16

                   À midi il était déjà devant la boulangerie des Parker, dès qu'il entra, une délicieuse odeur de pâtisserie emplie ses narines. Cela lui rappelait des souvenirs.

               Lorsqu'il amenait Leila ici pour qu'elle y reste la journée. Clémentine lui offrait un gâteau et Frédéric lui donnait une tape sur l'épaule en signe de salutation.

               En parlant de cela, il ressentit une main sur son épaule et se rendit compte que Mr Parker le regardait attendant visiblement qu'il redescende sur terre.

                   - Bonjour Frédéric.

                   - Bonjour Marcus répondit - il en lui offrant une poignet de main. Ma femme t'attend depuis un moment elle sera contente en te voyant.

                    - Je n'en doute pas un instant. Il sourit puis balaya la salle du regard. Et votre fille?

                    - Elle est en haut entrain de ranger. Ma femme ne devrait plus tarder à arriver, elle est juste aller déposer une boite à l'arrière.

                 Au moment où il termina sa phrase, elle entra et le vit. Un sourire lumineux fendit son visage, elle s'approcha rapidement.

                   - Oh Marcus tu es revenu s'exclama - t - elle en le prenant dans ses bras. Il n'était pas habitué à tant de démonstration affectif.

                   Mais il ne le montra pas et se contenta de refermer ses bras sur elle.

                    - Bien sûr je vous avait pourtant dit que je reviendrais. Il se régressa et mit une main dans la poche de son pantalon.

                   - Oui mais je pensais au lendemain moi. Elle fit une petite moue d'enfant trop adorable.

                   Cela attendrit énormément Marcus, lui que tout le monde voyait comme un homme sans cœur. Cette dame pas plus haute que trois pommes et son mari comptait beaucoup plus pour lui qu'il ne l'avait cru.

                    Il enviait énormément Leila d'avoir des parents comme eux. Avec les parents biologiques qu'ils avaient eu tout les deux, il était content qu'elle est pu les rencontré. Et en parlant de la louve justement la voilà.

                  - Cesse de faire l'enfant ma chérie, ça ne fait que deux jours. Frédéric la prit dans ses bras comme il aimait si bien le faire.

                  - Oui maman, papa a totalement raison. Il aurait pu rester où il était plus longtemps ou même pour toujours. Elle lui lança un regard qui en disait long sur son envie de la tuer, cependant il ne flancha pas.

                << les hostilités sont lancées >> pensa Marcus. Il avait extrêmement hâte de faire succomber sa belle.

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