CHAPITRE 50 D'INCROYABLES REVELATIONS
ET VOILÀ, DERNIER CHAPITRE DES, AVENTURES DE SIRIUS BLACK ET HERMIONE GRANGER. MERCI POUR VOS VOTES, VOS COMMENTAIRES, ET VOTRE SOUTIEN. MERCI D'ÊTRE FIDÈLE À MES FANFIC, JE VOUS AIME.
UN GRAND MERCI À MA PREMIÈRE LECTRICE LILYMOTEP13, POUR SES CONSEILS. JE T'AIME PETITE SŒUR.
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Sirius commence alors son récit. Depuis son arrivée en 1995, dans la salle du département des mystères, jusqu'à la mort de Voldemort. Il balaye les objections de James, ou de Remus, et leur demabde de ne pas, l'interrompre.
- Voilà, vous savez tout.
Un grand silence suit la fin de sa phrase. Puis James soupire et se lève.
- Bon sang, Sirius j'ignore ce qui t' es arrivé dans cette salle, mais tu as du prendre un sacré coup sur la tête. Toute cette histoire est... Comment dire, RIDICULE ? TOTALEMENT ABSURDE ?
- Je ne m'attendais, pas à ce que tu me crois sur parole. Alors j'ai apporté des preuves.
Il sort une petite bourse de sa poche, et en sort des articles de la gazette du sorcier.
- Regarde la date et les titres.
James les prends, d'un geste vif, agacé. Il regarde l' Article qui parle de la mort de Voldemort, et un sourire éclaire son visage.
- Ça y est dit il, j' ai compris. C'est une farce ! Tu as falsifié ces journaux.
Bien joué. C'est parce que je t'ai fais tombé dans le lac, avoue, c'est ta Vengeance.
Sirius soupire.
- Donc, tu ne me crois pas ?
- C'est bon, Sirius, ça a failli marcher, mais non, désolé, tu es démasqué.
- Et si je te montre l' entrée de la Chambre des Secrets, tu me croiras ?
- La chambre des secrets ? Rien que ça ? T'es sérieux là ? Ce n'est qu'une légende, Sirius, on a exploré tout le château pendant cinq ans, et on a rien trouvé.
- Mais ton fils l'a trouvé lui.
- Mon fils !
- Oui, ton fils, Harry. Ton portrait craché, sauf les yeux, qu'il tient de sa mère.
- Sa mère, Lily Evans. La fille qui me déteste le plus au monde.
- Ca va changer,
- J'ai une photo, dit alors Hermione. Elle sort de son sac une photo, prise au Terrier.
- Lui, c'est Harry, ton fils. Et à côté, c'est moi, et Ron, Weasley, et Sirius bien sûr.
James regarde la photo,observe avec attention le jeune homme brun, et c'est vrai qu'il lui ressemble. Mais..
- Non, non, c'est impossible. Je ne sais pas comment. Vous avez fait, mais bravo, c'est brillant.
- Bon, dans ce cas il ne reste plus que la Chambre des Secrets. Dit Sirius.
Et Hermione revêt une fois de plus la cape, et les suit jusqu'au deuxième étage.
- Ou est ce qu'on va ? Demande James.
- Dans les toilettes des filles. Répond Sirius.
- Quoi ? Non, c'est là que vit cette peste de Mimi Geignarde. S'exclame James.
- Oui, et il y a des chances qu'elle t'en veuille encore. Dit Remus en riant.
- Que veux tu c'est un fantôme très susceptible.
- Tu n'aurais pas, dû la faire disparaître dans les égouts. Dit Remus
- Àvoue que c'était drole.
-- Jusqu'à ce qu'elle sorte du lac, furieuse,, et qu'elle fasse sauter toutes les tuyauteries de la tour Gryffondor. Dit Remus.
- Oui, là, j'avoue, c'était moins drôle.
Ils entrent dans les toilettes et une image fugitive revient dans la mémoire d'Hermione. Ron, Harry et elle même, en deuxième année, préparant la Potion de Polynectar, pour pouvoir pénétrer dans la salle commune des Serpentard. Elle sourit, à cette évocation.
- Qu'est ce que vous faite là ? S'écrie soudain une voix perçante. Potter, tu viens encore essayer de me noyer ?
- On ne peut pas te noyer, Mimi, tu es déjà morte.
- Aie ! S'exclame Remus, mauvaise réponse.
- ET ALORS ? PARCE QUE JE SUIS DÉJÀ MORTE, ON PEUT ME JETER DANS LES ÉGOUTS ? ALLONS Y, NOYONS CETTE PAUVRE MIMI, QU'EST CE QUE ÇA PEUT FAIRE, PUISQU'ELLE EST DÉJÀ MORTE.
- Je m 'excuse Mimi, soupire James. Je n' avais pas l'intention de te blesser. C'était bête et méchant, je l'avoue.
- Hum, vous les garçons, vous êtes, tous bêtes, et méchants, de toute façon.
Et le fantôme se jette dans les toilettes, dans une grande gerbe d'eau, qui les aurait surement aspergé, si Hermione, habituée aux coup de colère intempestif de la jeune fille, ne les avait protégé en lançant un sortilège de bouclier.
- Bien, dit Sirius. Elle devrait nous ficher la paix, maintenant. Bon réflexe Hermi,,comme toujours.
Elle rougit sous le compliment.
- L'entrée de la chambre des secrets est là , dit Sirius. Regarde les serpents entrelacés, tu vois ? C'est là.
- D'accord, et comment tu fais, pour l'ouvrir ?
- Il faut parler Fourchelang.
- Bien sûr. Et naturellement l'un de vous le parle.
- Non.
- C'est bien ce que je pensais. C'est bon Sirius, avoue que tu as juste voulu nous faire une blague
- Mais, ton fils le parle, enfin le parlait, parce que je ne pense pas, qu'il puisse encore le faire.
- Sirius... Soupire James
Hermione tente de commander l'ouverture en imitant Ron.
- Allez, ça sert à rien, ça suffit. Tu vois bien que ça ne marche pas. Allons manger, on va rater le dîner.
Mais au même moment, la coupole, au dessus des lavabos s'élève, les lavabos, s'écarte,, et celui devant lequel ils se trouvent, s'abaisse, livrant un trou béant.
- Ça alors ! S'exclame James.
- Alors, lui dit Sirius, tu me crois maintenant ?
- C'est.. Incroyable, complètement dingue.
- Oui, mais vrai.
James enjambe le trou, prêt à se jeter dans le boyau.
- Attends, lui dit Sirius, c'est pas, prudent de sauter la dedans, il y a un serpent géant, un Basilic, il est excessivement dangereux.
- Je serais prudent.
- Tu ignores le sens de ce mot. Soupire Remus.
- Oh, allez les gars. C'est la Chambre des Secrets. Vous n'êtes pas un peu curieux ?
- Je connais déjà. Dit Sirius.
- On ne t'a jamais dit que la curiosité est un vilain défaut james ? Soupire Remus
- Comme vous vous voulez. Moi j'y vais.
- Non James attends ! S'écrie Sirius.
Mais le jeune sorcier s'est déjà jeté dans le tube.
- MERDE ! Pourquoi faut il qu'il ne m'écoute jamais.
- Parce qu'il est completement inconscient. Et un jour il nous fera tous tuer. Répond Remus
- On ferait mieux de le suivre. Dit alors Sirius.
- Hermione, honneur aux dames.
Hermione soupire, et se laisse glisser à son tour dans je boyau.
- Après toi, Rem.
- Mais je t'en prie, l 'âge avant la beauté.
_ Je suis plus jeune que toi.
- Justement. Les sales gosses d'abord, allez dépêche toi avant que James ne provoque une catastrophe.
Sirius suit Hermione.
James, se tient devant les grandes portes de la Chambre.
- Comment on ouvre ce truc ? Demande t'il.
- Il faut parler Fourchelang. Répond Hermione.
Elle siffle alors, dans cet étrange langage et le mécanisme d'ouverture s'enclanche.
Ils entrent alors dans cette salle immense.
- Wouah ! C'est Dingue. S'écrie James.
- Alors, tu me crois maintenant ? Demande, Sirius.
James hoche la tête.
- Oui, je te crois.
- Bien, alors quittons cet endroit avant de réveiller le serpent. Dit Remus.
Pour une fois, James ne discute pas.
Une fois de retour dans la salle sur demande, il se tourne vers, Sirius, le regard brillant
- Alors, j'ai un fils dit il.
- Oui, enfin tu en auras un.
- Avec Evans ! C'est trop genial. Je crois que je vais aimer ce futur.
- Alors. c 'est tout ce que tu as retenu de ce que je t' ai dis ? Gronde Sirius, mi amusé, mi agacé.
- Non, Sirius. J'ai bien compris, l'ordre du Phoenix, la prophetie, la Trahison de Peter.. Et..
- Oui. Evans et toi allez mourir un an après la naissance de ton fils.
- Oui, ça c'est pas génial, reconnait James. Mais maintenant qu'on le sait, on peut éviter ça.
- Oui, on le peut, et on va le faire. Mais, on ne peut pas le faire seuls. Je dois parler à Dumbledore.
- Et s'il ne te croit pas ? Je ne pense pas que lui montrer la chambre des secrets sera suffisant pour le convaincre. Dit James.
- J ai plus d'un sort dans ma baguette, James, je saurais le convaincre.
James sort alors la carte du Maraudeur, et cherche Dumbledore.
- Il est dans son bureau.
- Très bien, j'y vais.
- Je viens avec toi. Dit Hermione.
- Moi aussi. Ajoute James.
- Non, il vaut mieux que tu restes en dehors de ça, James. Pour le moment en tout cas.
- Mais je veux en être.
- Ça va être déjà assez difficile de le persuader que je suis sérieux, alors, s'il voit débarquer les Maraudeurs..
James soupire.
- D'accord, tu as sans doute raison.
- Ou est Macgo ? Demande Sirius
- Dans ses quartiers. Répond James
- Bon, on y va, alors.
- Attends, il vaut meux qu'elle mette la cape.
Et il l'en revêt.
Ils quittent la salle sur demande et tandis que James et Remus regagnent la tour de Gryffondor, Hermione et Sirius frappe à la porte du professeur McGonagall
- Black ? Que se passe t'il ?
- Nous.. Je voudrais, voir le professeur Dumbledore, professeur.
- À cette heure ci ? Cela ne peut pas, attendre demain ?
- J'ai bien peur que non. Il s'agit de celui dont on ne doit pas prononcer le nom. J'ai des informations à lui communiquer.
- Vraiment ! Et puis je savoir d'où vous tenez ces renseignements ?
Sirius soupire.
- Vous n'êtes pas sans savoir que ma famille est très proche de lui. Hors ils ne partagent pas tous leurs opinions, heureusement. Et ils m'ont communiqué certains renseignements qui pourraient être utile à l'ordre du Phoenix.
Elle blémit.
- Comment connaissez vous ce nom ?
- C'est une des raisons pour lesquelles je veux voir le directeur, je ne parlerais qu'à lui.
Elle l'observe un moment en silence,, réfléchit, hésite, puis.
- Très bien,, suivez moi.
Tandis qu'ils parcourent les étages et les couloirs du château, Hermione sent grandir une certaine excitation. Elle va revoir Dumbledore. Il est vivant. Elle a encore un peu de mal à intégrer tous ces changements.
- Professeur, dit Le professeur McGonagall, monsieur Black, désire vous parler. Il dit que c'est important. Il a parlé de vous savez qui, et.. De l'ordre du Phoenix, ajoute t'elle tout bas.
Dumbledore fronce les sourcils.
- Et bien, Sirius, dit il, voilà qui est bien étrange. Comment connaissez vous ce nom ? Et cette jeune fille, pourquoi se cache t'elle sous cette cape ?
- C'est ce pourquoi nous voulions vous voir, professeur.
Hermione retire sa cape.
- Bonjour professeur. Je m'appelle Hermione Granger, vous ne me connaissez pas, mais moi je vous connais. Je viens.. Nous venons du futur.
Dumbledore les observe, tour à tour, inconscient du tumulte qui s'agite dans les pensées des deux sorciers qui lui font face.
- D'habitude, dit il, j'aime beaucoup les plaisanteries, miss...
- Granger. Professeur.
- Mais il y a des sujets avec lesquels on ne plaisante pas.
- Nous en sommes parfaitement conscient professeur, reprend Sirius. Et bien que je comprenne vos doutes, étant donné ma réputation, je vous assure que nous sommes très sérieux.
Il les scrute, le front soucieux.
- Admettons. Dit il. Par quel moyen seriez vous venu du futur, et de quelle époque, pensez vous venir ?
- Nous arrivons de 1998. Dit Sirius.
- Nous ?
- En fait, dit Hermione tout est de ma faute.
Et elle lui raconte comment Sirius a été tué par Bellatrix Lestrange, dans la salle de l'arche, du département des mystère, et comment le Sirius de seize ans, s'est retrouvé accidentellement à son époque.
- Malheureusement, je ne pouvais pas le ramener. Il s'est donc fait passer pour le fils de Sirius et il est resté avec nous, jusqu à aujourd'hui
- Jusqu'à ce que vous trouviez un moyen de le ramener. Corrige Dumbledore, ce qui n'explique pas, votre présence ici.
Hermione soupire.
- Je.. Nous nous aimons. Avoue t'elle la tête baissée, en rougissant. Sirius lui prend la main.
- Je prends l'amour très au sérieux, miss Granger mais avez vous conscience de ce que vous avez fait ?
- le problème est ailleurs, Professeur. Il y a bien plus grave. Dit Sirius
- Bien plus grave que de changer le futur ? Allons, vous avez l'air d'une jeune fille intelligente, vous avez dû penser aux terribles conséquences que ces voyages dans le temps pourraient avoir sur...
- Justement Professeur. C'est pour changer le futur que nous sommes là. Coupe Sirius. Voldemort, a créé des Horcruxes. Même si vous l'affrontez vous ne pourrez pas le tuer.
Dumbledore blémit.
- Êtes vous, sûr de ce que vous dites ?
- Oui, professeur. Il y en a un ici même caché dans ce château. Dit Sirius. Mais avant qu' on vous y conduise, vous m'avez donné ceci, dans le futur, pour vous, maintenant.
Il lui tend un rouleau de parchemin.
Dumbledore le prend et reconnait son écriture.
Le parchemin est daté de, 1997.
Dans, ce document, il confirme l'authenticité des dires de Sirius et Hermione.
- Et si cela ne suffit pas, reprend Sirius, nous vous, montrerons l'Horcruxe.
Les yeux bleus, perçants, scrutent les, visages, des deux jeunes sorciers, à travers ses lunettes.
- Comment connaissez vous les Horcruxes, je ne crois pas que cette magie très noire, soit enseignée, à Poudlard, même dans un futur proche
- C'est vous qui en avez parlé à Harry Potter, professeur. Explique Hermione. En cherchant vous même les Horcruxes, vous avez été contaminé par sa magie. Il ne vous restait que quelques mois à vivre, vous vouliez que quelqu'un reprennent votre quête. Vous avez initié Harry afin qu'il les trouve. Sirius et moi, ainsi que Ron Weasley l'avons accompagné, nous les avons tous trouvés, et détruits.
- Tous ? Mais.. Combien y en avait il ?
- Six.
- Six ! Par Merlin, déjà un..
- Oui, mais nous avons réussi, cela nous a pris presque un an, mais on a gagné. Harry a tué Voldemort. Dit Sirius.
- Harry ?
- Oui, monsieur. Harry Potter, le fils, de James.
- Mais... Ce n'était qu'un enfant.
- Non, nous n'étions plus des enfants, professeur. Dit amèrement Hermione.
- Oui, je vois ça.
- Alors, je suis mort.
- Oui. Parce que... Vous avez commis une erreur.
- Hum cela arrive même au meilleur. Et... Quelle erreur ai je donc commis ?
- vous avez enfilé la bague de Gamp, que Voldemort à transformé en Horcruxe.
- Vraiment ? Mais... Pourquoi ai je donc fait une telle chose ?
Hermione déglutit, échange un regard avec Sirius qui hoche la tête.
- Parce que c'est une relique de la mort.
Un silence pesant tombe sur eux.
- Que savez vous des Reliques de la Mort ? Miss Granger.
- Elles sont au nombre de trois. La cape d'invisibilité, la pierre de résurrection, et la baguette de Sureau.
Je sais que Grindewald et vous les avez cherchées, et lorsque vous avez trouvé la bague, vous avez découvert qu'il s'agissait de la pierre de résurrection.
- Êtes vous bien sûr de ce que vous dites ?
- Oui, professeur. Et cela a causé votre perte. Vous avez oublié qu'il s'agissait d'un Horcruxe. Et elle vous a contaminé.
- Je vois. Cette quête ne m'a jamais rien apporté de bon.
- La baguette de Sureau, est déjà en votre possession, professeur. Dit Sirius.
- Sirius non.. Coupe Hermione.
Mais il est trop tard.
- Vous l'avez prise à Grindewald lors de votre duel.. Il l'avait lui même volé à Gregorovitch.
Dumbledore regarde sa baguette, avec un melange de curiosite et de fascination.
- Et... La cape, poursuivit Sirius. C'est celle ci. Celle de James Potter, qui est un descendant d'Ignatus Peverell.
Il la lui tend.
Les yeux étincelants, l'air fiévreux, Dumbledore caresse le tissu, en éprouve la solidité, et la fluidité. Il semble possédé.
- Professeur. Dit Hermione. Je crois qu'il y a plus urgent que les Reliques.
Le ton autoritaire d'Hermione ramene Dumbledore à la réalité.
- Oui, bien sûr, vous avez raison, naturellement. Vous dites, que Voldemort à fabriqué des Horcruxes ?
- Oui, professeur.
- Et vous savez où les trouver ?
- Et bien, oui, et non. Répond Sirius.
- Le premier Horcruxe que Tom Jedusor a créé, explique Hermione, est son journal. Il l'a créé quand il avait seize ans. Lucius Malefoy s'en est servi pour ouvrir la chambre des secrets.
Dumbledore blémit.
- La chambre des Secret à été ouverte ?
- Oui, professeur. En 1992. Nous, étions en seconde année. Lucius Malefoy s'est arrangé pour qu' une jeune fille de première année tombe dessus. Le journal l' a envoutée, et lui à fait ouvrir la chambre, et lâcher le monstre sur les élèves. Heureusement, il n'a pas fait de victime, cette fois. Harry l'a tué, et a détruit le journal avec un crochet du Basilic.
- Harry Potter ? C'est bien de lui dont vous parlez ? Le fils de James Potter ?
- Oui, professeur. Il n'avait que douze ans, à l'époque.
- Et bien voila un jeune sorcier bien courageux.
- Oui, il l'est vraiment. Confirme Hermione
- Donc, ce journal, serait en possession de Lucius Malefoy, aujourd'hui.
- C'est une éventualité, mais nous n'en sommes, pas sûr.
- Hum, je vois.
- Après avoir quitté Poudlard, Tom Jedusor a découvert que sa mère, Meraupe Gant était une descendante de Salazar Serpentard. Il a tué son grand père, ainsi que son père et son grand père moldu. Il a volé la bague de Serpentard, et l'a transformé en Horcruxes et il l'a cachée sous le plancher de la maison en ruine. C' est là que vous l'avez trouvée et détruite, après, qu'elle vous ai empoisonné.
Hermione marque un temps d'arrêt. Elle veut qu'il comprenne la gravité de son erreur.
- Après avoir quitté Poudlard, reprend t'elle, Jedusor a travaillé pour Barjow et Beurk, et leur a volé le médaillon de Serpentard, que sa mère leur avait vendu une bouchée de pain, avant de mourir. Il en a fait un Horcruxe, et l'a caché dans une grotte. Nous pensons qu'il y est encore.
- Bon, ça c'est plutot bon signe.
- Je l'espère. Après avoir quitté Barjow, il se rend en Albanie, il cherche le Diadème perdu de Rowenna Serdaigle. C'est sa fille Helena qui l'a caché dans un arbre creux. C'est elle qui lui a dit où il se trouvait, alors qu'il était encore élève à Poudlard.
Après en avoir fait un Horcruxe,, il l'a caché au château, lorsqu'il est venu vous demander un poste d'enseignant. Il s'y trouve sûrement toujours
- Et bien, Miss Granger. Je vois que la vie de Tom Jedusor, alias, Voldemort n'a aucun secret pour vous.
- C'est vous qui l' avez montré à Harry, dans votre pensine. Vous lui avez appris tout ce dont il avait besoin pour les trouver, et les détruire..
- Et le dernier, vous savez où il se trouve ?
- Celui ci nous, a donné du fil à retordre. La Coupe d'or d'Helga Poufsouffle. Voldemort l'a volé à la descendante de Elga, après l'avoir tuée. Il l'a transformé en Horcruxe.. Nous l'avons trouvé dans le coffre fort de Bellatrix Lestrange, chez Gringott,
- Gringott ? Voilà qui est impressionnant. Elle est réputée pour être inviolable.
- Nous en savons quelque chose professeur. Nous ignorons si elle y est déjà à ce jour.
- Hum,, cela laisse beaucoup de supposition. Mais, je dois reconnaître que nous avons fait un grand pas, vers la victoire. Et afin d'un faire un second, je vous suggére de me conduire à celui qui hante ce château de son aura belliqueuse.
Ils se lèvent, et ils l'accompagnent jusqu'au septième étage. Là, en face du tableau des Trolls, Sirius ouvre la porte des objets cachés, parfaitement intacte, sans aucun trace d'incendie mortel.
Hermione prend le diadème, et le confie à Dumbledore. À peine l'a t'il en main, qu'une épaisse fumée noire en jaillit. Mais, Dumbledore invoque un feudeymon qui détruit le diadème.
Un cri strident, inhumain, résonne alors. Cela vient du bijou. Le diadème se consumme, sous les flammes que le vieux sorcier s'empresse d'éteindre.
- Bien, dit alors Dumbledore, voila qui est fait. Je crois, que ce sera tout pour ce soir.
- professeur. Dit Sirius que faisons nous, pour Hermione, elle n'est pas d'ici, n'a pas d'existence légale. Elle n'existe pas.
- Évidemment, c'est embêtant, très embêtant. Dans quelle maison étiez vous répartie ?
- À Gryffondor, professeur.
- Bien, dans ce cas, c'est là que vous dormirez. La préfète de Gryffondor veillera à votre installation..
- Merci professeur.
- Il se fait tard, il est temps d'aller dormir, nous y verrons plus clair demain.
- Oui professeur. Merci beaucoup .
- Bien entendu, tout cela doit rester strictement confidentiel. Personne ne doit savoir, au sujet des, Horcruxes, ni de la façon, dont vous êtes arrivés, ici.
- Professeur..
- Je me doute, que les Maraudeurs sont déjà au courant, Sirius, vos amis ont toujours la priorité. Mais dites leur bien, qu'ils ne doivent en aucun cas l'ébruiter.
- Bien sûr, Professeur. Mais, il faut que je vous dise. Peter Petgigrew nous a trahi. Après nos études nous avons rejoint L'ordre du Phoenix, tous les quatre. Evans et James se sont mariés et ont eu un enfant. Il y a eu alors une prophetie, qui disait que Harry, leur fils, détruirait Voldemort. Sur vos conseils , ils se sont cachés, et ont utilisé un sortilege de Fidelitas. Ils m' ont demande d'être leur gardien du secret, mais j'ai trouvé que c'était trop évident, et je leur ai conseillé de prendre Peter. Malheureusement, il nous a trahi, et James, et Evans ont été tués. Il s'est arrangé pour me faire accuser à sa place, et à fait croire que je l'avais tué. Il a provoqué une explosion, qui a fait douze morts. Des moldus.. J'ai été condamné à la prison à vie.
- Hum, je vois. Bien sûr, il est impossible de lui reprocher des crimes qu' il n'a pas encore commis, et qui n'auront peut être jamais lieu. Cependant, je comprends que vous ne soyez plus à même de lui faire confiance. N'oubliez pas, cependant, qu'il vous connait bien, et connaît tous vos secrets. Agissez avec prudence. Et souvenez vous, un sorcier averti en vaut deux.
Sirius soupire. Dans sa rage, il a oublié ces détails.
- Je n'oublierais pas. Merci, professeur. Je le ferais,
Ce soir là, Lily Evans, prévenue, accueille Hermione.
- Tu dormiras dans notre chambre, pour ce soir, on y sera un peu à l'étroit, mais on se serrera. On tâchera de te trouver une autre chambre demain.. Je t'ai mis quelques affaires sur ton lit. Le professeur McGonagall m'a dit que tu avais tout perdu dans l'incendie de ta maison.
- Oui. C'est vrai.
- Je suis désolée pour tes parents. Un jour, il faudra bien que ça s'arrête.
- Mes.. Mes parents ?
- Oui, pardon, je n'aurais pas dû en parler c'est tellement récent...Mais, ça a du être terrible, de les perdre comme ça
- Je. Euh, oui.
- En tout cas soit la bienvenue parmi nous. On t'aidera de notre mieux..
- Merci.
- Alors la brune, là , qui fait la tête, c'est Marie Mcdonald..la blonde qui la console, c'est Alice Fortescue, Dorcas Medowes, et Marlene Mckinnon.
- Salut, lança cette dernière. Fais pas attention à Marie, elle vient de se faire larguer par Black. C'est pas, faute d'avoir prévenue.
Hermione soupire. Et voila, le tombeur a encore frappé, et malgré elle, elle doute. À t'elle pris la bonne décision ? N'a t'elle pas eu tort ? Et s'il la quitte ? Que deviendra t'elle ?
Ces questions la rendent folle. Elle pense à ceux qu'elle a laissé, là bas, Harry, Ron, Aria.
Lorsque Sirius et Hermione sont entrés dans la salle commune, ils ont été accaparés. Hermione s' est retrouvée emportée malgré elle, par une rousse débordante d'énergie et d'enthousiasme.
James et Remus se sont jetés sur Sirius
- Alors ? S'impatiente James.
Il leur raconte son entrevue.
- Je crois qu'on va bientôt assister à la fin de Voldemort. Dit il.
Ce soir là, Sirius n'arrive pas à dormir.
Dans le lit d'à côté, Peter ronfle. Sirius a du s'excuser, et ils ont trouvé un prétexte pour justifier son agression. Il aurait été momentanément ensorcelé dans la salle du département des mystères.
Mais cet arrangement lui déplaît. Il meurt d'envie de l'étouffer. Ses ronflements, sonores l'exaspèrent.
Et puis, il pense à Hermione. Il a pris l'habitude de dormir avec elle. Sa chaleur, la douceur et l'odeur de sa peau lui manque.
Finalement, excèdé, il se lève et se rend dans la salle commune.
Elle y entre en même temps que lui. Elle non plus, ne peut pas dormir sans lui. Et puis trop de question sans réponse se bousculent dans, sa tête. Elle pense à ce que Dumbledore lui a dit, quelques heures plus tôt.
- J'espère que vous avez bien mesuré la gravité de votre situation. Vous ne pourrez plus jamais, regagner votre époque. Je vais détruire cette arche. Les voyages dans le temps sont bien trop dangereux. Et je ne veux courir aucun risque. Vos intentions étaient bonnes, et vous avez eu beaucoup de chance, que tout ce soit bien passé. Mais si vous aviez été animée de mauvaises intentions ? Si vous aviez été dans l'autre camp, imaginez ce que vous auriez pu faire. Tuer James Potter, ou Lily Evans ou moi, lorsque je n'étais, qu'un bébé, ou mes parents. C'est un risque que je refuse de courir. Même pour une jeune fille aussi courageuse et brillante.
- Je comprends professeur.
Mais ce qu'elle comprend, c'est que si Sirius la trahie, elle sera seule, dans une époque inconnue, sans famille, sans identité.
Il ne lui dit pas un mot. Il lui ouvre les bras, et elle vient s'y blottir.
Peu importe les lendemains qui déchantent. La tête posée sur ses cuisses, ses grandes mains aux longs doigts fins, posés sur son ventre, elle se sent en sécurité, sereine et heureuse.
Sirius, soupire. Au diable Peter Hermione s' endort dans ses bras, il sent son parfum fruité, sa peau contre la sienne, et ça lui suffit. Il l'aime, et elle ne pouvait d'avantage lui prouver son amour qu' en abandonnant tout, pour le suivre. Il n'a plus qu'à se montrer digne de ce sacrifice.
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