Chapitre 8 : « Je suis quoi pour toi Leo? »

Petit chapitre sur : Léo et Guang-Hong. C'est sur se qu'il se passe et après que l'on leur est dis que Yurio allait (vous comprenez) bien. Ah! Léo appel Guang-Hong enfin le surnomme (peut-on dire ça?) Ji. Voilà c'est juste pour que vous se soyez pas perdu.

Léo raccrocha son téléphone et le posa sur la table basse du petit salon de sa chambre reprenant enfin sa respiration. Quel soulagement! Voilà plus que trois heures qu'il ne fessait que s'inquiéter pour ses amis et cela commençait à le ronger intérieurement.
Il posa sa tête sur le dossier du canapé en cuire sombre de ma chambre regardant le plafond. Il était blanc non, plutôt blanc cassé en vrai, les moulures en forme de roses longeait les mûres crème et un lustre ornait le tout. Même le plafond était classe pensa l'américain en revoyant défiler les images de l'hôtel dans lequel il logeait cette année. Il souffla. Fermant les yeux pour profiter du clame de la chambre. La nuit était tomber depuis longtemps sur la capitale française et sans conter sur le bruit des voitures, des passants de la nuit et des quelques restaurants ou bars encore ouvert le silence était totale. Il soupira longuement, il n'avait pas penser passer sa soirée à cela, il avait prévus plus attirant comme programme mais il fallait dire que se genre d'événements ne se prévoyaient sûrement pas en avance. Il entendit des pas dans le couloir et tourna la tête pour voir apparaître le jeune homme.

Léo avait toujours eu beaucoup d'amis et s'en fessait facilement, il était joyeux et son côté fan de musique plaisait mais il devait avouer qu'avec Ji cela avait été différent, très différent. Peut être car il avait un an d'écart et qu'ils c'étaient rencontrer sur la glasse en junior leurs rencontre restait une des plus belle de sa vie, lui et le châtain c'étaient tout d'eux entendus très vite et avait réussit à franchir les barrières de la compétition ensembles. Puis ils c'étaient souvent croiser et revus et même suivaient les compétition de l'autre, ils étaient devenus amis, de très bon amis. Mais...mais était-ce aussi simple que cela? Il regarda là châtain retirer son manteau avec grâce, fessant rouler ses épaules, fessant danser ses muscles dessiner sous son vêtements noir moulant, il passa une main innocente dans ses cheveux dévoilant son visage pâle aux joues rougies par le froid de la nuit. Oui...il était beau, Léo ne se cacha pas de cela, il suffisait d'être sincère envers lui même, il trouvait Guang-Hong beau et désirable. Désirable? Depuis quand le trouvait il désirable? En y repensant cela fessait longtemps. Trop pour être normal. Léo perdu dans ses penser ne vie pas son ami s'approcher et poser sa mains sur son épaule au creux de son coup lui arrachant un frisson.

- Léo? Tout vas bien? Sa voie inquiète fis sourire le plus vieux qui secoua la tête fessant se soulever ses cheveux.

- Non...tout vas bien ne t'inquiète pas. Il sourit prouvent à l'autre qu'il disait vrai, le chinois lui répondit par un grand sourire et s'assis à côté de lui fessant se frôler leurs jambes créant chez les deux un violent sursaut.

Ils se sont regarder étrangement, surpris par le frisson qui les avait saisit à se contact. Si Léo l'avait déjà ressentit par le passer sans en savoir la raison et sans s'en préoccuper voir son ami réagira également fessait tout drôle. De son côté Guang-Hong avait toujours tout fait pour ne pas montrer ça, pour ne pas montrer ses réactions qui s'aggravait avec le temps. Il avait bien une petit idée de se que cela pouvait être mais c'était impossible, encore plus maintenant qu'il avait vue Léo refaire également. Il ne pouvait pas ressentir quelque chose pour lui. Il détourna la tête et se massa Le Bras distrait fessant remonter sa manche dévoilant son bras blanc comme la neige au bout des doigts bleus. Il avait froid, il avait téléphoner à son coach rester avec d'autres à une cérémonie et avait penser que prendre l'air en même temps serrait une bonne idée seulement il avait sous estimer le froid parisien en cette saison et était maintenant gelé. En voyant cela Léo se redressa et se mettant face à lui saisit ses mains glacer dans les siennes caressant sa paume du pouce.

- Tu est gelé! S'exclama Léo,en regardant son ami trembler de froid il fis naturellement la chose qu'il pensait la plus logique pour réchauffer son ami, il le pris dans ses bras, le collant contre son tors, encerclant ses frêles épaules de ses bras muscler.

Oh...pensa Léo en sentant le plus petit saisir son pull de ses doigts fin lui procurant une bouffer de chaleur. Il regarda la tête de son ami qui était poser sur son épaule, le visage tourner vers lui, soufflant dans son coup. Il se laissa tomber contre l'accoudoir, le corps de Ji entre ses jambes. Il sentit son ami se détendre doucement et poser ses mains contre son tors, caressent involontairement ses pectoraux procurant un frisson au plus vieux qui se mordit là lèvres. C'était quoi ça? Se demandât il Alors que la phrase de son ami lui revenait en mémoire. « Léo embrasse moi »; elle le hantait, il savait qu'une des raisons de cette exclamation était dus à l'urgence et au besoin d'aider un de leur ami mais sur le moment il n'avait pas réaliser se à quoi cela engageait. Embrasser....Guang-Hong...l'embrasser. C'était étrange comme sentiment, comme un danger imminent et en même temps un regret en y repensant, il avait eu envie de le faire, sur le coup, il avait voulus l'embrasser. Et il avait eu l'impression que son ami le voulait aussi, que le châtain y aurait s.
répondus. Pire...qu'ils auraient aimer s'embrasser. Et ça le perturbait. En même temps comment savoir au fond? Ce n'était que des prémonitions? Dès impression? Pas des faits...il soupira alors que le châtain tirait sur son vêtement réclament son attention.

- Léo...sa voix était...demandeuse, elle était lente, presque comme un souffle qu'il aurait lâcher sans le vouloirs. Léo rougit ignorant que le châtain était capable de sensualité encore moins de sensualité involontaire. 

Il tourna le tète sans réaliser ou se trouvait en réalité le visage du plus petit, son mouvement fus effectivement rapide voir brusque mais cela suffie pour que leurs lèvres se frôlent avant qu'ils se ne retrouvent rouge le visage à moins de trois centimètres de l'autre. Leurs souffles mêler n'aidaient pas vraiment à avoir l'es idée claire et les yeux brillant de chacun déstabilisait l'autre créant une ambiance beaucoup moins amicale. Plus du tout amicale. Guang-Hong remonta une de ses mains froid jusqu'au visage de l'américain et posa sa mains contre sa joue avant de doucement approcher son visage du sien. Léo aurait pus se dégager, partir, empêcher l'inévitable mais voilà...il mourrait d'envie pour le châtain et ses lèvres tentatrices l'attiraient irrésistiblement.

Alors l'inévitable se produisit et...Léo se laissa embrasser langoureusement par celui qui était censé être son ami. Il répondit, mordillant ses lèvres sucrés, léchant sa lèvres inférieur avec envie, laissant le châtain contrôler se baisser ardent, diriger la danse endiablée. Il passa ses mains sous son vêtement alors que le plus jeune approfondissait le baisser. Leo remonta ses mains sur les hanche de Ji , caressant de ses mains chaque parcelles de peau disponible, passant sur ses omoplate créant des frissons de désir chez le châtain qui relâcha un instant ses lèvres pour soupirer d'aise et le laisser lui retirer son vêtement. Il retira le vêtement rouge du plus grands qui gémi en le sentant presser ses mains contre ses pectoraux, ses boutons de chaire et enfin une fois leurs hauts enlever poser brutalement sa bouche contre la sienne alors que Léo emporter marquait la peau de son coup.

- Léo...glissa Guang-Hong contre ses lèvres roses, d'une sensualité présente comme pour lui montrer qu'il s'y perdait aussi.

- Je sais...répondit dans un souffle le plus vieux en saisissant ses cuisses pour le porter alors qu'il se relevait vivement.

Le plus jeune encercla sa taille de ses jambe, serrant son corps contre sa source de chaleur, délassant ses lèvres pour son coup, suçant là peu mate offerte laissant le plus vieux l'emporter vers la chambre.

Dans la nuit un élan de lucidité pris Léo, il avait aimer, oui, il aimait embrasser le châtain, caresser chaque parcelle de peau blanche, marquer son corps de dieu pour qu'il sois à lui, il aimait aimer Guang-Hong et la réalité s'imposa horriblement vivace. Il était amoureux du plus petit. Pire...il couchait avec lui. Et se fus dans ses circonstance une terrible connerie...

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