Démon, sors de ce corps

Mon ange ignore le fait que les nuages gris dans le ciel signifie qu'il risque de pleuvoir d'une seconde à l'autre. Il veut malgrer tout aller au jardin botanique précisant qu'un imperméable sera suffisant à ne pas gâcher notre activité romantique. Je doute, mais quand je vois le sien d'un jaune immaculé et qu'il l'enfile, je tombe un peu plus amoureux tellement il semble enfantin dans ce ciré trop grand. Je fond quand il enfile ses bottes de pluie.

Je mets le mien et le regarde sortir de sa maison un sourire aux lèvres. N'est-il pas merveilleux? Derrière lui je remarque qu'il est rester en plan devant sa maison. Quand je lève les yeux, je vois la raison. Joey est au milieu de la rue le fixant comme un chien ayant repérer sa proie. Ses yeux sont rouge comme s'il était défoncer ou qu'il avait pleurer toute l'eau de son corps. J'opte pour la un, doutant qu'il sache faire la deux.

Mais voilà que le cerbère prend ses jambes à son cou et fuit. Je suis bouche bée. Qu'est-ce qu'il lui prend, il est pas bien.

"Théo?"

Je me retourne vers la douce voix de mon ange.

"Oui?"

"Je suis désolé. On peut reporter l'activité? Je dois aller le retrouver."

Son visage se tourne vers moi et j'y lis une angoisse que je n'aurait jamais imaginer possible. C'est pas comme si les activités qu'il me propose tout le temps son au sommet de l'excitement, mais je me retiens de lui dire et j'aggrippe sa main

"Je t'accompagne."

Et voilà son merveilleux sourire qui réchauffe le corps de tous qui réapparait sur son visage. Il est merveilleux mon ange. Nous prenons donc le chemin de chez la bête avec qui il est ami. Arriver, une dame ouvre la porte avant de nous indiquez que son garçon est enfermer dans sa chambre, avec une musique du diable et ne répondant pas.

Peut impressionner, Gabriel se dirige vers l'endroit et je le suis. Il y a aussi des voix d'autre tombe qui gueule dans sa chambre sur une musique à se briser les tympans. Jamais compris comment on pouvait aimer se genre de musique. Néanmoins Gabriel ouvre la porte.

Oui, vous avez bien lu, il ouvre la porte. Celle que la femme a dit être barrer, lui il l'ouvre comme si de rien n'était. Si c'est pas une preuve béton de son angitude! Et je refuse de croire que l'énergumène derrière la débarrer après que sa mère l'ai tester.

Peut-importe, car le démon est bien là assis en tailleur sur son lit et le regard vide fixer sur le mur.

Bon, je sais que la plupart d'entre vous me trouve chelou, idiot et que je pousse un peu trop et peut-être que vous avez raison. Peut-être que je suis un peu intense dans cette histoire d'ange et de démon, mais écoutez moi une dernière fois. Peut-être que ce que je vais vous dire est déformez par mon idée préconsus que Gabriel est un ange et que son meilleur pote un putain de démon, mais je vous jure que ce que je vais vous décrire est ce qui va réellement ce passer. Que mes yeux ont envoyer ses informations à mon cerveau qui la traiter malgrer l'impossibilité de la suite. Je suis peut-être fou remarque, mais je maintiens ce que je dis. Ses deux là ne sont pas de simple mortel comme vous et moi.

De la noirceur, il n'y a que ça dans les yeux du garçon devant moi. Il semble possédé par une entité. Son regard est noir, fixe. Il ne nous voit pas, ne nous entends pas. Ses lèvres remue comme s'il parlait à quelqu'un, mais aucun son ne sort et il est seul dans cette pièce. Remarque, il dit peut-être quelque chose couvert par le bruit assourdissant qui sors de la radio dans un coin de sa chambre.

Je vois quelque chose de briser dans ce garçon, mais j'gnore totalement ce que c'est. Vous devez me croire. Ce que je vois est réelle.

L'ange, lui, fait un pas dans le repaire de la bête et s'arrête regardant doucement autour de lui. Je pense qu'il a peur de prendre feu sur place, mais comme il ne se passe rien, l'ange continu d'avancer vers le démon. Rendu face à lui, il arrête sa progression et de nouveau vérifie qu'il n'a toujours pas prit feu spontannément. Le démon ne le voit pas. Son regard n'a pas bouger, ses lèvres n'ont pas arrêter de remuer.

L'ange grimpe alors sur le lit et viens entourer de ses bras protecteur la créature évadé de l'enfer. À ce contact, les yeux du démon s'aggrandit. Il me semble apeuré. En tournant doucement la tête pour apercevoir la chevelure de son sauveur. Puis sans crier gare, la noirceur quitte son regard en même temps que les larmes inonde ses yeux. Le démon pleure et encercle le dos de la bonté personnifier de ses bras avant d'enfouir sa tête sur son épaules et pleurer.

L'ange et le démon se sert. S'aggrippe l'un à l'autre comme si leur vie en dépendait.

Le volume de la musique diminue sans que personne n'est toucher au moindre bouton. La tension, la haine, la rage et la colère qui étouffe tout ceux qui pénètre cette pièce s'évapore soudain. La radio c'est complétement éteinte et je n'entend plus que les sanglots étouffer du démon dans les bras de l'ange.

"Gabriel." Appelle la voix d'un enfant en détresse. Celle qui a peur qu'à son départ le démon revient.

"Je suis là." Répond la personne qui ne fait que sauver des vies depuis que je le connais. Illuminant la pièce de son aura.

Moi je suis l'idiot dans le cadre de porte. Le mortel un peu paumé sur cette terre. Peut-être que ses indiscret d'observer cette scène. Je ferme donc la porte sur eux et sors dehors. Il a plut le peu de temps que je suis rester dans cette appartement, mais j'avise un coin sec et je m'assoit sur l'asphalte. J'y reste une éternité et quelques secondes à la fois. On dirait qu'après la vision que j'ai eu dans cette chambre, le monde entier devient abstrait. J'entend la porte de l'immeuble s'ouvrir et quelqu'un vient s'asseoir à mes côtés.

"Aujourd'hui, une vie à quitter cette terre. Ce n'était pas une bonne personne, mais il pouvait encore être sauver. Il pouvait encore implorer le pardon et racheter ses erreurs.

Malheureusement cette chance lui a été enlever. Il a été assassiner sans remord, sans regret. On ne demande pas le pardon pour ce meurtre et on ne ce préoccupe pas des conséquences. Pourtant cette mort est triste et devrait être pleurer.

Théodore, j'ai échouer à ma tâche. Je savais que ça l'arriverait, mais je n'ai pas pu l'en empêcher. Malgré mes recommandations, mes conseils et mon amitié, j'ai échouer à lui faire prendre le bon chemin.

Cette mort j'en suis en partie responsable. Nous sommes tous. Personne ne nait mauvais. Il y a eu plusieurs signe et nous l'ai avons ignorer. Nous avons fermer les yeux. Nous avons eu la prétention de croire que nous avions encore le temps de réparer les choses à un autre moment. Le temps à fini de s'écouler. Nous avons eu 15 ans devant nous pour aidez jusqu'à ceux qui ignorais avoir besoin d'aide et nous avons abandonnez un ami très cher.

J'ai échouer à le sauver avant qu'il ne soit trop tard. J'ai échouer à changer le cours des choses."

Je regarde mon petit-ami complétement absorber.

"Gabriel ne te moque pas de moi." Que je lui répond.

"Je ne me suis jamais moquer de toi, Théodore."

"Si. Chaque fois que j'ai prétendu dur comme fer que tu étais un ange, mais comment veux tu que je pense autrement quand tu tiens se genre de langage!"

"Je suis désolé si je t'ai fait sentir comme cela. Je n'ai jamais eu l'intention de te faire sentir comme si tes propos était grotesque."

"Il a tuer quelqu'un?" Que je demande incertain d'avoir bien compris toute la situation.

La seul réponse que j'obtient son les larmes qui coule sur les joues de mon amoureux. Mon coeur se déchire. Respirer me devient difficle. Les anges ne pleure pas. Si?

"Gabriel..."

Mais je ne sais pas quoi dire. J'ai toujours été mauvais pour consoler. Ce n'ai évidemment pas de ça faute si son ami à tuer une personne, mais je comprend sa détresse.

"Je suis sûr que dieu ou peut-importe qui est au pouvoir et ta envoyer sur terre, je suis sûr qu'il va comprendre. Qu'il ne considérera pas que tu as échouer. Qu'il verra à quel point ta accomplis tout un tas de truc bien."

Oui, c'est les seuls trucs que j'ai trouver à dire pour essayer de lui remonter le moral. Jugez moi, je m'en fou.

"Une vie à été supprimer. Un mort que j'aurais pu empêcher." Répète-t-il.

"Ce n'est pas une vie, de vouloir sauver tout le monde. Tu m'as sauver moi et il n'est peut-être pas trop tard pour Joey." Je tente.

En tant qu'ange, il doit surement mieux savoir que moi de quoi il parle, mais je ne peux m'empêcher de tout tenter pour faire disparaitre ses larmes dans ses yeux.

"Gabriel, soit honnête avec moi. Es-tu un ange? Un vrai?"

Mais je fini à peine ma phrase que la porte de l'appartement s'ouvre sur le démon. Son regard est terne et il n'affiche aucune malice sur ses lèvres. Il nous fixe, puis détourne le regard.

"Cette psy, que tu m'avais parler il y a quelque mois. Tu crois qu'elle me prendrait?" Demande-t-il en regardant au loin.

Un sourire radieux se dessine de nouveau sur le visage de mon ange et les larmes disparaisse presque aussi soudainement qu'elle était apparu.

"Bien sûr. Théo l'adore! N'est-ce pas?" Qu'il me demande.

"Euh... oui. Elle est doué. C'est la grande noir qui a témoigner à mon procès. Tu l'as vu, tu était là."

Il me fait signe qu'il se souvient l'avoir vu.

"Je verrais." Qu'il dit en haussant les épaules. "Désolé d'avoir gâcher votre sortie en amoureux."

Il lâche ça sans éprouver vraiment de remords à ce fait et pourtant ses la première fois que je l'entend s'excuser.

Il me semble que quelque chose à changer en lui. Pas négativement, car il aurait supposément tuer quelqu'un, mais positivement, comme s'il était tanner d'être le méchant dans cette histoire.

Il s'asseoit au côté de Gabriel et je l'entend renfiler avant que mon copain  le serre dans ses bras.

Je regarde les deux garçons et me mets à sourire de façon idiote. Finalement, je n'aurais peut-être jamais ma réponse à savoir s'il est un vrai ange, mais moi j'y crois et je crois que le mal en Joey à disparu aussi.

Ça me rend heureux de savoir ça.

Tome 2 presque fini 🙃

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