Chapitre 10 : « avion, depars, journalistes et fans ne font pas bon menage »
Et merde. Voilà. Cette pensée bête et simple résumait assez bien et globalement la situation. C'était effectivement la merde, une merde noir même en tout cas c'était se que pensait Guang-Hong. Il le jurait même dans toutes les langues possible, en chinois principalement mais il n'y avait pas assez de therme pour exprimer entièrement le cataclysme qui s'abattait sur lui depuis trois jours alors il c'était rabattu sur le Russe, ou il ne parlait qu'un langage vulgaire et avec un vocabulaire réduit vus que son modèle était une prima russe particulièrement grossière, il avait donc fini par l'anglais. Il le parlait couramment et cette langues comme le français offrait un choix d'insultes. L'innocent jeune homme venait de partir en fumer aux yeux de tous lorsqu'il avait lâcher la première insulte bien sentit qui annonçait une longue série. Mais il fallait le comprendre, ses trois derniers jours avait été pour lui une suite d'enchaînement horrible. Ça avait commencer avec Yurio, puis Léo et trois jours de larmes, de douleur plus tard Léo partait? Une catastrophe totale.
Voilà comment il c'était retrouver deux heures plus tard dans un aéroport a l'ouest de Paris avec neuf autres patineurs pour essayer d'empêcher l'américain de faire une connerie monstre. Il tourna à droite voyant enfin le panneau d'affichage des vole. Il souffla. Ils y en avaient dix seulement pour la cote Est dans les six prochaines heures comment savoir dans lequel était Léo? Il souffla et respirant réfléchit, Léo allait certainement atterrir à NewYork et prendre un second avions pour rentrer chez lui par la suite, l'américain vivant dans le nord du pays mais voilà, il y en avait deux qui décollait à cinq minutes d'intervalle et étaient chacun a un bout de l'aérogare. Il jura. La sécurité passer il avait crue que se serait facile mais en fait pas du tout, le monde des aéroports s'avérait être une surprise de taille bien qu'habituer dans son pays aux foules. Il regarda sa montre. Léo avait trente minutes d'avance sur eux sur le dépars sauf qu'il avait dus enregistrer ses valises et donc avait perdu du temps mais il conservait une avance problématique, de plus, Léo était habiller pour aller dans un lieu publique, sois lunette de soleil, vêtements sombre et casquette. Pas eux...ils devaient donc en plus courir pour éviter les fans qui les reconnaissaient à des kilomètres. Avait-ils des radars? S'étonnant de sa propre bêtise il se tourna vers Yurio qui vêtu d'un sweat rouge semblait regretter son choix vestimentaire.
- Okay! Clama JJ. On se clame! Le premier vole pour NewYork décolle dans quarante et le suivant dans quarante-cinq on va donc faire deux groupes!. Moi, Yurio, Guang-Hong et Otabek on va a celui de quarante-cinq! Sara, Emil, Michele et Victor vous aller a celui de quarante! Yuri et Minami vous aller à celui pour Boston! N'oublier pas, le but et que Guang-Hong et Léo parlent! JJ semblait ferme et sa décision définitive, en bon pro des aéroports il avait décider du plans à suivre et organisait avec génie les troupes. Tous on hocher la tête et former les équipes donner.
Yurio rabattu sa capuche sur sa tête et pris là main de Beka, il le cachait avec brio mais avait peur que leurs plans échoue et également de se retrouver dans la foule, avec des fans qui s'imaginait des choses folle sur son passage à l'hôpital. Beka avait tout fais pour lui éviter ça et le collait chassant les journalistes ou fanatiques sans aucune gêne. Le Brun sentant l'inquiétude de la fée passa un bras protecteur autour de ses épaules en mettant ses lunettes de soleils, son foulard cachant le bas de son visage et sa veste en cuire. JJ réajusta ses lunettes de soleil et sa veste sombre. Avec leurs habitudes aucun d'eux n'avait de vêtements trop voyant où enfin pas de choses qui les ferais sortir du lot, même Yurio avec son sweat rouge passait suffisamment inaperçu. Mais les fans allait quand même les reconnaître soupirait intérieurement l'ensemble des patineurs en sentant des regards sur eux. Victor embrassa chastement Yuri en lui glissant des paroles d'amour niaise à l'oreille qui firent rire amoureusement Le Brun. Une fois repartit le jeune patineur aux cheveux châtain commença à courir tel un fou dans l'allée, regardant les passant, dans les boutiques, assis, se fichant éperdument que les passant le reconnaissaient sans peine avec son sweat vers.
Mais il s'en fichait, il était trop inquiet, trop inquiet pour son avenir, pour son avenir avec Léo, pour eux deux pour se préoccuper des gens qui les pointaient du doigt, des flashes et des cries de surprise alors que d'un coup il s'enfonçait dans une partit libraire espérant que connaissant l'américain il sois aller de chercher une revue pour s'occuper avant le décollage. Il pria et serrant les poings regardait autour de lui. Il n'était pas là. Il n'était pas là. Il ressortit courant à toutes jambes vers le lieu où il était censée trouver le plus vieux. Il ferma les yeux.
Il ne pouvait pas le perdre. Pas comme ça. Pas maintenant. C'était impossible. Il repensa à la première fois qu'ils c'étaient vus comment son cœur c'était gorgée à la vue du sourire de l'autre, leurs discutions jusqu'à pas d'heure, leurs appels vidéos avant leurs compétitions pour s'encourager, leurs rires, leurs sourires, leurs joies, leurs sorties ensembles. Toutes des fois où ils c'étaient amuser. Il sanglota. Il ne pouvait pas le perdre alors que tout venait de commencer!! Il repensa à leurs nuit à deux, à la douceur de ses caresse, à chacun de ses mouvements qui était en fonction de lui et de ses désires. Ses lèvres. Son souffle. Il pensa à ses sentiments fort et vibrant qui emballait son cœur à chaque seconde. Il pensa à combien Léo contait pour lui et combien il pouvait l'aimer.
Il sentit ses larmes couler, ses sanglots qui secouait son être et le fessait sursauter. Il ralentit la cadence effrénée pour essuyer ses larmes et fus dévaster d'arriver devant les portes d'embarquement sans l'avoir trouver. Encore plus de ne pas le voir assis. Il serait ailleurs? Mais où? Un autre vole? Où il l'avait simplement rater? C'était impossible il avait regarder partout. Il se sentait faible. Il avait encore plus peur maintenant qu'avant de perdre Léo.
Il tourna autour de lui pour espérer trouver son américain. Mais non...Léo n'était pas là. Il sentit son souffle se couper brutalement alors qu'il réalisait avec horreur qu'ils ne le trouveraient peut-être pas. Il vit Yurio qui cherchait du regard leur ami, le blond s'engouffra dans une boutique de vêtement assez grandes, JJ lui téléphonait en même temps à Yuri qui semblait lui donner une information importante alors qu'Otabek lui cherchait du regard tout comme lui. Le jeune homme recommença à courir laissant son instinct prendre le dessus. Il devait le trouver, il le devait sinon...si il partait alors...il serait seul!
-Et...Laura, ce serait pas le patineur américain que t'aime bien? La voix d'un parisien le tira de ses pensées.
Il arrêta tout mouvement et vus effectivement une famille assis à la terrasse d'un Mc.Do entrain de déjeuner. Malgré son français approximatif il arrive à comprendre la phrase et vis une jeune femme brune aux regard claire tourner la tête pour regarder dans la direction indique par celui qui devait être son frère. En tournant également la tête il ne vis qu'une foule opaque. Il regarda la famille et vis la soeur s'éclairer un instant et pointer du doigts une boutique qui vendait des écouteurs et des casque et se rappela subitement que Léo avait casser les siens il y a une semaines et avait dis faire le trajet d'aller avec une paire d'emprunts. La jeune brune nome aprioris Laura s'excite sur sa chaise en sortant son portable à toute vitesse.
- C'est lui Jule!!! C'est Léo De La Iglesia!! Sa voix de jeune fille tesson a comme un écho dans la tête de Ji. Léo était la. Léo était la! Il eu alors un reflex purement et simplement débile. Il se précipita vers la boutique à toute jambes.
Effectivement, c'était une réactions dus à ses réflexes qui lui hurlaient de rejoindre l'américain au plus vite pour réparer leurs gourdes a tout les deux. En parallèle il faillit renverser deux personne, un chien et sauta par dessus trois valise qui traînaient la. Étrange d'ailleurs. Mais il s'en fichait. Léo était la et a se moment on pouvait bien lui mètre un vampire en face de lui il s'en fichait éperdument. Il voulait Léo. Il tourna la tête à droite regardant la boutique et...il le vit. Son coeur s'arrêta avant de faire un looping, croiser son estomac et revenir dans des battements effrénés à sa place. Ses yeux se remplirent de larmes. L'américain ne l'avait pas vus, sortant de la boutique, rangeant son casque audio dans son sac à dos, il semblait aussi abattue que le chinois et pour la première fois Guang-Hong remarqua combien il souffrait aussi, comment ses épaules avant droite étaient tomber, son sourire fané et mal grès ses lunettes ses yeux étaient rouges et vitreux. Léo souffrait, avait mal, au moins autant que lui et jamais Guang-Hong n'avait eu autant envie de le serrer contre lui et de le rassurer. Tout va bien...tout ira bien...Il serra les poings et alors qu'il allait le rattraper réfléchit, s'afficher en publique n'était pas une bonne idée, il regarda à droite et à gauche, il y avait une boutique de parfums remplis et le Mc.Do remplis également de monde bruyant. Son choix fus vite fait et brutalement il attrapa le plus vieux pas les épaules pour l'entraîner vers le fast-food. Léo tenta bien un « Eh!!! » assez paniquer mais ne se débâtit pas plus que ça en sentant la poigne décider de son agresseur. Ce dernier attrapa sa mains en voyant que des gens les regardaient étrangement comme près à prendre photos ou preuve en fonction des personnes. Lui prendre la main sembla être un geste plus naturel et même se simple contact l'apaisa un peu, le doux frisson qu'il ressentit en contacte avec la peau chaude et douce de l'américain qui sembla fixer son dos avec étonnement ressentant également le frisson commun. Le plus jeune choisit une table éloigner et laissa la plus vieux s'assoir avant d'aller automatiquement commander à manger, il attendit derrière une personne en se maudissant d'avoir fais ça, pourquoi était il partit, ils devaient parler pas manger ensemble, pourtant ses jambes avait réagit seule et comme un idiot il avait pensé que c'était sans doute mieux si ils mangeaient sa attireraient moins les regards. Il envoya un rapide message aux autres mais ne pris pas le temps de lire leurs réponses c'était son tours.Alors il commanda leurs menus et jeta un coup d'œil inquiet au plus vieux qui toujours assis le regardait également semblant croire à une hallucination.
Il avait...peur. Il avait peur de Guang-Hong; de se que pourrait lui dire le plus jeune une fois face à lui. Se dernier reviens un plateau dans les bras charger de nourriture et le posa entre eux avant de s'assoir face à lui. Son souffle se coupa alors que l'américain retirait ses lunettes. Ses yeux était bien rouge, vitreux et remplis de peine, ils avaient perdu de leurs attirante profondeur et leurs flamme douce et brillante ne dansait plus. L'américain le regarda, détaillant également se visage pâle et ses yeux remplis de larmes face à lui. Puis il se lança, hésitant, inquiet et s'attendant à tout il se lança, ne supportant plus se silence.
- Je...il hésita un instant. Salut? Demanda Léo, il ne savait franchement pas comment faire et encore moins si il devait parler, si il devait commencer cette conversation.
- Salut...répondit doucement Guang-Hong étonnant Léo qui le regarda étonner. Il lui avait réellement parler? Il lui avait enfin parler. Un micro sourire naissait sur ses lèvres mais il l'effaça, se n'était peut être pas une bonne chose.
- Ji écoute...une larme coula sur la joue de Guang-Hong le coupant dans sa phrase, le plus petit pleurait silencieusement et tentait d'essuyer ses larmes sans y parvenir. Il se concentra.
- Tu contais partir Léo...se n'était pas un reproche, c'était le début d'une explication. Tu contais partir et...et je voulais pas que tu parte Léo, vraiment pas! Sa voix se cassa douloureusement. Je sais pas se que tu ressens, je sais que c'est ma faute vus que je t'ai pas laisser parler une seule fois mais...il renifla et lâcha....je pensais que j'étais juste un mec que tu baisait! Léo fus tellement surpris que sa réponse sortit toute seule de ses lèvres.
- Mais je t'aime moi!!! La phrase fus tellement spontanée que personne n'aurait pus douter de sa sincérité. Le plus jeune le regarda avec de grand yeux alors que l'américain réalisait se qu'il venait de dire et baissa misérablement la tête cachant son visage triste, il allait se prendre le plus grand vent de sa vie.
Mais rien ne se passa durant plusieurs minutes, Ji ne bougeait pas semblant se remettre de sa surprise et sentit doucement son coeur se gonfler d'amour pour Léo, tout son être semblait ne respirer que pour lui, il sentait un poids lourd et encombrant se retirer de ses épaules. Il réalisa. Léo l'aimait. Léo était amoureux de lui et un doux sourire s'afficha sur ses lèvres rose alors que son visage prenait de légères couleurs, de sentiments d'être entier était enfin revenu, c'était le même que lorsqu'il l'avait embrasser, toucher. Un sentiment de bien être total qui rassurait. Il remarqua l'air triste de Léo, il avait la tête baisser, les yeux triste, la lèvre mordue. Ji leva sa mains et la posa doucement sur sa joue, un courant électrique dans le corps. Léo releva la tête surpris, presque plus que quand il croisa se regard tendre de Ji qui pris ses mains, caressant du pouce ses paumes.
- Léo...il le regarda et tenta de lui faire passer un maximum d'émotions. Je ne veux pas te perdre, je ne veux pas que tu sois loin de moi. Sa voix douce apaisa le cœur de Léo qui menaçait de briser sa cage thoracique. Il serra à son tours ses mains blanche se rapprochant sans le vouloirs vraiment du jeune homme en face de lui. Ji continua avec tendresse. Je...le fait que l'on est coucher ensemble c'est..Léo le coupa les sourcils froncer n'aimant pas comment Ji le présentait, ils n'avaient pas juste coucher comme deux inconnus.
- On n'a pas juste coucher ensemble Ji. Son regard s'adoucit à la mine inquiète du plus petit. Je t'ai fais l'amour car je t'aime, je t'aime de tout mon coeur et....il se mordit la lèvre. Écoute...le faire dans ses conditions n'était sans doute pas une bonne idée vus où on a fini...un rire leurs échappa en repensant sûrement à ses trois dernière jours...mais tu vois, te montrer que je t'aime je ne le regretterais jamais, la réalité c'est que je te désirais Ji, je mourrais d'envie de t'embrasser! Ji sourit tendrement. Je ne veux pas te perdre non plus alors...on fait comme tu veux. Sa voix bien que sincère montrait son appréhension, il avait aimer embrasser Ji et se voyait mal reprendre une amitié avec lui surtout qu'elle était déjà ambigüe avant.
De son côté Guang-Hong était toucher, vraiment beaucoup, il aimait comme Léo en parlait, comment il lui disait qu'il l'aimait toujours plus, comment il lui disait qu'il lui avait fait l'amour. Voilà. C'était se qu'il voulait entendre, il voulait l'entendre lui dire que tout les deux se n'était pas un coup d'un soir, que se n'était pas juste une nuit, qu'il n'était pas juste présent au bon moment. Quand Léo lui disait le désirer il tremblait tant sa voix se fessait pressente, il se souvenait de sa peau, chaude, de ses muscles qui roulait sous ses doigts, de ses lèvres sur sa peau, de ses marques charnelles qui prouvait qu'ils étaient épris. Oui, il aimait comment Léo était avec lui, tendre et...désirable. Il ne se rendait pas conte combien il attirait présentement et qu'il aurait pus se jeter sur lui. Il pensa à sa proposition...redevenir amis? Comme avant? Frustrer? Ça ne lui était pas passer par l'esprit une seule seconde. Il voulait être avec Léo, tou le temps, il voulait l'embrasser, se faire embrasser, le serrer contre lui. Il voulait Léo, en entier et pour lui tout seul, pas juste en ami, il voulait plus, beaucoup plus. Alors il caressa les bras de Léo, le fessant frémir, rassurant.
- Je ne veux pas que l'on sois amis, je veux que tu m'embrasse Léo, je veux que l'on sois ensemble, je veux plein de chose et surtout...sa voix se fis plus lente, plus sensuel. Je veux que l'on ait d'autres nuits. Léo rougit un peu. Je veux pouvoir te toucher et t'embrasser Léo. Je veux...embrasse moi. C'était une demande surprenant mais il en avait envie, il voulait retrouver la rassurante sensation de ses lèvre sur les siennes.
Et Léo hésita un instant, il n'était pas loin de lui, il lui suffisait de se pencher en avant pour coller leurs bouches mais il y avait comme une peur sourde de se qui arriverais si il le fessait. Ji dus capter cela car il se rapprocha doucement et comme il y a trois jours caressa sa joue, plaçant sa mains froide dans les mèches folles du plus grand, il fis des cercles avec ses doigts sur sa peau, se rapprocha et lentement embrassa sa tempe, se décolla, recula un peu, souffla encore, leurs souffles cours se mélangeant, il sentit une des mains bronzer de son amant saisir sa nuque et coller leurs front, il ferma les yeux. Et Léo l'embrassa. Il avait peur au début, il n'osait même plus bouger savourant simplement la sensation de ses lèvres sur les siennes. Puis hésitant, il mordilla là lèvres inférieur voulant savoir jusqu'où il pouvait aller. Ji lui répondit en passant son autre main sur sa nuque puis sur son tors. Il eu sa réponse.
Je suis à toi Léo....
Et se fus parfaitement claire pour lui. Sa place, là où il était le mieux c'était avec lui, quand ils parlaient, quand ils jouaient, quand ils riaient, quand ils étaient simplement ensemble, il aimait le voir, l'entendre, le sentir ,il aimait l'embrasser, le sentir à lui, voilà, il aimait avoir Ji avec lui. Ça avait toujours été le cas même avant, il avait toujours adorer être avec Ji, le voir patiner.
La première fois qu'il l'avait vus c'était à la coupe de Chine, il ne participait pas cette année la, il était aller la bas en touriste, à cette époque il commençait les compétition en-dehors de l'Amérique du nord, il voulait savoir à quoi ressemblait le coupe de Chine et y était aller avec sa sœur aînée. Il se rappel encore de la joie qui le prenait quand il était arriver, c'était différent de tout se qu'il avait vus, c'était électrisant. Alors il était aller s'assoir dans les gradins et avait vus les juniors arriver. Ils étaient tous dans des costumes habiller, souvent de couleur sombre et il y avait lui, il devait avoir dix ans tant il était maigres et petit, ses cheveux boucler encadrait un immense sourire et il portait...un costume rose? C'était étonnant, son costume était aussi fou que son programme, il portait un pantalon moulant rose pâle, des patins blanc avec des motifs rose en dégrader, une chasuble au manches bouffantes blanche et par dessus un veston doré. Des gants doré. Il était le premier, c'est aussi pour ça qu'il l'avait marquer. Guang-Hong avait enchaîner les pas rapides, les figures dangereuse et les sauts durant toute la durée de son programme long, racontant son histoire, celui d'un artiste de cirque. Son thème était « Utopia » et il le montrait, il était joyeux, il bougeait avec énergie dans une chorégraphie rythmée et amusante. Il s'amusait, sa se voyait à son immense sourire. Il se souviens que le publique c'était lever tout de suite et avait encourager le jeune patineur en tapant dans leurs mains. Léo était impressionner, il les avait mis dans sa poche d'ailleurs, Ji avait survoler se tournoi. Il avait appris à la fin que le patineur avait déjà treize ans et que se n'était pas son premier championnat mondial. C'était la première fois...que son coeur avait battu aussi vite, avait suivit avec tant d'entraîne un patineur et son nom c'était graver.
Guang-Hong Ji. Ils c'étaient rencontrer deux ans plus tard à leur arriver en seniors, il avait seize ans, Ji en avait quinze et depuis, il ressentait toujours la même chose à chaque fois que Ji patinait devant lui, l'inquiétude, les mains moites de le voir tomber, l'exaltation de voir sa chorégraphie évoluer avec grâce, la passion car chacune racontait une histoire. Et son coeur qui se gonfle.
Et je suis à toi...
Il se décolla lentement, relâchant la bouche rose du châtain qui faillit gémir en le sentant déjà loin de lui. Il rougit et regarda les yeux remplis d'affection et de joie, le doux sourire aux lèvres alors qu'il souffla.
- Je t'aime tellement....Léo sourit et re-embrassa chastement son amant. Il s'éloigne et regarda le châtain.
- I love you Ji...l'accent américain-mexicain rajouter le chinois fondit littéralement face à lui et commença à rire niaisement. Il caressa en murmura un « moi aussi » que Léo prit en souriant. Il rajouta. Ji...on est quoi exactement?
- Tu veux être mon petit ami? Ça lui semblait évident, comment être loin de lui sans ressentir une douleur atroce, il voulait être avec lui, tout le temps et il contait bien le lui dire, le lui montrer. A moins que tu ne veuille pas, je pense être assez soûlant avec mes « Je t'aime » à répétions...un sourire et un rire frais et franc qui caressa ses oreille comme al plus douce des mélodies.
- Je pense avoir une tolérance infinie pour ça. Il rie et Ji le suivit en souriant avant de regarder sa main et d'entremêler leurs doigts naturellement.
- Tant mieux je conte bien te le dire tout les jours. Un sourire encore plus grand arriva alors que Léo serrait sa main.
- Commençons maintenant...je t'aime Ji.
- Et je t'aime Léo. A la folie. Toujours. Et il lui répéterait encore et encore, demain, après demain, dans une semaines, dans un mois, dans un an, dans dis ans, toujours, il l'aimait et il le lui dirait, il le hurlerait sur tou les toit, il le hurlerait sur la muraille de Chine, partout, il lui dirait mille et une fois.
Car voilà, maintenant et pour toujours Léo était à lui, pour lui, l'avait choisit lui et pas un autre, l'aimait lui et pas un autre. Et c'était parfait comme ça alors en oubliant tout, l'aéroport, le vole, leurs amis, les fans, les journalistes, leurs plats déjà froid, en oubliant ses trois dernier jours il saisit son visage et posa un baiser passionner et enflammer sur ses lèvres.
Oui...sa place était là.
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