Il n'en revenait pas, comment pouvait-elle vouloir retourné là bas et surtout pour y faire quoi. Il se mit à respirer fortement pour essayer de se calmer mais c'était peine perdu, alors il se rapprocha d'elle et lui saisit le menton pour qu'elle puisse le regarder dans les yeux.

-C'est hors de question que je te laisse retourner dans ce quartier malfamé. Leila se mit à frissonner à son contact et sa proximité lui amena une bouffé de chaleur.

Elle mit ses deux mains sur son torse pour essayer de le repoussé et l'éloigner d'elle. Mais ce fût une mauvaise idée parce que dès que ses mains touchèrent son torse dur comme de la pierre, elle les retira comme si le feu l'avait brûlé.

-Je... Ça ne te regarde pas bafouilla-t-elle en rougissant légèrement. Elle pria pour qu'il ne le remarque pas. Il le vit bien-sûr mais préféra ne rien dire.

-Évidemment que ça me regarde vu que c'est moi qui vais t'y déposer. Et j'exige de savoir tout de suite où tu vas y vivre.

Elle voyait bien à son regard qu'il n'abonnerait pas tant qu'il n'aurait pas une réponse. Et en plus elle ne supportait plus cette proximité entre eux.

-Puisque tu semble tant le vouloir, et bien sache que je vais chez Mr parks. À la tête qu'il fit, elle su qu'il ne souvenait pas d'eux.

-C'est lui et sa femme qui tenaient la petite boulangerie où je te disais que j'allais tout le temps pour aider. Tu te souviens? Il sembla réfléchir un instant puis acquisa.

-Ah oui je me souviens. Son visage se détendit un peu et il s'éloigna finalement d'elle à son plus grand bonheur. J'y étais aller aussi une fois, ce sont de bonnes personnes.

Elle hocha la tête et il poursuivit.

-Mais qui te dit qu'ils sont encore là bas, peut-être qu'ils ont déménagé. Et puis même s'ils sont là, accepteront-ils de t'accueillir ?

-C'est eux qui m'ont demandé de venir à ma sortie. Ils m'ont souvent appelé pendant mon incarcération et m'ont rendu visite quelques fois. Un sourire apparu sur son visage en parlant d'eux. Ils ont toujours été des parents pour moi, comparé aux vrais qui s'en foutait de moi.

-Ils m'ont beaucoup soutenu durant cette épreuve. Le cœur de Marcus se serra en l'entendant. Lui n'avait pas été là alors qu'elle y était aller par sa faute.

-Je comprend. Il dit la destination au chauffeur puis tout deux restèrent silencieux. Il était déterminer à se rattraper au près d'elle pour son attitude inqualifiable. Il voyait bien qu'elle était sur la défensive et ne lui en voulais pas. C'était parfaitement normal, il saura être patient peut importe le temps que ça prendra.

Mais pour cela il fallait qu'elle soit proche de lui. Si elle vivait chez Mr Parks et son épouse, alors se serait bien plus compliqué pour lui de l'atteindre.

Il se tourna vers elle et l'observa à la dérobé, elle était encore plus belle que dans ses souvenirs, sa peau blanche presque translucide, ses lèvres rosées, ses magnifiques yeux bleue. Il descendit son regard et observa ses courbes, ses seins ni trop gros ni trop petit juste parfait, sa taille fine, les hanches étroites, ses fesses rebondis, ferme et enfin ses longues jambes bien mit en valeur dans son pantalon.

Il les imaginait bien s'enrouler autour de sa taille pendant qu'elle s'abonnerait totalement à lui. Il se gifla intérieurement pour avoir ce genre de penser envers celle qu'il considérait comme sa meilleure amie, une sœur. Il détourna le regard vers la vitre et remarqua qu'ils étaient presque arrivés à destination.