant oreille, mais il n'y avait que le ronflement de son père qui s'échappait de la pièce. Il resserra sa prise sur le couteau et ouvrit la porte pour entrer. Deux formes était endormit dans le lit. Il ne devait pas ce tromper, l'une d'elle était la femme qu'il voulait protéger, l'autre la cible à abattre. Il poignarderait cet homme. Pourtant une des formes bougea et se redressa. Ses long cheveux tombant sur ses épaules, Joey cacha le couteau derrière son dos.

Sommeil trop fragile cette génitrice.

"Joey? Qu'est-ce que tu fais là?" Qu'elle demande un peu endormit et tournant le regard sur son époux qui ronflait toujours sans sourciller.

Elle quitta le lit doucement avant de s'approcher de son garçon.

"Tu as fait un cauchemars? Tu veux que je vienne dormir avec toi?" Ça question n'en était pas une.

Joey fixa l'oeil au beurre noir de sa mère et la suppliques dans ses yeux. Elle ne dormait tout simplement pas. Incapable de fermer l'oeil à côté du monstre. Sa gâchait ses plans, mais il hocha la tête pour lui offrir se répit. Le sourire de la femme illumina la pièce.

"Ne reveille pas ton père. Viens." Lui dit-elle en quittant la chambre sur la pointe des pieds.

Joey fixa la dernière forme endormit dans le lit en soupirant. Il se reprendrait. Cet homme mourra de ses mains. C'était rendu vital. Il suivit sa mère qui avait déjà gagner sa chambre et profita de son dos tourner pour cacher l'arme derrière une pile de livre. Il grimpa dans son lit et sa mère le serra dans ses bras pour s'endormir.

Au matin, il n'avait pas fermer l'oeil. Aucune seconde de repos l'avait traverser l'âme de ce jeune garçon. Il avait veiller toute la nuit sur le repos de sa mère. Il avait résister toute la nuit, à la tentation d'aller éradiquer la vermine dans l'autre pièce. Il avait veiller toute la nuit, tel un prédateur près à sauter sur sa proie ou peut-être l'inverse, attendant que l'ennemis débarque dans sa chambre.

Peut-importe. Il était mort en dedans. La seul chose qui le tenait encore debout était ce démon qui lui donnait la force de rester debout. L'aidait à ce relever et combattre. Il ne grandirait jamais à ne pas dormir la nuit et alimenter cette rage, mais il s'en fichait, car tant que sa mission ne serait pas accomplis sur cette terre, il resterait immortel.

Il entra dans l'autobus sans même voir devant lui. Errant dans le couloir sans se chercher un siège en particulier. Il prendrait celui de quelqu'un. Juste pour prouver que c'était lui le plus fort. Le plus puissant. Il en enverrais chier d'autres, juste pour montrer qu'il n'avait rien à foutre de leur sentiment envers sa personne. Il...

"Joey. Tu veux t'asseoir à mes côtés?"

Il tourna son regard vers celui qui l'interpellait. Sourire stupide. Bonté maladive. Regard pétillant la pitié. Il détestait ce garçon. Quelque chose à l'intérieur de lui, lui avait dit de le haïr. De le mépriser. De le détruire. Tout son corps était en alerte. Il était menace à sa survie. Il lui avait fait comprendre la derrière fois. Pourquoi lui parlait-il maintenant?

"Il y a une place à côté de moi. Nous pourrions apprendre à ce connaître durant le trajet." Proposa le sauveur de tous.

"On est pas amis. Parle moi pas."

"Non, mais on pourrais le devenir. J'aimerais beaucoup être ton ami, Joey." Continua Gabriel bien décider à lui ouvrir son coeur.

"J'en veux pas de ta pitié."

"Ma pitié? Il n'y a pas de pitié dans ma proposition. Seulement de la curiosité animer par ta personne unique en son genre."

Joey l'observa un moment. L'alerte de ne pas s'approcher de lui résonnait encore dans sa tête. Il te tuera que son âme criait, mais son coeur lui demandait qu'à s'approcher. Qu'à être aimer.

Il fit un pas dans sa direction et son poil se hérissa sur sa peau.

Il en fit un deuxième et sa respiration se coupa.

Le sourire au visage, l'ange continuait de l'inciter à avancer dans sa direction. Insistait pour qu'il ouvre son coeur.

Il fit un troisième pas et il sentit une lame s'enfoncer dans son coeur, mais ayant depuis longtemps oublier la signification de la douleur, il en fit un quatrième et posa ses fesses sur le siège à côté de Gabriel.

Soudain tout lui paraissait plus simple. La chair de poule était partit, sa respiration était douce, toute sensation étrange c'était absenter de son corps. Même ce désir de donner la mort avait quitter son esprit l'espace d'un moment. Qu'avait-il fait?

Joey tourna son regard surpris vers le garçon au sourire stupide. Qu'elle magie utlisait-il?

"Donc moi c'est Gabriel. Dis moi, qui ta fait ses blessures au visage? Ça doit faire mal."

Une voix cacher dans les profondeurs lui dit de l'envoyer promener. La voix l'incitait à sortir les crocs et lui faire mal et pourtant, son coeur lui disait qu'il avait peut-être trouver un ami à qui se confier. Un être en qui il pourrait faire confiance.

"Mon père."

"Ton père? Et ça lui arrive souvent de te frapper comme ça?"

"Parfois. Oui. Souvent."

"Ça ne doit pas être la joie chez toi. Je comprend mieux la fatigue que je lis sur ton visage. Tu voudrais venir chez moi parfois? Tu t'y sentira en sécurité et tu dormira mieux."

"Non. Je ne peux pas."

Sinon ma mère et ma soeur seront seule. Sans défense. À sa merci.

"D'accord, peut-être une autre fois. Dis, tu as penser parler à un adulte de confiance pour ses blessures?" Demanda le garçon dont le sourire ne tarissait jamais.

"Je n'ai confiance en personne. J'ai emmerde tous."

L'ange ricana comme amuser par ses propos et montra son plus beau sourire en se pointant du doigt.

"En moi, tu arriverais à avoir confiance?"

Il était là le problème. La réponse était oui, mais le démon en lui ne voulait pas. Il te détruira. Ne lui fais pas confiance. Il te détruira. Fuit. Il te détruira.

"Peut-être."

"Cool. Je t'aime bien. Je suis content qu'on devient ami."

Il te détruira.

Mais je m'en fou, moi. Il n'y a plus rien à détruire de toute façon.

Oh 😏

Je veux votre opinion sur ce chapitre, alors parlez 😩

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