C'est drôle, j'ai envie de tuer
Joey marchait dans la rue le regard vide. Le froid de l'hiver qui approchait ce faisait ressentir pour tous sauf lui. En jeans et avec un gros chandail, il sortait du lot de personne portant une tuque et des foulards, mais peut-importe, son esprit était focaliser ailleurs.
En quittant l'école après sa dispute avec Gabriel, il avait croiser une mère et son bébé. Le petit hurlait pour une raison que seul une mère pouvait comprendre et le cri irrita le jeune démon. Il avait observer la dame et sa progéniture s'imaginant aggripper le bébé par le cou et le lancer au loin pour que les cris cesse. À moins qu'il l'aurait simplement lancer devant une voiture pour bien voir la collision et entendre les cris de détresse de la mère.
Il aurait aimer.
Mais il avait continuer son chemin ignorant ce désir de créer la mort. Ses pensée sur le sujet du meurtre n'avait jamais été aussi claire que maintenant. Que depuis qu'il savait qu'il ne pouvait plus compter sur son meilleur ami.
Il entendit un sifflement et se tourna pour voir deux idiots, cigarette à la bouche faire des avances à une fille qui se dépêcha de passer son chemin. De nouveau, il eu la vision très nette de lui-même aggripper l'une des roches sur le bord du trottoir et fracasser leur crâne avec. Un sourire ce dessina même sur son visage en s'imaginant le mur de béton derrière eux devenir rouge de leur sang. Il lui semblait libérateur de sentir la pierre sous ses mains vibrer au son de leur boite crânienne qu'il défoncerait.
Il aurait adorer ça.
Mais une vieille dame le bouscula avec son déambulateur avec comme seul excuse: Les jeunes se pense roi. Toujours dans les jambes des autres.
Salope, ce dit l'anté-christ s'imaginant la pousser au sol pour grimper sur elle et placer ses mains autour de son cou fragile. De ses deux pouces il pèserait sur cette gorge de vieille harpie et garderait le tout enfoncer pendant le temps qu'il faudrait pour que la grand-mère ne respire plus. Puis encore juste un peu plus longtemps pour s'assurer qu'elle ne se réveille jamais. Et un déchet de moi sur cette planète.
Il aurait été en extase.
Donner la mort était maintenant une pensée récurrente dans son esprit. Chaque personne aurait ça façon unique de mourir. Une mort digne de chaque merde que le monde était! Il pourrait crucifier les chrétiens, faire subir au juif ce que Hitler leur faisait subir. Pousser les handicapées devant un train, et forcer les junkies à faire des overdose. Il jourait au baseball avec la tête des bébés pleurnicheur et forcerait tout les intellectuels de ce monde à avalez des pièces d'échec ou des lettres du Scrabble. Pour les plus naïf, il leur ferait boire de la Javel et les enfants turbulent serait pousser dans une piscine et forcer à ce noyer avec un poids attacher à leur cou.
Tous ça, il voulait le faire vivre. Ça en était devenu vital.
Depuis quand ce désir de tuer était devenu si puissant? Avant c'était sur le coup du moment. Maintenant, dés qu'il voyait une personne il s'imaginait la morte la plus terrible qu'il pourrait lui faire subir.
Pendaison, crucifixion, noyade, bruler vivant, étrangler, poignarder, avaler de l'acide, bête accident...
"Hey démon!"
Joey tourna son regard vers un groupe de trois motos un peu plus loin. L'un d'eux avait relever son masque
"Tu skip encore les cours? Vient on va te montrer une place cool."
Le démon s'approcha de ce qui était le plus proche d'ami qui lui restait. Il prit le casque qu'on lui tendit et s'installa derrière son mentor.
Ils roulèrent pendant presqu'une heure, choississant les routes les plus longue, mais avec les meilleurs vue. Les trois hommes voulait profiter de la vie sans se doutait que la seul pensée que le garçon avait était de causer volontairement un accident pour que le quatuor meurt. Oui, il s'en fichait de mourir, s'il pouvait amener le plus de monde avec lui en même temps.
Lorsqu'ils s'approcha d'une falaise, il s'imaginait pousser les trois hommes en bas et les regarder tomber. Lorsqu'il traversait un pont, il s'imaginait arracher le volant et tourner sec pour que la moto soit précipiter dans l'eau. Lorsque la nuit tomba et que les hommes firent remarquer la beauté des étoiles, il s'imagina que chacune d'entre elle se décroche du ciel pour tomber tel des comètes sur la terre amenant chao et destruction.
Son rêve aurait été que ce dernier ce réalise.
Il rentra pourtant à la planque de son ami qui avait le sourire aux lèvres d'avoir ainsi rouler toute la journée.
"Alors ta envie de parler de pourquoi ta skipper tes cours aujourd'hui, ou tu veux qu'on ce défonce?"
"Aujourd'hui, j'ai imaginer au moins 8 façon de te tuer toi et tes amis."
Le commentaire prit au dépourvue l'homme qui fixa son jeune élève. Il le savait perturber, mais de là à dire de tel chose comme si tout était normal? Pourtant il ne doutait pas du tout de la vérité de ses propos.
"Pourquoi?"
"Je sais pas. J'ai envie de tuer, tu vois?"
"Non, pas vraiment." Dis son ami en l'observant. "Tu as penser parler à un psy?"
Le soupir du démon lui glissa le sang.
"Vous faites chier avec vos psy. Je vais parfaitement bien."
"Non, Démon. Tu es sympa, mais tu as un comportement à risque. Personne dans mon gang est autant excité que toi de se faire démolir la face et personne dans mon gang est aussi intéresser que toi à l'idée d'enlever une vie. Il y en a qui l'on déjà fait, mais c'était par nécessiter ou réflexe ou accident."
"Tant mieux, alors. Vous avez une arme puissante avec moi dans les rangs."
"Démon, pense à ta famille. Tu vie avec ta mère, ta tante et ta soeur, non? Tu crois qu'elles voudraient te voir devenir un meurtrier juste pour le plaisir de voir ce que ça fait?"
"Elles ne me comprennent pas."
"Je crois que personne ne te comprend." Spécifie l'adulte en s'approchant du démon.
Soudain sans crier gare, il l'enlaça. Un câlin pouvait tout régler disait sa mère. Il espérait régler ses pensée noir dans l'esprit de son jeune ami ainsi. Étrangement le démon ce laissait faire. Le câlin lui apportait un amour qu'il manquait cruellement depuis sa tendre enfance.
"Si tu veux... me parler, je suis là."
Lui parlez? Il avait déjà parler à Gabriel et il n'avait jamais été d'un grand secours. Bon son père avait fini en tôle grâce à lui et il avait éviter l'expulsion plusieurs fois, car il avait su le calmer, mais... fuck Gabriel. Fuck tout le monde. Il voulait voir la terre bruler.
😬
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top