LA MALÉDICTION DES KEEN-BRADLEY
Elizabetha regarder cette enfant avec tendresse, manger son sandwich au jambon poulet, il avait l'air d'apprécier. Elle décider de briser le silence avec ce petit être qui ce tenez en face d'elle.
_Ta maman sais que tu est là ? Lui demander t-elle avec un sourire pour l'encourager. Il fit non de la tête et le regarder droit dans les yeux tout en s'essayent avec une papier en serviette de droite à gauche celle ci sourit.parce que son défaut fils s'essuyer la bouche de cette façon, elle lui manquer tellement.
_Maman n'aime pas que je lis vos livres, elle me dit que c'est pas pour mon âge... Répondit Jacob avec tout franchise.
_Et tu t'ai sauver pour venir me voir n'est pas ?
_Oui...vous être vraiment très perspicace...
Elizabetha fut étonné de l'entendre parler ainsi. Dans ce corps d'enfant il avait un esprit vif et brillant et d'une intelligence incroyable . il était pile 15h30 quand Jacob regarder sa montre. Lorsque soudain il ce leva brusquement faisant sursauté Elizabetha.
_Je dois m'en aller... Ma mère je... Dit t-il d'une voix apeuré,le regard rempli de frayeur indescriptible.
Il se mit à courir tellement vite. Elizabetha retira ses Louboutin pour le poursuivre à son tour.
_S'il te plaît dit moi comment tu t'appelle au moins ??? Cria t-elle au milieu de la foule. Elle ne put continuer à le suivre car il y'avait trop des gens qui l'empêcher veulent la prendre en photos où avoir un autographes. Ce soir la quand elle rentra. Elizabetha ne put travailler. Le divorce avait était prononcé depuis maintenant des mois elle avait eu 50% de l'héritage des Keen-Bradley mais ce n'ai pas ce qui compter pour Elizabetha. Elle avait perdu la garde de sont fils n'ayant aucune preuve contre son ex époux pour abus et brutalités envers leur fils. Le juge accorder la garde exclusive à Adrian interdisent à Elizabetha de s'approcher plus de 20 mètre sous plein d'emprisonnement où de travaux forcée. Adrian ne c'était pas gêner à balancer à qu'elle point elle buvait. Mouton cadet, bordeaux vain des grands marques de vin. les avocats avaient même apporter les bouteilles vide qu'il avait sûrement fouiller dans les poubelles. La sonnerie ressona dans la pièce là réticent dans ces souvenirs lugubre et sombre.
_Allô... Oui vraiment que puis je faire pour vous monsieur Belicoff...
Pendent ce temps là.
Jacob en avait marre de faire c'est rêve qu'il ne comprennait alors il décide de fouiller la chambre de sa prétendu mère Katrine.Il n'avait pas oublié comment cette jolie dame la regarder et prenez soin d'elle lui qui n'aimer pas qu'on lui touche pourtant avec Elizabetha il avait pas mal à l'aise si ce n'était que lui il l'aurais laissé caresser elle ce sentait en sécurité et protéger avec elle. Il aurait rester plus longtemps à faire sa connaissance mais Katrine lui aurait fait du mal.Car il savait que sa mère n'avait aucune limite à sa folie. Mais ce soir il refuser de ce soumettre car ces rêve le rendait malade sa conscience voulait lui faire comprendre qu'elle que chose. Il mettez la chambre de Katrine sans dessus dessous. Il ouvra l'armoire de Katrine rien à part des vêtements de luxe. Il fit un grognements d'énervement lorsque un des plancher fit un bruit étrange à l'un de ses pas. Il ne fit pas priyer retirent la moquette qui le couvrait. Et posa ses doigts sur le rebord. Et retirer le plancher au fond ce cacher une petite boîte en carton. Il le pris dans ces mains et retira le couvercle de la boîte il y'avait un petit ours en peluche . Il était vieux mais il lui était familière cette objet. Puis il ce souvenez tout les pièces du puzzle commence à samblait automatiquement dans sa tête. C'était sont petit frère qui lui avait donner quand il était au board de la mort à l'hôpital. Cette homme qui lui prenait dans les bras était sont père et sa mère. Il ne put retenir une larmes il avait passer 1 heures avec sa vraie mère sans le savoir. Il voulu sortir de la chambre l'ours dans les main, lorsque il ouvrit la porte Katrine était sous le pas. Jacob le regarder d'un regard de haine et elle compris en voyant l'ours en peluche dans les main de sont prétendu fils.
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