LA SOUFFRANCE
J'avais pleuré de joie. Monsieur Vladimir avait raison mon fils n'était pas mort. Alors pourqoui me l'a t'ont volé dans qu'elle but ? Cesse que je poser la question, puis en rentrant chez moi, j'ai encore voulu dire à ex mari que notre premier fils était vivent, que j'avais la preuve. Mais ont me donna pas le temps car j'avais eu une appelle de l'un des domestique de monsieur Vladimir de retourner en Russie ce que je fit. Mais cependant j'avais un mauvais pressentiment comme si ont ne voulait pas j'y aille, mais ma vie n'importe peu car seul mon instinct de mère voulait a tout pris retrouver Jacob. Alors je pris le jet privé d'une bonne amie à moi. lui pretextent que je voulais prendre des vacances. Alors je fut partie il m'indiquer l'endroit où je pouvais revoir celui que j'avais mit au monde il y'a 10 ans de célà.
J'étais dans une ruelles sombre de la Russie, c'était salle et crasseux. Pour être honnête j'avais peur. Est que j'avais mal lu l'adresse qu'il m'avait donner ? C'est ainsi que je poser des questions pourquoi un des domestique aurait appler à la place de monsieur Vladimir ? c'était un piège je le pressentait maintenant mais c'était déjà trop tard. Deux voitures virent à ma rencontré, il était un peu loin de moi. Mais je savais que c'était moi qui les intéresser. Leur fare un peu trop éclairé me fit plissé les yeux. Mon cœur commencer à battre un peu vite. Lorsque je vit une dame élégante sortir de la voiture. Elle avait un regard glaciale envers moi pourtant je la connaissait pas.
_Bonsoir Elizabetha. Je m'appelle Katrine... Me dit t-elle avec un sourire
Elle connaissait mon nom. Je ne fut pas surprise parce que j'étais connue dans le monde entier. Mais célà me déstabiliser car son nom a elle je ne conssait guère.
_Alors il paraît que vous savez que c'est moi qui ai kidnapper vontre fils.
Mon visage se décompresser, je la vit prendre qu'elle que chose dans la voiture le tenent fermement, même si il fessait sombre et que les vitre étaitent teintée une touffes de chevelure apparu devant mes yeux. Alors c' étais lui. Je m'en doutais bien des je l'avais toucher au centre commercial. Je n'avais pas senti mes larmes couler sur mes joue. Il avait un regard triste et essayer de s libérer son bras droite de l'emprise de cette individu qui se nommé Katrine.
_Tu peux aller voir ta maman...
Cesse qui me semblé avoir entendu. Et il courut vers moi sans hésitation.
_Maman...Me cria t-il. Je ne panser pas le revoir ni l'entendre crier, mon fils le fruit de mon amour pour un homme donc j'étais follement amoureuse et que je l'était toujours malgré tout. Mais il n'eut pas le temps de venir vers moi que une voiture me percuter à ma droite et s' arrêter un peu plus loin. je fut projeter d'une t-elle violence. Pourtant je ne fut pas morte.cette femme au regard froide et cruel avait fait exprès de me renverser qui plusait devant mon fils. J'avais mal partout je me doutais que cette fois si je ne m' en sortirait pas. Il pleuré tellement que sa me briser le cœur de le voir ainsi. J'ai essayé de lui parler mais je ne pouvait pas trop mal et surtout je manquer d'oxygène. Il ne rester pas beaucoup de temps.
_Je suis désolé maman...Ne meur pas... Disait Jacob à travers ces sanglots.
_Je t'aime... Je t'aimerai toujours mon bébé... C'était mes dernières paroles sur cette terre que j'avais autre foise vécu. Je l'entedit crier, j'aurais du faire venir qu'elle qu'un Avec moi. Mais c'était hélas trop tard.
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