Chapitre 7 : "Je ne peux pas vivre sans toi"
L'innocence du moment précédent était partit au galop, tout leur revenaient en plaines face en particulier la peur dévorante, les questions qui terrifiaient, le stresse, le sentiment de culpabilité qui nouais leurs gorge. JJ pris la main tremblant de son futur mari, il s'inquiétait, le moment de la vérité était là, à quelque seconde et il n'était pas sur de supporter son poids. Le coach regarda surpris le patineur en fauteuil roulant, le bandage de sa jambes et leurs mains entremêler, exactement comme Emil qui serrait Michele contre le lui à la manière d'un couple. D'un geste de la main Géorgie lui fis signe d'abandonner et qu'il lui récapitulerait la soirée plus tard. Il soupira, constatant que tous les patineurs étaient la, accrocher a ses lèvres, qu'ils ne dormaient pas, qu'ils étaient resté assis durant plus de trois heures dans le couloir inconfortable ; la peur au ventre ; d'un hôpital parisien. Il eu un faible souffle « Yuri...tu t'ais fais plein de bon ami tu le sais ça ? » une pensée qui le fis doucement soupirée. Il croisa les yeux bleu lagon de son élève, Victor lui avait dis mille et une fois que Yurio était douer, talentueux au début, le garçon le voyait comme un jeune talent puis, ils se sont côtoyer, ils se sont entrainées ensemble et petit a petit un lien unique c'est crée, celui d'une famille, le plus vieux voyait tout, les changements d'humeurs, les piques de colères dus au stresse, les joies, les peines et de son côté Yurio voyait le monde avec sa vision, il secouait les puces du vieux, le chahutait, le fessais se surpasser, lui donnait un aperçus d'une famille. Ses deux là c'était trouver, se voyant presque comme père et fils et c'est surement pour ça que Victor lui avait demandé si Yurio avait des problèmes, si tout allait bien avant la compétition, il voyait bien que le blond était ailleurs pourtant le blond refusait de dire quoi que se sois à l'argenter. Il en avait parlé avec son entraineur et Yuri, Yuri qui était dans un savant mélange le plus présent pour lui, pas de questions, pas d'obligation uniquement une oreille attentive. Il fixa chaque visage, chaque regard inquiet qui le fixais. Il souffla et releva son visage vers les jeunes.
-Il c'est réveiller il y a trente minutes, Un grand soupire passa les lèvres de tous ; les médecins disent que sa vie n'est plus en danger, il a perdu pas mal de sang a cause des coupures et avec l'alcool ils ont dus lui laver l'estomac. Il hocha la tête comme pour confirmer ses dires avant de continuer avec une voix soulagée. Ils pensent qu'il sera en état physiquement de sortir d'ici deux trois jours non...Il se massa le front. C'est mentalement que ça ne vas pas, d'après eux il n'était pas totalement lui-même quand il a eu se geste, il n'avait jamais été aussi ivre de sa vie. Mais ça ne change rien, il faudra qu'il voit un psy une fois en Russie...Il les fixa sérieusement. Il ne se souvient pas vraiment de se moment, le choc a crée un blocage psychologique d'après les médecins c'est presque préférable. Il continua son explication. Il est fragilisée a cause des événements quand on lui a dis comment il était arrivé là, il est devenu livide. Il faudra le ménager pendant un long moment et faire attention, d'après les docteurs les risque de rechute son durant les trois premiers mois. Victor pleurait de soulagement dans les bras de Yuri qui sentait enfin son cœur se relâcher
Oh bon dieu. Mila relâcha l'intégralité de sa peur, se sa tristesse, de son effrois, elle se sentait enfin libre, elle sanglota, elle c'était tellement inquiété. Géorgie la serra contre lui se laissant enfin aller, il avait eu tellement peur, il c'était retenue durant trois heures, il n'en pouvait plus, ses larmes qu'il avait fièrement retenue coulait sur ses joues livides. Elle du s'assoir, ses jambes ne tenait plus, elle ne sentait même plus la main de son ami dans son dos qui l'empêchait de tomber. Michele se sera contre son petit ami soulagée ; il avait eu peur, il l'avait trouvé la dans son sang ; si il était partit, si il n'était plus en vie ; il ne s'en serrait jamais remis. Tous pleurait, tous avaient les larmes aux yeux, chacun sentait son cœur enfin relâché, le nœud se dénoué, enfin, il était en vie. Phichit pleurait de soulagement un sentiment enfin de calme qu'il ressentait. Chris tentait de ne pas pleurée pour consolée le petit dans ses bras et son meilleur ami qui pleurait toujours, Sara avait éclaté en larmes, rouler en boule contre le mur, JJ avait caché son visage larmoyant dans le coup de son petit ami qui le serait contre lui, caressant son dos, le rassurant. Puis il y eu un cours silence avant que le coach se racla la gorge ; il fixa le jeune patineur brun qui les mains sur le visage, reprenant son souffle qu'il avait crue perdu, sanglotait.
-Otabek ? Le bruns posa ses yeux charbonneux sur lui un mélange d'inquiétude et de peur mélanger. Il veut te voir, il ne veut voir que toi pour le moment...tu accepterais de venir... ; il se fit couper par une voix un peu aigus qui trahis la peur du jeune homme.
- Je...je voudrais le voir s'il vous plaît. Il s'inclina rapidement, il se sentait minuscule, tout petit, très faible, il avait peur. Peur de le voir, de revoir Yurio , il voulait seulement voir Yurio en vie, juste le voir, le toucher ; le serrer un instant contre lui juste le temps de s'excuser, de lui expliquer que ce n'était pas ça, qu'il ne pourrait jamais se pardonner du geste qu'il a provoqué.
Le coach hocha la tête, il aurait pus tuer le jeune homme il y a moins d'une heure, il aurait pus lui hurler dessus. Mais se n'était pas sa faute, sa n'as jamais été sa faute, il n'avait pas voulu voir son meilleur ami mal, il n'a jamais seulement pensé du mal de Yurio. D'ailleurs quand le blond avait dis vouloirs voir Otabek, juste Otabek, son Otabek, il en avait pleuré, il avait pleuré et supplier Yakov de laisser venir son meilleur ami et lui avait défendu de tuer son ami. Et en voyant les yeux du jeune homme il devait donner raison à son petit protégé. Il fit signe au jeune homme de le suivre, Otabek ne réfléchis pas une seconde, il emboita le pas au vielle homme, il lui collait au train. Il le suivait a toute vitesse dans les couloirs, les autres marchaient aussi, ils ne pouvaient pas entrée le voir ? Très bien mais il était hors de question qu'ils restent inactifs. En arrivant devant la chambre du blond, le bruns se figea, il regarda presque apeuré la porte, qu'allait 'il trouver derrière ? Un garçon pale, en larme ? Un garçon en colère ? Qui à peur ? Il ne savait pas, il ne savait même pas comment parler, il oubliait les mots, il ressentait juste son cœur se décrocher a chaque battements, il approcha tremblant sa main de la poignée et apeurée il poussa la porte de la pièce. Il jeta un regard remplis de détresse à Victor, celui-ci lui sourit encourageant et le poussa du bout des doigts dans la pièce. Il entra seul et c'est seul qu'il referma la porte s'autorisant a posée les yeux sur le corps pale allongé dans le lit.
Allonger sur le dos, le corps tourner vers le plafond, Yurio avait les yeux fermés, il ne bougeait pas, il restait immobile avec comme seul mouvement et signe de vie sa respiration douce et calme qui fessais se soulever les draps blancs. Il s'approcha doucement, une fois près du lit il le contempla, son cœur s'accéléra, le russe avait toujours été beau, une sorte de beauté délicate, féerique. Mais là...les yeux clos, cachant ses deux iris vert comme une forêt, comme le plus frais des verts existant qui lui fessait tout oublier ; ses lèvres rose pale, son visage fin, son coup blanc comme la neige et ses cheveux blond pale qui légèrement onduler tombait autour de son visage, ses bras cachées par les manches de sa blouse d'hôpital ne laissait pas apparaitre les signes de sa tentative. Il ferma les yeux quand il sentit un mouvement, Yurio avait ouvert les yeux, ses beau yeux vert et le regardaient, fixant incertains ses yeux rouge, son teins livide. Et le grand héro, l'impassible jeune homme qui c'était demander quoi faire quand il pourrait se tenir face a lui fis la seule chose logique. Il fondit en larmes et se jeta dans les bras du plus jeune , s'accrochant à sa blouse, les poings serré. Le blond ne bougeait plus, il sentait la chaleur de Beka contre son cœur et sa lui fessais bien plus de bien que n'importe quelle thérapies. Il posa sa mains dans les cheveux bruns de son ami, il caressa son crane sentant ses larmes revenir alors que le bruns gardait le visage cacher dans sa blouse. Il ouvrit la bouche et la referma avant d'annoncer d'une voix tremblante.
-Je...j'ai crue t'avoir perdu...sa voix trembla, son corps était secouer par sa respiration difficile, l'émotion retournait son estomac.
Le russe respira, c'était toujours aussi compliquer, jamais il n'avais pensée qu'il tenterait de mourir surement pas à cause de son meilleur ami, jamais il ne pensait aimer quelqu'un aussi fort, jamais il ne pensait oublier de respirer tant la douleur était forte, jamais il ne pensait finir a l'hôpital inquiétant tout le monde, pleurant même parfois. Il ferma les yeux, il ne se souvenait pas vraiment de quoique se sois après son retours a l'hôtel quand il avait commencé en larmes a jurée en russe et vidant son minibars qui était étrangement parfaitement suffisant pour finir ivre. Un vague souvenir de sa peine, une peine si importante, si noir, il s'y noyait, il ne voyait plus de lumière juste le noir, la douleur de son cœur qui frappait a toute vitesse dans sa cage thoracique, brisant ses faibles défenses contre la peine, une petit voix sombre et cruel qui l'enfonçait sous terre, rien n'y fessait pourtant, il n'arrêtait pas d'y penser. Il pensait a Mila, à sa relation avec la patineuse, à ses câlins qui le réconfortait, a son sourire qui réchauffais même son cœur de glace, a ses moqueries, a leurs moments ensemble, a ses entrainement quand énerver elle enchainait tout comme lui les sauts, plus haut, plus long, quand colérique elle le soulevait et comme une poupée le fessait dansée sur une musique ridicule en chantant faux. Il pensait à sa passion pour le patinage, il pensait a la sensation de glisser sur la glace, de sentir le vent se fendre devant lui, de sentir son corps léger comme l'air s'envoler dans ses saut qui le rapprochait du ciel, il aimait ses sensation, l'oublie de soi. Il pensait a Otabek, il pensait a la sensation de chaleur qui lui prenait le corps quand ses grands yeux noir se posait sur lui, quand son sourire entrainait le sien, quand il le prenait dans ses bras, quand il lui parlait, sa voix le hantait, sa voix qui lui parlait. Il pensait a lui, a tout se qui fessais de lui, son meilleur ami, un être exceptionnel. Il revoyait la scène qui avait tout fais basculer, quand en ouvrant la porte des vestiaires il avait vue, assis sur un banc le bruns Mila, un genou a coté du sien, une main accrocher a son épaule, l'autre accrocher aux portemanteaux dans son dos, à moitié sur ses genoux, son visage a moins de cinq centimètre du sien. Et son cœur de prima qui se brise, ses yeux grands ouvert fixant perdu deux des personnes qu'il aime le plus, briser son espoir. Mila ne le voix pas et rouge elle baisse un peu la tête, il recule ; non ; il voix Sara chercher la russe, il lui prend le poignée ; elle ne dois pas voir ça ; elle regarde, ses larmes coule, un sanglots, ils les voient, blanchissent, paniquent, se lèvent, Otabek lui fais signe que ce n'est pas ça mais son esprit et déjà perdu, embrumer par ses larmes qui dévalent ses joues, il entend Sara hurler de douleur, il la voix partir alors que Mila en brassière sort en trombe, il pleure, recule et pars, loin, loin, très loin. Les larmes lui viennes alors que la tête de son ami est toujours contre son tors, il papillonne, les chassent mais son trouble fais lever la tête du héro qui voyant ses larmes s'approche de son visage et les essuie des pouces. Yurio sourit, se geste il l'avait toujours eu, d'essuyer ses larmes. Le héro et assis sur son lit, à moitié dans le vide mais a cet instant il semble bien loin de s'inquiéter de ça, il se contentait de se taire et de consoler le blond. Il prit un rire nerveux quand un frisson parcourus sa colonne, il avait crue l'avoir perdu, il avait crue ne jamais le revoir et le voila a essuyer les larmes qu'il avait provoquée.
-Je suis désoler Yura....je m'en veux tellement...un sanglot lui échappa. Le blond pris une des ses mains et la garda dans la sienne. Il ne lui en voulait pas, il ne lui en avait pas voulu deux secondes, il s'en voulait a lui, d'avoir été naïf, bête de croire que le brun pourrais l'avoir réparé.
- Ce n'est pas de ta faute Beka...il se mordit la lèvre. Je ne t'en veux pas tu sais...il souffla. Je suis incapable de t'en vouloirs...il avait une petite voix, faible et fatiguer qui trahissait sa fatigue aussi bien physique qu'émotionnel. Le héro le regarda tristement et caressa sa joue pale, inconsciemment Yuri viens appuyer sa tête dans sa paume. Beka souffla.
- Je n'aurais pas supporté te perdre Yura....il sentit le blond relâcher une sorte de pression, ses yeux vert rencontraient les siens et il s'y perdu, partager entre tristesse et soulagement il ne savait même plus comme parler avec lui, ses paroles sortaient seules et pourtant il aurait dix milles choses à lui dire. De son côté le blond mourrait d'envie de le serrer contre lui, de sentir son contacte, son odeur de café mais il y avait une question, une question qui revenait dans sa tête comme un fon sonore. Sans se rendre compte il murmura sa question.
- Il c'est passer quoi avec Mila ? Pourquoi tu ne ma rien dis Beka ?....il souffla et regarda son ami secouer la tête se retenant de fondre en larmes.
- Ce n'est pas se que tu crois...Yura l'encouragea à continuer en serrant sa mains. Otabek chercha ses mots. Je...je te jure il n'y a rien entre moi et Mila, quand elle est entrée je me changeais, elle cherchait Victor et elle pensait le trouver là...elle ma demander si je savais et j'ai dis qu'il était peut-être dans les douches alors elle est allé voir et...un instant un murmure presque amuser lui échappa. Une sans gène d'ailleurs...Yuri souris légèrement, c'est sur c'était du Mila tout cracher. En revenant elle avait les pieds mouiller et elle a glissée se raccrochant a la première chose venu sois moi...C'est comme ça que l'on c'est retrouver dans cette situation...Gêné il hésita puis le regardant en coin continua...délicate et t'es entrée puis Sara et...Sa voix se brisa et Yuri serra sa mains plus fort. Et je t'ai cherché partout Yura. Un sanglot. Partout ! Mais t'étais nul pars...j'ai crue...j'ai eu peur que t'es fais une connerie puis Victor nous a appeler en larmes nous disant de venir a l'hôtel tout de suite. Yurio ferma les yeux, Beka souffrais bien trop ; il voulait qu'il se taise, qu'il n'est plus mal mais le bruns continua. J'ai jamais courus aussi vite de toute ma vie, j'avais tellement peur et...et quand je suis arrivé je t'ai vue le brancard...t'étais presque mort Yura ! J'ai...J'ai crue que j'allais étouffer. Il sanglota dans ses mains se sentant revivre le mal qui l'avais pris a se moment la alors que Yuri se mordait la lèvre. Puis l'hôpital, je contrôlais plus rien...j'ai fais que pleurée ; je ne voyais même pas comment je pourrais vivre si tu partais sans moi ; tu ne pouvais pas mourir ce n'était pas possible. Sa voix faiblis sur les derniers mots. Je t'aime Yura....Je t'aime tellement Yura...je ne peux pas vivre sans toi ; je n'aurais pas pus vivre si tu étais mort alors je t'en supplie ne refait jamais ça...j'en pris...il le suppliait, les yeux rouge, le regardant sincère mais Yura avait décroché a « Je t'aime Yura ».
Il hocha la tête et respira avant d'ouvrir les bras et de demander muet a son ami un câlin ; se dernier en état de choc ne se le fis pas demander deux fois et plongea dans les bras du patineur qui referma un bras entourant le coup du brun, l'autre passant sous son bras, sa mains perdu dans les cheveux de son ami. Otabek cacha sa tête dans le coup de son meilleur ami, il le serrait contre lui, il se sentait enfin paisible, les bras du blond avait toujours sus l'apaiser, le tranquilliser. Yura ne lui en voulait pas, ne le détestait pas, il avait pus lui expliquée, il était dans ses bras, mieux, il entendait les battements de son cœur. Il respira puis sentit le blond soupiré de bien être.
-Beka ? Demanda le blond d'une petite voix. Le brun hocha la tête, les yeux fermer. Tu veux bien rester avec moi cette fois ? Il sentit son ami se figée puis un visage apparue dans son champ de vision et Otabek, la tête penchée regarda les sourcils froncer le blond.
- Je ne par plus Yura...je ne partirais plus je te le promets...cette fois...on reste ensemble ok ? Le blond hocha la tête et viens cacher son visage dans le coup de son meilleur ami. Je reste avec toi...répéta le brun comme une promesse qui fis battre plus vite le cœur du patineur qui relâcha Beka et timidement désigna ses bras.
- Même avec ça sur ma peau....soucieux il le regarda. Sa question était incomplète mais le brun n'avait aucun mal à la compléter, la question exacte était « Tu m'aimeras même avec ses cicatrices sur mes bras a vie ? » le brun délicatement releva les manches du blond qui frémis.
Il remonta jusqu'aux coudes, sa peau était blanche naturellement pourtant cette fois, ses avant bras était rosie par la pressions des points de sutures, cinq coupures profondes balayaient son bras dans la largeur, parfois plus profondes, parfois plus rouge, certaines fessaient une croute par-dessus les points de sutures. L'autres bras n'en avait que trois, une était moins profondes et n'avais pas été recousue. Il les fixa un instant puis passa ses doigts dessus, frôlant tout juste la peau, Yura le regardait faire, Beka souris tristement et les regardas, elles fessaient partit du blond, elles seraient toujours la. Et rien ne changeraient ça. Il regarda le jeune homme qui allonger dans son lit fixais ses bras presque dégoutée par ses traces.
- Elles fons parties de toi Yura, de ton histoire alors tu ne dois pas en avoir honte. Il le sentit e crisper et continua d'une voix douce. Mais oui, même avec ça, même avec une balafre, même si tu étais difforme, même si tu avais la peau bleu....je t'aimerais toujours Yura. C'est toi que j'aime, ton physique n'est qu'un détaille. Il le sentit se détendre instantanément et regarda ses cicatrices. Je les embrasserais tout les jours si il le faux pour que tu les aimes. Un rire lui échappa devant le sérieux mis dans la déclaration a l'encontre de ses traces, Yura repris son calme et regarda son...son quoi en fait ?
- Merci...merci d'être là Beka...Yura lui souris et Beka rougit jusqu'aux oreilles, ne pouvait 'il pas éviter d'être aussi mignon ? Le blond rougit tout juste réalisant que le brun rougissait par sa faute puis il se releva en position assise. Il regarda la porte puis Beka. Ils sont là depuis quand ? Le brun souffla, il sentait d'ici la vague d'affection du blond arrivé.
- Ils ne sont jamais partit...on est la depuis que tu es arrivé ici il y a bientôt plus de quatre heures de ça...seul Léo et Guang-Hong sont partit en même tant Guang-Hong a enchainée deux malaise tu l'aurais vue pale comme la mort. Le bond était maintenant parfaitement assis fronça les sourcils puis s'exclama.
- Quoi ?! Il a fais deux malaises ? Il regarda la porte. J'ai raté beaucoup de choses non ? Le brun hocha la tête et récapitula.
- Alors...déjà Guang-Hong et Michele t'on trouver et notre jeune ami n'as pas supporté alors Léo la ramener sous les conseilles des infirmières a l'hôtel vus qu'il ne tenait plus debout. Il enchaîna. Après JJ à hurler sur Lee car il n'a pas déclarée sa blessure ; une entorse assez grave il est en fauteuil roulant. Ah ! Ils vont se marier d'ailleurs. Sinon...hum...Emil et Michele sont en couple, ils se sont embrasser devant tout les journalistes qui étaient dans le hall pour éviter qu'ils n'arrivent ici. Puis tu t'es réveillé...Il souffla inquiète du stress qui naissait chez le blond aux sourcils froncer qui regardait la porte. Il saisit ses mains et se rapprocha à quelques misérables centimètres du visage blond le fixant.
- B-Beka? Demanda le blond en rencontrant le regard charbonneux de son ami qui le fixait une lueur inquiète et tenter dans les yeux. Il fixa ses lèvres, se mordit les siennes et rencontra le visage doux de son ami contracter sa mâchoire avant de dire sur un ton crisper.
- Évite de refaire ça Yuri..il le regarda. Je meure d'envie de t'embrasser et tu ne m'aide vraiment pas à résister là....Yuri fus déconcerter un instant en entendant cela, Otabek ne disait pas souvent se qu'il pensais mais de toute manière cette journée était folle du début à la fin.
Il se retiens de cède, il le lisait dans ses yeux noir, il y voyait tellement de choses d'ailleurs comment cela pouvait il être le cas, il n'avait jamais été douer pour lire dans les gens et encore moins pour voir les choses. Décidément Beka échappait à toutes les vérités le concernant sans problème. Il se reteint de passer sa langue sur sa lèvre dans un geste de réflexion. Le Brun était déjà tenter par la peine d'en rajouter...mais en fait...pourquoi se retenait il exactement? Pourquoi ne le fessait il pas? L'embrasser? Il compris. Le brun pensait lui avoir fait du mal...beaucoup de mal alors forcément dans son esprit il ne pouvait en aucun cas aimer le blond. Bon dieu...pensa Yurio. Le blond regarda son « ami » attentivement.
Il était beau. Voilà. Il était tout simplement beau, très beau même. Sa peau bronze au reflets caramel, ses cheveux bruns qui était si doux, si soyeux au toucher, ses grands yeux noir profond et intense, son nez retroussé, ses lèvres...tentatrice et son visage au trait dessiner et à l'air stoïque. Oui...Le Brun était beau mais ça Yuri l'avait toujours sue parfaitement. D'ailleurs il l'aimait. Pas pour son physique mais il aimait quand même l'apparence du brun se qui était en réalité assez facile. Il lui suffisait de penser à lui pour que le mot beau sois marquer en rose bonbons au dessus de son visage. Hum...il avait sans doute un problème avec lui mais peut importe, cette journée état sans nul doute la pire de sa vie enfin presque; elle était déjà folle et sans aucune logique car en réalité les chances que tout cela se produise et le même jour sont assez faibles alors bon...fichue pour fichue pourquoi ne pas l'embrasser? C'est vrai ça...il fronça les sourcils. Beka ne se sentait pas en droit de l'embrasser très bien mais lui...pourquoi ne l'embrassait il pas? Il en avait le droit. Il en avait le droit car après tout, Le Brun en avait envie non? Et après? Il se passe quoi après? Il regarda Le Brun toujours à cinq centimètres de lui qui le fixait semblant partager entre l'inquiétude et une furieuse envie de l'embrasser . Il choisit pour lui.
Yurio n'avait jamais été banal et encore moins répondant un règles générale sur le fonctionnement humains se qui est avouons-le bien dommage. Par contre cela avait aussi des avantages comme le fait de surprendre les gens avec presque rien comme maintenant. Il regarda le brun puis tout aussi naturellement que si il l'avait toujours fais posa ses lèvres sur celle de Beka. C'était...surprenant. Délicieusement surprenant. Il les sentait les papillons, le rouge aux joue, une sorte de bien être euphorique. Mais sur le moment il se concentrait sur le plus vieux qui après quelque instant de surprise et de doutes avait poser ses mains sur les hanches du russe et répondait au baisers.
Ses lèvres étaient douces, chaudes et sucrée avec un goût de larmes en dessous. Elles étaient tout se qu'il avait imaginé en mille fois mieux. Il était timide au début n'osant pas fair un geste jusqu'à que le brun réagisse, tenant ses hanches amoureusement, mordant tendrement sa lèvres goûtant aux siennes. Il sentit le baiser prendre plus d'ampleur et s'accrocha au coup musclé du brun qui resserra sa prise sur ses hanches remontant une mains sur sa taille creuses. C'était...une bénédiction. Ses lèvres le hantait et l'attirait depuis tellement longtemps et il n'avait pas penser un jour pouvoir y goûter. Tendrement le blond se colla contre lui, se laissant tomber en arrière sur son matelas entraînant le plus vieux avec lui. Otabek posa une mains au dessus de la tête blonde caressant ses cheveux dignes d'une fée. Et le baisse pris plus d'ampleurs encore une fois lorsque les mains de Yuri on glisser sur le torse du brun passant sous son vêtements rencontrant la peau mate et chaude de son...son quoi? C'est vrai maintenant qu'étaient ils? Des amis? Plus? Il ressentait plus.
Le brun semblant réalisé se qu'ils fessaient se détacha à regret du blond se retrouvant à moitié au dessus de lui, il regarda le plus petit. Il avait les joues rouges, le souffle cours et les yeux brillants d'affection pour lui. Il caressa le crâne du blond et le regarda...il l'aimait tellement.
- Beka? Il le regarda et vus le blond tourner la tête se cachant derrière ses longues mèches claires. Je...on est quoi tout les deux?
- Tout, rien, comme tu veux Yura. Il embrassa son front chastement. On peut être se que tu veux.
- Je...je ne veux plus te perdre. Sa voix flancha. Je veux être avec toi...tout le temps. Le rouge viens au joues du héros alors que doucement il pris les mains du blond.
- Yuri...le concerner le regarda enfin alors que prenant tout son courage Le Brun s'apprêtait à lâcher la révélation qui pourrait tout changer. Je suis amoureux de toi Yuri Plisetsky.
Le blond avait mille chose à dire pour répondre à ça, dès centaines de mots à utiliser mais rien ne viens. Rien car après tout c'était tout se qu'il avait voulus entendre, juste ça, pas plus. Et le plus vieux semblait si sincère et tendre qu'il ne lui viens qu'une seule façon de lui montrer sa reconnaissance. Il pris son visage et l'attira au siens pour l'embrasser passionnément, mordant ses lèvres roses et glissant ses mains dans les cheveux du brun approfondissant le baisser. Beka encercla son corps feint de ses bras. Lorsqu'il se décolla la seule chose que Yurio trouva à dire c'est ça.
- On ne reviens plus jamais à Paris mon cœur. Et Le Brun hocha la tête en riant. C'est ridicule mais vrai, Paris la ville le l'amour était un mythe ancien.
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