Prévention Suicide

En ce moment j'ai pas mal d'abonnés Wattpad qui vont mal et pensent au suicide. J'ai donc voulut écrire un texte montrant que l'on peut surpasser ça, comme je l'ai fais :


Je devais avoir une dizaine d'année quand j'ai commencé à y penser, j'étais un enfant seule, qui avait de la difficulté à communiquer avec les autres, je me faisais intimider à l'école et je savais que c'était justifié. À cette époque, mon père travaillait beaucoup et je ne le voyais pas vraiment et la relation avec ma mère était une des pires, je pensais que mes parents ne m'aimaient pas parce que la seule chose qu'on me disait constamment était que je n'étais pas normal parce que je n'avais pas les capacités de mon frère. J'adore ma mère, mais elle ne savait juste pas comment réagir face à une personne comme moi et dans le fond je me sentais juste seule et je me sens encore seule. Un jour, j'ai parlé à ma mère que je me faisais intimidé à l'école et elle n'a pas réagis même elle avait dit qu'il avait surement raison de faire ça. Quand j'ai commencé à parler à un de mes frères que je voulais me suicider, il m'a retenu les bras et il m'a dit qu'il me lâchait si je lui disais que je ne le faisais pas, alors je ne l'ai pas fait. On avait une genre de règle chez moi on ne parle pas de ce qui ne vas pas, je ne peux pas parler de ce qui va mal.

Les années ont passée et ma relation avec mes parents c'était améliorer je voyais plus mon père et je restais dans mon monde ce qui me permettait d'oublier le reste. Il est arrivée un truc à l'emploie de mes parents, mes parents ont subis du harcèlement psychologique de leur emploie, je ne savais pas quoi faire, j'ai vécu un an dans le déni à essayer d'encourager mes parents et un an à me demander si quand j'allais revenir de l'école mes deux parents seraient là ou un aurait décidé de se suicider me laissant encore sous le regard de mon petit frère qui était encore dans le déni de ce qui se passait. La question que je me faisais le plus poser était qu'est-ce qui va-nous arrivé, est-ce qu'on va pouvoir finir notre école à la même école ou on va déménager. Je me rappelle encore le soir je me cachais dans les escaliers et j'entendais mes parents pleurés parce qu'ils ne savaient plus quoi faire. Je me suis senti impuissante sans pouvoir rien faire et je voulais partir de là, j'aurais voulu me téléporter ou avoir de grandes ailes pour partir au loin.

Mes parents ça leur a pris six ans à s'en remettre de cette expérience et j'ai souvent peur surtout mon père qu'il retombe dans cet état de déprime. Je m'étais réfugier dans la lecture et l'écriture pour ne pas me tuer parce que je ne voulais pas mettre un poids sur les épaules de mes parents et moi, j'en avais trop. Le reste de ma vie allais bien et tout dérapa il y a deux ans, je revivais le scénario que j'avais vécu avec mes parents, mais je perdais un endroit que j'aimais comme où j'ai vécu jeune, je me sentais triste et personne comprenais ma tristesse en plus j'ai eu un diagnostic d'un handicap et mes amies que je n'aurais jamais dû dire que c'était mes amies me disait seulement des trucs pour empirer mon cas, je me sentais de plus en plus seule.

Je voulais me tuer, je voulais me faire renvoyer de l'école pour pouvoir me tuer en paix, mais j'ai rencontré un gars. Il me faisait rire, je ne savais pas si je pouvais l'aimer, mais il me faisait du bien. Je commençais à ne plus avoir mes idées noires et un soir je suis allée au bar et ça a mal tournée avec le gars. Il m'a demandé de coucher avec lui, je ne voulais pas et il ne voulait pas me laisser parler. Je suis resté quelques minutes en place sans pouvoir bouger en marmonnant que je voulais partir, que je voulais dormir chez moi. Je voulais plus l'entendre alors j'ai dormi avec. Je me suis rendu compte que c'était une erreur en me réveillant le lendemain matin. Je me rappelle d'un moment dans le taxi en arrivant près de chez moi je me suis lever, mais plus assez de force pour combattre sa force je n'ai pas pu me lever pour partir chez moi. Je me sentais sale, je me lavais et la saleté ne partait pas. Je savais que je n'aurais pas dû, ensuite j'ai eu des problèmes à ma nouvelle job parce que je ne voulais pas rentrer cette journée là mais je ne pouvais pas, je ne me sentais pas bien. Je lui avais demandé un truc en repartant pour chez moi, parle pas aux autre que j'ai dormi avec toi et il n'a pas tenu sa promesse. J'ai dit au gars qu'on devait rester ami, que je ne voulais pas aller plus loin que l'amitié, mais en même temps je ne voulais pas perdre le bien être qu'il me procurait, je me sentais écouter avec. J'ai été un mois à me lever et à vomir à cause du stresse d'aller à l'école et d'être obligé de faire comme si j'allais bien parce que ce n'était pas grave ce qui m'arrivait. Ça a pris deux semaines avant que je ne puisse plus parler au gars, il a commencé à me mentir et à dire à tout le monde qu'il voulait juste coucher avec moi et moi, je voulais que tout redevienne comme avant ça, je voulais pouvoir lui reparler en face, mais je crois que mon anxiété lui a fait peur et il ne voulait pas supporter quand j'allais savoir toute la vérité ou les histoire qu'il inventait pour avoir l'air cool. Je n'étais surement qu'un jeu pour eux, parce que je suis trop une fille étrange pour que quelqu'un puisse me comprendre.

J'ai peur à chaque fois que je le croise, j'ai peur qu'il essaye de me parler. Je me réveille encore en pleine nuit en pleurant parce que j'ai l'impression qu'il me touche. Je ne pouvais plus me supporter, j'ai réussi mon cours juste parce que je voulais me venger de tout le groupe de gars qui m'avais fait du mal, je voulais qu'il souffre de voir mon sourire même s'il était faux. J'étais malade à chaque matin et je pleurais pour ne pas aller dans le cours que j'avais avec lui et je pleurais en revenant chez moi. Je n'étais plus capable d'être dans une foule seule parce que j'avais peur. Cette histoire était peut-être rien, mais j'étais déjà sur le bord du gouffre. Ma situation au travaille empirait, ils avaient décidé d'aider les personnes qui avait fait du harcèlement psychologique à mes parents. Je parlais de quitter mon emploie pour ça, mais mes parents me l'ont interdit.

Les vacances de Noel étaient arrivées, un soir je suis revenu du travail et on m'a annoncé qu'on avait retrouvé mon grand-père à moitié mort dans son appartement. Ma mère était redevenue à son attitude de dépression à rien faire, je m'occupais de la maison. J'avais demandé un congé dans tous les jours des fêtes et c'était là journée du souper de famille de ma mère parce que ça aurait été mal vue. Quand ils m'ont dit qu'ils ne voulaient pas par texto, j'ai mis un oreiller sur mon visage jusqu'à manquer un peu d'air et me sentir toute molle. Je me rappelle avoir pris mon épipen et m'avoir demandé si j'en finissais là si j'étais encore capable de supporter ma vie. Je suis restée une heure sur cette réflexion, en relisant le texto et en regardant mon épipen. Pour avoir le congé j'ai menacé de donner ma démission j'avais même fait la lettre pour ça. Je me suis dit que je ne pouvais pas faire ça à mes parents, je ne pouvais pas leur faire ça. Quand je suis allée voir mon grand-père je ne le reconnaissais plus, je le voyais qu'il me reconnaissait à peine et je voulais pleurer en le voyant.

Je ne croyais pas que ce serait si difficile d'écrire ça. Je n'arrête pas de pleurer. Je m'ennuyais du gars, je m'ennuyais de pouvoir parler avec quelqu'un sans jugement juste pour rire. Je suis dure à suivre, il m'a fait du mal, mais le fait de pouvoir parler avec quelqu'un des fois ça fait du bien. L'école avait recommencé, je voulais plus aller à l'école, j'écrivais, mais écrire était devenu une douleur pour moi. J'étais toujours malade en allant à l'école, je n'étais plus capable d'aller au party parce que je me sentais toujours malade. J'entendais les gens parler dans le dos des autres et après les accueillir comme un ami, je me disais qu'ils faisaient ça avec moi aussi, je n'étais qu'une autre personne qu'ils utilisaient et que je ne serais que ça de ma vie. Mon seul bonheur était de rentrer chez moi et pouvoir avoir mon chat. Chaque fois que le gars me croisait il me faisait un sourire et moi ça me faisait mal. Il m'avait dit qu'il voulait qu'on soit collègue en faisant au moins dix fautes et qu'on devrait juste se dire des saluts et moi je lui ai dit que s'il n'était pas capable de me parler ça ne servait à rien et que dans quelques semaines on le serait plus. Je lui ai écrit un message pour lui dire qu'il n'était qu'un petit problème dans ma vie et que je voulais qu'il agisse comme si nous étions des inconnues et que je n'ai jamais compris pourquoi il m'avait fait du mal ce soir-là. Je l'avais écrit en ne pensant pas l'envoyer, mais en échappant mon téléphone je l'ai envoyé et quelques jours après j'ai perdu mon chat.

J'ai commencé à faire par la suite des crises de larmes n'importe quand sans pouvoir me contrôler, je ne voulais plus vivre, mais je n'avais plus la force de me faire des plans pour me tuer. Je voulais juste avoir encore des moments de bonheur. Je mettais des journées à mon agenda que je voulais faire des tentatives de suicides, mais à chaque fois je ne pouvais pas aller jusqu'au bout, je ne pouvais pas faire d'action je pouvais juste observer. Je voulais aller voir un psy, mais à chaque fois que j'arrivais à l'accueil, j'avais peur du regard des gens, si une personne comprenait que je n'étais plus capable de vivre comme ça.

Je me sentais seule dans un monde d'étranger. J'ai changé d'emplois durant l'été et un fois je suis allée à un évènement et mes supposées amies ne m'ont même pas dit salut. Mon emploie d'été était la meilleure chose qui m'est arrivé. En retournant à l'école, je suis allée à un party et une fille m'a dit que je devrais changer de groupe d'amis et j'ai fait ça et j'en suis fière. Je me sentais moins seule, j'ai arrêté d'être malade au party, mais je continuais à faire mes crises. Des crises on dirait que tu te noie pendant plusieurs minutes et la façon d'arrêter ça que j'avais trouvée était de prendre ce qui me passait par la main et me faire des marques sur le bras. Je commençais avec un coupe ongle ensuite des broches, des clés, couteaux, même une fois avec un peigne. J'ai honte de faire ça, je sais que ce n'est pas bien, mais je n'avais pas le choix je me sentais prisonnière de ça. Je parlais toujours d'aller voir un psy, mais aussi je continuais à me céduler des dates pour me tuer. Je pouvais passer des fois deux semaine à me réveiller au milieu de la nuit en crise parce que je faisais le même cauchemar sentir une main sur mon corps.

Je me promenais avec mes écouteurs pour ne plus entendre les gens parce que je me rappelle de ce que les gens disent et une fois avec un peu de fatigue ou de l'alcool je peux faire du mal au gens. La vérité fait mal au gens, mais pourquoi vous le dites alors si vous ne voulez pas quel se sache. Une fille m'a accompagné prendre un rendez-vous avec la psy de l'école, mon cas était trop gros alors j'ai eu deux autres personnes que j'ai dû expliquer juste une partie de ce qui est arrivé. Je continuais de ne pas dormir, je voulais faire partie du comité du voyage étudiant et un jour j'ai dit au président, j'ai un problème, ça fais deux semaines que je ne dors pas vraiment et quelques semaine plus tard j'ai donné ma démission et il était surpris. Je ne veux plus retournée dans le comité, j'ai encore peur de s'il me le demande ou me l'oblige. La journée que j'ai fini mes cours j'étais joyeuse de ne plus voir les gens de mon cours. Pour le moment je vais bien, je travaille et j'adore mon travaille, je continue à aller voir ma psy et je pense de moi en moins au suicide, mes crises ont diminué et je crois que je serais bientôt capable de laisser des gens dans ma vie. 

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