Dès qu'on entra dans une cabine je l'embrassais fougueusement, ce que ses lèvres m'avaient manquées...
Je fermais le verrou d'une main, l'autre passant dans son dos, sous son sweat. Je caressais avidement la peau bronzée, lui enlevais son haut gris habilement puis revint capturer ses lèvres. Il me retira mon t-shirt, dévoilant mon corps pâle et entretenu. Je passais une main dans ses cheveux soyeux, jouais avec les mèches sombre. Il me repoussa contre l'autre mur et je le laissais faire, devinant ce qu'il voulait. Et effectivement il commença à descendre mon torse en le léchant, passa sa langue dans mon nombril, me faisant gémir. En même temps il effleurait du bout des ongles mes abdos bien dessiné par la salle et les cours de boxe qu'on prenait tout les trois. Bien trop lentement à mon goût, il déboutonna et descendit mon jean et vint lécher mon sexe, me faisant gémir. Son regard sombre, brûlant de désir fixé dans le miens il lécha longuement mon érection, avant d'enfin la prendre en bouche, me faisant soupirer longuement de plaisir. Mes mains dans ses cheveux le guidait doucement, tandis qu'il me pipait aussi divinement qu'à son habitude.
Je ne retenais absolument pas mes gémissements et j'entendis un "peuvent pas attendre d'avoir un lit" qui me dit sourire.
Je lui intimais une cadence de plus en plus rapide qu'il tenait sans problème, puis au bout d'une dizaine de minutes je bloquais sa tête et vint au fond de sa gorge en criant faiblement de plaisir.
Il se redressa avec un petit sourire, et je l'embrassais fougueusement avant qu'il ai eu le temps d'avaler, lui volant une partie de mon sperme. Il se recula en avalant vivement avec une petite moue.
- Voleur...
Je lui souriais et le retournais, le plaquant contre le mur.
- T'inquiète pas, je vais t'en redonner...
Je baissais rapidement son jean noir passais une main sur son boxer. Caressais son cul, y mit une petite tape qui le fit gémir faiblement avant de venir caresser son érection qui devait être douloureuse. Rapidement je descendit son boxer, libérant sa queue qui remonta en tapant contre son ventre ce qui me fit rire doucement et j'entrais un doigt en lui, rapidement suivi de trois autres. J'avais quatre doigts en lui et tout ce qu'il trouvais à faire c'était gémir de plaisir comme une truie en manque. Je venais embrasser son coup, le mordiller doucement en enlevant mes doigts que je remplaçais d'un brusque coup de rein par ma queue. Et je le ramonais vivement, couinant d'un plaisir décuplé par le good dans mon cul qui bougeait à chaque aller retour. Complètement plaqué à la paroi, son cul cambré vers moi, ses muscles fins jouant sous sa peau doré recouvert d'une fine pellicule de sueur, les lèvres entrouvertes, gémissant de plaisir, les cheveux ébouriffés, il était l'incarnation même de la luxure.
Et il était à moi... pour un moment. Dès qu'on sortirait on repasserait du mode amant à celui de simples amis.

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Ouais encore un lemon, deux en même pas 4 chapitres, je sais.
Mais le sexe c'est la vie, c'est tout.

A+ en commes