Chapitre 4 : "Cœur briser"
My Lady
Au moment même où la porte s'ouvrit sur les deux patineurs un crie d'effrois fis trembler le gymnase, un crie aigus de femme qui glaça le sang de Michele Crispino qui reconnu la voix de sa sœur. Il ouvrit vivement la porte tombant sur une Sara en larme qui en état de choc se mis à courir encore en tenu de scène vers les portes à l'arrière de là patinoires. Il allait lui courir après quand il se figea, Yuri, le tigre russe était en larme au lieu du hall où les patineurs et leurs coachs regardait la scène éberluée. Et exactement comme sa sœur il prit la fuite pleurant toujours, bousculant la foule qui bloquait le passage. Victor hurla son nom mais fus retenu par son mari qui tomba au sol. Mais...Il vit Otabek sortir en trombe des vestiaires voisin et eu peur de comprendre quand Léo le visage dur l'arrêta en saisissant son poignée et secoua durement la tête alors que le jeune brun lui hurlait quelque chose dans sa langue d'origine. Il vit avec horreur Mila, sortir en brassière à sa suite et crue comprendre l'horrible scène à laquelle avait dus assister les deux coureurs. Réalisant enfin il regarda Emil, le blond hocha simplement la tête, un simple « Je t'appel » et le jeune homme courrait déjà portable à la main à la suite de sa sœur. Sa lady. Il entendit un simple crie. Un crie grave qui lui fis penser que Otabek n'avait sûrement pas voulu tout ça. Il accéléra se souvenant d'une phrase que Victor répétait souvent.
« Le cœur des patineurs est hélas bien souvent plus fragile qu'une étoile de glace »
Il accéléra encore, hurlant le nom de sa soeur, l'appelant en Italien, jouant des épaules pour sortir de la masse qui s'agglutinait contre les portes de vers. Il jura. Il jura et se propulsa en dehors de se conglomérat de journaliste, fans qui attendait sagement la sortit des patineurs. Une fois libre il regarda autour de lui et se mordit la lèvre. Il était dans une rue, donc, sa sœur était partit à droite ou à gauche? Putain! Oh merde il allait tuer Mila et le héros national si jamais il arrivait quoique se sois à un des deux patineurs maintenant perdu dans la capitale française. Il allait tourner quand son téléphone sonna. Il regarda et vis que c'était sa sœur. Paniquer il décrocha.
-Ma lady, souffla Michele en entendant un sanglot incontrôlés au bout du fils qui fis se briser son cœur et exploser son nuage rose sur lequel il planait jusqu'à la. Il marcha vers la droite se souvenant avoir vue la Seine en venant en voiture avec son coach. Il pensait que connaissant sa sœur elle serrait aller naturellement vers l'eau qui avait une sorte d'effet clamant sur eux. Il l'étendit respirer puis dire d'une voix chevrotante.
-Micky....elle souffrait, il l'entendait au son de sa voie, combien elle aurait voulu que tout ça n'arrive jamais, que l'on lui enlève son cœur qui pesait lourd dans sa frêle poitrine. Il se ressentit et demanda d'une voix rassurante.
- Où est tu Sara, je viens te chercher....elle ne répondit pas et comprenant la nature de son silence rajouta. Seul...il eu comme un souffle puis une voix faible et briser couper par un sanglot.
- Près de l'eau...je ne sais pas où exactement, je suis aller à droite puis tout droit...il souffla rassurer et hocha la tête pour lui même.
- J'arrive ma princesse, je suis là dans cinq minute ne bouge plus d'accord? Il la sentit se détendre au son de sa voix et du surnom affectueux qui avait toujours sus soigner toutes ses peines. Oui, elle avait besoin vital de son frère maintenant. Il hésita puis demanda. Yuri est avec toi? Elle retient son souffle et un sanglot lui échappa. Il jura silencieusement, le jeune russe n'était encore jamais venu en France et ne connaissait sans doute pas trois mots espérer des insultes et les noms de nourritures. Bref, un bébé tigre perdu dans une jungle de braconniers.
- Je...oh mon dieu Yurio...il...sa voix se coupa par un sanglot. Il pleurait, il a voulus m'empêcher d'entrer mais...je...Oh mon dieu...répéta l'italienne briser au bout du fil se qui fis instinctivement accélérer son frère. Il arriva au passage piéton et vis les bords de Seine presque vide espérer quelque promeneurs dû dimanches.
-Je suis là...souffla Michey avant de raccrocher et de chercher des yeux la jeune femme. En parcourant le trottoir du regard il découvrit un court instant la beauté de la ville et un nom lui revient alors qu'il soupirait.
« Paris la capital de l'amour », flagrant ne pus s'empêcher de jurer le châtain. Sa sœur avait le cœur briser exactement comme Yurio alors que lui venait de commencer une histoire d'amour enfin sérieuse avec l'homme de sa vie. Il n'était pas de taille pour gérer tout ça. Il souffla, il fallait qu'il se clame, respirer, expirer. Il mit de l'ordre les yeux fermer dans ses pensées. Pour le moment, le problème Emil était régler, ils s'aimaient assez pour attendre un peu, la priorité était de retrouver Sara, de rentrer à l'hôtel et d'être là pour elle quitte à être collant. Et prendre des nouvelles voies trouver le russe si c'est possible. Le jeune homme semblait près à sauter d'un pont. Effrayer un cours instant par cette optique il traversa rapidement n'attendant lfinalement pas le feu vert pour chercher sa sœur. En arrivant il la vis tout de suite, replier sur elle même au bord de l'eau. Il descendit rapidement l'escalier qui menait au rives, marcha à toute vitesse et se jeta sur elle pour la prendre dans ses bras. Oh...bon dieu qu'avaient-ils fait à sa chère sœur. Elle pleurait, toutes les larmes de son corps, secoué par des sanglots et des gémissements plaintifs, ses cheveux avant en un beau chignon tombaient sur ses épaules et sa sublime tenue était couverte de poussière et de larmes sales. Il la serra contre lui et elle enfouit son visage dans la veste de son frère qui contait bien faire barrage humain entre sa sœur et le reste du monde le temps qu'il faudra. Il lui caressa les cheveux d'un geste tendre et encercla son dos de son bras. Il avait toujours eu une prestance, non, une présence rassurante, ses bras était forts et son odeur apaisa sa sœur qui essuya de se reprendre se sentant faible, à bout de force et perdu dans une vague de sentiments. Alors d'espérer elle le supplia.
- Ramène moi à la maison Micky....il sentit une larme couler et délicatement il caressa la joue de sa sœur tentant de lui montrer qu'il était là et qu'il ne contait pas la lâcher de si tôt et ceux même si elle lui hurlait dessus.
- Tout ce que tu veux Sara...il essuya de ses pouces ses larmes sale qui lui brisait le cœur au mois autant qu'aux grands mères qui passait se demandant sûrement pourquoi une aussi belle jeune femme pleurait gâchant ainsi un aussi jolie visage.
Il se leva accroupit et passa un bras sous les genoux de sa jumelle, celle ci entoura son coups de ses bras, elle tremblait toujours mais essayait de tenir contre son frère qui la portait. Il remonta les marches, fis signe a un taxi qui passait par la. Une fois Sara attaché, la direction indiquée et le conducteur concentré il se permit de souffler. Cette journée avait le don d'être mémorable et de tenir son cour à un rythme endiablé. La patineuse avait pris la main de son frère et commençait à ressentir les effets de la fatigue aussi bien mental que physique. Alors elle laissa le sommeil l'emporter sur le reste, elle espérait secrètement pouvoir ainsi oublier un moment sa douleur. Le jeune homme pensa un instant au jeune russe qui airait peut-être encore dan les rues, le soleil était descendu depuis tout l'heure; le vent soufflait et un son regard se perdit sur les reflets dorée de l'eau, sur les passant qui souriaient parfois. Il sentit son portable vibrée et regarda son écran. Un message...un message de Victor? Il pensa un instant que même inquiet pour Sara le russe ne lui enverrait surement pas de message à lui.
De Victor : 18h33: Sais tu où est Yurio?
De Michele : 18h56 : Désoler je n'en sais rien. Sara n'était pas avec lui. Vous n'avez pas de nouvelles?
De Victor : 18h57 : Ne t'excuse pas, on est soulager que tu est trouver Sara. Et non, personne n'en sais rien, Otabek aussi a disparut. Yuri est aller voir a la patinoire et d'autres un peu partout. Si tu vas a l'hôtel, pourrais tu aller toquer a sa chambre?
De Michele : 18h59 : Evidemment Victor; j'y vais en arrivant. Je te préviens si il y est tenez moi au courant.
De Victor : 19h00 : Merci beaucoup. Aucun problème bonne chance.
De Michele : 19h01: De rien.
Une inquiétude nouvelle le prix en pensant a la détresse dans les gestes, dans les yeux vers du jeune russe qui avait vue la personne en qui il avait le plus confiance, son confident, son meilleur ami, celui qui arrivait a faire sortir le meilleur du jeune blond. Quand en voulant surement aller se changer il avait vue Otabek et Mila dans une situation invraisemblable. Quand son cœur de prima c'était briser comme un cristal, quand impuissant il avait reculé, retenant un gémissement de douleur, quand une seconde son regard avait croisé le sien puis il avait fuis comme brûler. Michele savait comme beaucoup des anciens que Yurio n'avait aucune confiance en sois même malgré sa fausse vantardise il avait plus peur des autres qu'autre chose, aucune confiance en sois, dans les autres, une sensibilité a fleure de peau, un cœur déjà recoller. Victor avait toujours crue en lui comme en son propre fils, le couvent d'un regard protecteur, puis Yuri ci était mis après leur rencontre et Otabek, a eux trois ils avaient brisé les défenses du blond, de se tigre blanc comme on débranche une bombe a retardement. Leur entraîneur a raison, ils lui créaient un environnement ou un jeune homme de dix neuf ans peu évoluée correctement. Dix neuf ans...déjà, il y a déjà trois ans qu'il connaissait le blond, sa première fois au Grand Prix fut mémorable pour cause, il vola un recors du monde à Victor et gagna la médaille d'or. Il n'avait pas vue le temps passer, avec tout ça, aujourd'hui le blond était majeur et pouvait donc très bien boire comme un troue. Quoique...quand on passe sa vie dans cet univers peut on se dire a dix neuf ans parfaitement près pour la vie d'adulte? Il était si fragile.
En plus, on parlait de sentiments puissant car en trois ans jamais personne n'avait vue Otabek et Yuri se disputée ou même se fuir, tous savaient que ce n'était pas de l'amitié qui les unissait mais bien un sentiment plus pure, plus fort. Si Otabek était réserver les patineurs avait tous vue comment son sourire si rare et ses yeux s'adoucissaient a la simple vue de Yuri, ses gestes, leurs mouvements, ils bougeaient en fonction de l'autre et seulement comme ça. Et comment Yuri avait du se sentir ne laissait pas non plus de doutes, mal, atrocement mal, aussi mal que Sara. Mais Sara était bien plus clame et forte que le tigre qui réagissait au car de tour a chaque fois, qui rougissait tout le temps, se cachait derrière un masque de colère permanente. Sara l'avait lui, pour la rattraper mais Yurio, lui, qui allait le sauver. Un mal-être le pris alors que le chauffeur se garait devant leurs hôtel, il descendit prenant Sara dans ses bras. Il vit les dizaines de journaliste et décida de les ignorer, il passa les laissant faire comme bon leurs semblait, marchant avec assurance, un regard impassible.
Il franchit les portes, fis un signe au groom et monta dans l'ascenseur, sa sœur contre lui. Il monta eu quatrième, chercha un instant la clé de Sara puis la trouvant ouvrit la porte, il s'avança, posa sa princesse dans son lit, il lui retira ses chaussure, ses chaussettes, les bijoux, caressa ses cheveux bruns, il posa le portable de Sara sur sa table de nuit, un peignoirs sur la chaise, laissa un mot. Il la borda puis la regardant il sortit, posant le symbole demandant de ne pas déranger. Sa jumelle avait besoin de repos, de clame et d'affection, c'était prévus mais il se devait d'aller vérifier si un chaton blond ne c'était pas briser un étage plus haut. Il ferma la porte puis remonta dans l'ascenseur pour arriver un étage plus haut, la ou la fédération russe, japonaise et chinoise résidait.
Il se dirigea vers la 46, celle du blond. Il toqua mais aucun bruit ne lui arriva. Il fronça les sourcils et toqua plus fort. Un bruit lui arriva soudain, le fessant brusquement reculer. Un crie de douleur. Il regarda avec effrois la porte en bois. Il frappa encore et encore, plus fort, allant même a penser a défoncer la porte. Il inquiétais, le blond n'était pas douillait alors pour hurler...effrayer a l'idée qu'il ne comète l'irréparable il arrêta tout mouvement puis alors qu'il allait frapper encore une fois une frêle silhouette arriva par les escalier essouffler, rouge et en sueur. Guang-Hong Ji venait de monter cinq étages en content celui des salons en courant, il arriva les yeux larmoyant prés de lui et le regarda avant de lui tendre les mains tremblante une carte électrique qui servait de clé. Il venait de la piquée en douce a l'accueil se doutant que son ami ne laisserait surement pas la porte ouverte bien sagement. Il le remercia mentalement alors qu'un hurlement plus fort se fis entendre, Guang-Hong regarda horrifier la porte reconnaissant a son tour la voix chevrotante de Yuri. Michele n'attendit pas et ouvrit la porte tremblant. La pièce plonger dans le noir lui fis peur puis il vie de la lumière dans la salle d'eau. Il alla tout de même dans la chambre, le lit était défait et des taches rouges parsemait les draps blanc comme la neige, les rideaux ouvert s'envolaient par la fenêtre ouverte. Il reviens vers la salle d'eau et sentit ses pieds être mouillées. De l'eau s'échappait de la pièce; il donna un coup d'épaule pour l'ouvrir et hurla en découvrant le jeune homme. Il hurla si fors que au loin, près de la patinoire, Victor sentit un frisson prémonitoire le pétrifier sur place.
- Guang-Hong appel une ambulance!!! Vite!!! La voix tremblante du châtain créa comme un électrochoc au chinois qui tremblant toujours appela les secours.
Cette journée était horrible; juste horrible pensa le patineur en se précipitant sur le russe, patins a la mains, la scène était macabre. Le blond, en leggings noir était assis, dos contre la baignoire qui débordait, l'eau était glacée. Tors nue, ses cheveux blond détacher lui arrivaient au épaules, mouillées, les pointes collant a sa peau blanche comme la neige, comme un mort. Un patin près de lui, la lame ensanglantée, sa mains reposant près de lui, les veines entailler profondément. L'autre main tenait la lame du patin encore enfoncer dans la chaire sur blond qui pleurait; des traînées de perles nacrées qui tombait sur son sourire douloureux, crispée et pourtant une expression satisfaite qui arracha un couinement au jeune homme. Yurio savait encore se qu'il fessait, il voulait mourir, il avait mal, une sorte d' étouffement intérieur, sa ne servait a rien, rien. Il arracha le patin des mains du blond qui comme revenu a lui le regarda, Michele Crispino viens de m'empêcher de mourir? Se demanda le blond. Un rire amer lui aurait bien échapper si sa bouche n'était pas aussi comateux, ses sensations était HS; il ne ressentait plus que la peine, le dégoût envers lui même.
Yuri Plisetsky connaissait les danger de se poison appeler amour, cela n'était qu'un mythe pour enfant que l'on racontait au autres. L'amour? Un poison, quelque chose de dangereux et mortel, cela rendait les hommes fous, capable du meilleur comme du pire. Il c'était dis qu'il ni goutterait jamais et que jamais personne ne l'aimerait; il avait lamentablement échouer. Mais il se pensait plus fort que ça, il pensait pouvoir tenir face a une blessures du cœur. Qu'elle bêtise! Il y a des mystère que personne ne peux braver, la flèche du cupidon l'avait toucher en plein cœur, transpercent ses barrières. Et tel un idiot il c'était laisser séduire car il avait une confiance infini envers le jeune héro, car tout lui plaisait, ses défauts, ses qualités, car on lui fessait toucher du bout des doigts un rêve, un espoir qui l'avait un cours moment consumer. Car ses gestes que le brun arrivait a lui faire faire, consoler, s'inquiéter, aimer, car il avait penser que peut-être Otabek l'avait belle et bien réparer. Qu'il serait heureux. Car le brun lui avait fais croire qu'il y avait le droit, de penser ça, d'aimer, d'être faible, d'être aimer par des gens. Au final ce n'était qu'un tissu de mensonges, personne n'aimerait jamais un faible comme lui mais au fond peu importe car il le sais, Otabek lui à briser le cœur avec Mila. Ça aussi que ça fessait mal; la russe était presque comme sa sœur pour lui, il tenait a elle, tellement fort, il tenait a le jeune fille au point de ne même pas arriver a lui en vouloirs après tout si lui avait vue se qu'il y avait de fabuleux chez Beka pourquoi pas elle? Une larme coula, rouge comme son sang puis il ne vis plus rien, il regretta un instant d'avoir autant bue et sombra doucement. Avec comme dernier bruit un crie fort qu'il reconnue comme étant la voix de Victor.
"YURIO!!!"
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