Il était debout dans le hall de l'hôtel, sa casquette noir enfoncé sur la tête, ses lunettes de soleil cachant ses cernes fatigué, son blouson, ses leggings noires qui moulaient ses jambes musclée, ses deux énormes valises effet marbre a coté de lui. Il attendait leur entraîneur qui prenait leurs chambres, sa sœur assise dans un des luxueux canapés en cuire de l'hôtel envoyant messages sur messages a une «connaissance », ses trois valise grises a cotée d'elle, ses cheveux remonter et ses lunettes de soleil sur le nez. Comme l'année dernière ils étaient les seuls qualifiés pour représenter son pays. Il soupira, la foule de journalistes ne lâchait pas l'entrée du palace ou montait les champions durant la compétition. De nouveaux cries de la foule, les flaches plus fortes et les porte qui s'ouvrent sur deux personnes qui soupirent lourdement soulagée d'être enfin à l'intérieur. Il relava la tête et rougissant tomba sur le visage parfait d'Emil qui posa les yeux sur eux. Il sourit heureux, dis quelque chose a son coach et se dirigea vers eux. Sara lui fis une œillade on ne peut plus claire, expriment clairement malgré ses lunettes « grouille toi d'aller lui parler ou j'y vais ». Décider à être sincère face au blond il se leva, s'approcha et saisit le poignet de...de son quoi ? Peu importe. Il le traînât sous l'incompréhension du jeune homme dans un couloir reculer de l'hôtel ou il retira ses lunettes de soleil pour que son cher et tendre puisse lire sa sincérité dans ses yeux violet.

Il souffla puis prenant le col d'Emil entre ses bras il l'attira vers lui et coupa sa plainte par un baisser presser. Cela fessait des mois qu'il rêvait de l'embrasser, de goûter a ses lèvres sucrées et froides qui le rendait dépendant. Enfin...Souffla le châtain posant ses mains dans le dos de son ami, rendant le baisser plus sensuel, plus tendre, prenant enfin le temps de sentir son ami répondre avec joie, tirer sur les cheveux qui dépassait de sa casquette, placée son autre mains sur son épaule se rapprochant encore plus de lui. Finalement après de longues minutes ils se sont décollés à bout de souffle. Emil ouvrit les yeux et colla son front a celui de Michele, ils se sont regarder reprenant leurs souffle. Emil était étonner, se comportement ne ressemblait pas a son amant, lui qui d'habitude ignorait magnifiquement le blond en dehors de leurs chambres, lui qui n'était tendre que la nuit alors que pouvait-il bien se passer pour qu'il vienne de lui-même l'embrasser comme désespérer. Le jeune homme embrassa délicatement les lèvres du jeune aux yeux bleus avant de se détacher entièrement de lui et de reprendre son sérieux.

-Je...salut. Commença l'italien d'une voix claire avant de souffler, s'étendre et regarda son ami. Il...il faux que je te parle Emil.

- Pas de problème mais...Wow ; c'était extrême pour des retrouvailles dans un hôtel. Une léger sourire pris place sur son visage mais il ne bougea pas d'un pouce constatant que son compagnon ne disait plus rien, restait presque trop calme pour son comportement habituel. Ça va ? Ne pus s'empêcher de demander un peu inquiet Emil.

- Non ; enfin oui mais...Il secoua la tête. Après demain se sera le programme cours et je...Il le fixa intensément et parla enfin d'une voix assurée créant une bulle dans la poitrine du blond. Regarde moi. Ne regarde que moi ; regarde comment je patine car cette fois...cette fois je ne patinerais pas pour gagner. Son regard se durcit légèrement alors que le jeune homme fronça les sourcils. Mais qu'est-ce qu'il avait ? Pourquoi ? Il s'approcha mais l'italien recula vivement créant comme une brèche dans le cœur du patineur.

- Explique moi...je ne comprends pas ; nous deux on...Michey parle moi. Il l'implora presque de lui parler tellement il avait mal dans la poitrine. Il souffrait, il sentait son cœur se décrocher et ses émotions compresser son cerveau dans sa boite crânienne. C'est comme ci Michele venait de le mètre dans une bulle sans oxygène se contentant d'un paille qui planter dans son cœur semblait crée un espoir.

- Après ma prestation...après je t'expliquerais tout ou plutôt je...une larme coula sur sa joue. Après ça j'espère que tu comprendras et que tu voudras encore me parler je...tu comprendras tout, absolument tout. Il s'approcha et étreignit le blond qui sourcil froncée cherchait une explication logique, non, juste une explication a cette réponse qui ne voulait presque rien dire. Il n'eu même pas le temps de répondre a se câlin qu'une paire de lèvre se posa sur les siennes. Il l'embrassait de manière tendre, presque...amoureuse ? Désespérer, il pleurait ne rajoutant rien d'autre que de l'affection a cette étreinte. Il se décolla avec douceur et caressa la joue de son concourant, embrassa son front puis le regarda comme ci c'était la dernière fois qu'ils se voyaient.

Puis un sanglot, l'italien recula remis ses lunettes lentement, réajusta sa casquette, sa veste et avec un sentiment non dissimuler fis une caresse du haut des pommettes jusqu'au bout des doigts du blond puis ne pouvant se retenir murmura faiblement, doucement presque avec peur quelques mots avant de disparaître dans le couloir. Emil ne bougeait plus, choquée, ne pouvant même cligner des yeux tant la stupeur était forte. Il ferma la bouche, souffla puis regarda fixement le couloir au ton rouge et doré puis comme une électrocution il connecta. Les mots bien que tel des murmures avaient trouvé le chemin vers son cerveau. Il arrêta tout mouvement puis remis de l'ordre dans son esprit. Il se mit à courir vers le hall, a toute jambe il arriva et regarda partout, paniqué un peu, stressé sans doute, touchée surement. Mais rien, son ami n'était plus la, surement partit dans sa chambre, il passa une main sur son visage, demain il ne pourra pas voir le châtain ; ils s'entraînent tout deux dans deux patinoires différentes, de plus aucune personnes ne lui donnera le numéro de chambre. Putain....putain de merde !!! Jura le blond, il allait devoirs attendre, attendre de manière douloureuse le passage de son ami pour pouvoirs savoir si il a bien compris, si ces mots était bien ceux qu'il a entendus. S'il a bien compris « ti amo; cuore mio ».