Chapitre neuvième. 'Louis Tomlinson.'

« Louis ?, m'appelle Greta alors que je lève la tête de mon dossier.

- Oui ?, je souris à l'infirmière.

- Le patient dont tu t'occupes réclame à boire. L'examen est déjà passé, ou dois-je le faire patienter encore un peut ?

- Il vient de remonter en chambre, il peut manger et boire sans soucis. Il n'a plus d'examen pour la journée., je répond.

- Très bien, merci. »

Elle repart comme elle est venue, et je ferme le dossier de l'un de mes patients. Je me laisse tomber contre le dossier de ma chaise de bureau et je regarde vers la fenêtre. Il ne fait pas très beau aujourd'hui. J'espère que la temps sera plus dégagé pour se soir. J'aimerai pouvoir emmener Harry se promener dans le Hyde Park avec moi après notre repas.

Harry. Penser à lui me décoche un sourire, et je rigolerai volontiers tout seul de la gaucherie de mon bel âtre si je n'étais sur mon lieux de travail. Ce jeune homme, pas forcément beaucoup plus vieux que moi, est tellement charmant. Attachant. J'ai vraiment hâte de le retrouver se soir. Depuis notre derrière journée ensemble, j'ai hâte de voir se reproduire cette scène de baiser. J'aime ses lèvres.

Je finis mon service au alentour de quinze heures après être passé auprès des enfants pour les saluer avant de quitter la clinique. Je rentres chez moi sans faire le moindre détour, comme il m'arrive bien souvent de le faire, et je me poste directement devant mon armoire. Comment vais-je pouvoir m'habiller pour cette soirée ?

Je réfléchis. Je vais au macdo et au cinéma. Je jette un coup d'oeil à mes pantalons et j'attrape mon skinny noir avant d'attraper un pull en laine de couleur beige. Je file sous la douche. J'en ressort une demie heure plus tard, lavé et habillé. Pour les cheveux, rien ne sert de tenter quoi que se soit, ils n'en font qu'à leur guise.

Je finis par décréter qu'il est l'heure de partir quand je vois qu'il est dix huit heures passé sur mon téléphone portable. J'enfile ma paire de Vans, attrape mon porte feuille et je file à ma voiture. Avant de mettre le contact, j'envoie un rapide message à Harry pour le prévenir de ma presque arrivée.

'Je pars de chez moi, je serais la dans une quinzaine de minutes.'

Je n'attend pas de voir sa réponse et je pars en direction de son appartement. Je ne sais pas tellement si le fait de ne pas avoir vue se garçon depuis une semaine me rend pleins de frénésie, mais je suis sur d'une chose, je suis niais à souhait à vouloir me précipiter auprès de lui. Mais c'est une attraction dont je ne souhaite pas me débarrasser.

En arrivant devant son immeuble, la pluie à commencé à tomber. Je sors rapidement de mon véhicule, me précipitant sur la sonnette de son appartement. Heureusement pour moi, il m'ouvre rapidement. Foutue pluie. J'aurai due prendre ma veste avec moi. Je grimpe rapidement les escaliers qui me conduisent devant sa porte entre-ouverte, et j'entre en fermant derrière moi.

Son appartement est presque comme la dernière fois que je suis venu. Rangé, propre, et éclairé d'une lumière chaleureuse. Quelques chose à l'effigie d'Harry, en quelques sorte. J'entend du bruit en direction du couloir qui mène probablement à sa chambre. Je m'y enfonce et pénètre dans la pièce dont la porte est entre-ouverte.

Je trouve Harry en train d'enfiler un pull en coton de couleur marron, dont les boutons sont ouverts, laissant la vue dégagé sur le début de deux oiseaux incrustés à l'encre dans sa peau, en dessous de ses clavicules. Il enfile une paire de bottines marrons elles aussi, avant de placer un bonnet sur ses boucles encore humide. Et j'ai déjà irrésistiblement envie de l'embrasser. Il attrapa son sac en bandoulière en cuire marron, avant de finalement se tourner vers moi et de me sourire timidement.

Ses iris émeraudes s'accrochent au miennes, et je me perd dans ce vert puissant. Je penses qu'il ne mesure pas l'intensité qu'il dégage de son regard. C'est un spectacle absolument merveilleux. Toute sorte d'émotions peut y passer sans qu'il ne cherche jamais à les cacher. Et c'est passionnant. Passionnant de l'examiner. J'aime son regard. J'aime aussi cette façon, qu'il a actuellement, de se mordiller la lèvre.

Je m'approche doucement de lui, et je dépose tranquillement mes lèvres sur sa joue, tandis qu'il retient son souffle. Je me recule doucement, et l'incertitude vis à vis de mon geste que je perçois dans son regard me laisse pantois. Voulait-il que je l'embrasse ? J'en avais envie, mais mieux valait ne pas trop se précipiter. Alors j'ai souris et nous avons finis par partir de son appartement.

Dans la voiture, un calme plutôt serein à régner, tandis que mon compagnon regardait pas la fenêtre avec un sourire accroché à ses lèvres. Plusieurs fois j'ai été tenté de lui demander ce qui le faisait sourire, mais je me suis retenue. Si je n'avais aucun problème avec le fait de parler, je savais qu'Harry était encore réserver. Et ça me plaisait énormément.

Quand se fut notre tour de prendre commande auprès de la caissière dans le fast-food, je laissa mon invité commander en premier. Il lança un sourire aimable à la jeune qui prendrait notre commande avant de parcourir les différents menus et type d'hamburgers proposer.

« Je vais prendre un MacWrap Poulet/Bacon, en normal, avec des potatoes et un Ice-Tea. Oh, et rajoutez moi un Sunday au caramel s'il vous plaît., il sourit en sortant son porte feuille.

- Je paye., j'ai glissé dans son oreille avant de prendre sa main dans la mienne et de la baisser doucement. Je vais prendre un menu Nuggets, par neuf, avec Sprite et frite. Un chocolat chaud en plus s'il vous plait.

- Autre chose Messieurs ? »

Je mime un non de la tête, après avoir consulter Harry du regard et je règle nos repas, alors qu'il me remercie. Quand nous sommes sur que tout notre repas est disposer sur les plateaux que nous tend la jeune serveuse en herbe, nous partons à la recherche d'une table de libre, où nous installer.

La repas se passe assez bien, si on omet de parler d'Harry et ses doigts maladroits. Il a faillit renverser sa boisson sur son pantalon, sans compter le ketchup qui ornait le contour de ses lèvres. Mais c'était tellement mignon que je ne pouvais que sourire à cette vue. Il est surement la personne la plus attachante que je n'ai jamais rencontré.

Nous prenons ensuite doucement la route du cinéma. Je ne sais pas encore ce que nous allons regarder. En règle général je n'aime pas trop aller au cinéma, mais avec Harry, je suis en quelques sorte comme revenus à la toute fin de mon adolescence. Pas que je sois un vieux croulant, mais je me sens comme un jeune qui trouve le premier amour de sa vie avec lui.

Pendant que nous faisons la queue, nous discutons sur les films à l'affiche. Je suis plutôt tenter pour voir une projection spécial d'Aladin. Ils repassent souvent des dessins-animés le vendredi soir, pour inciter les enfants à venir. Bien évidemment je suis un grand enfant dans l'âme et j'adore les Disney.

« Harry ?, je questionne pour avoir son attention. Que dirais-tu d'aller voir Aladin ?

- Avec plaisir., il sourit en rougissant. »

C'est dingue cette manière qu'il a de rougir pour tout. Mais ça le rend tellement plus attachant qu'il ne l'ai déjà. Je finis par payer les places de cinéma quand notre tour arrive, et je regarde amusé le bouclé qui se précipite, non sans manqué de tomber en s'emmêlant les pieds, vers le stand de pop-corn. Il revient ensuite vers moi avec deux pots, et il m'en tend timidement un, que j'attrape en souriant.

Nous prenons place dans la salle, vers le milieux, et une fois assis, nous commençons tous les deux à manger nos pop-corn. Harry se goinfre littéralement, et je rigole quand il s'étouffe légèrement. Il finit par se calmer, et il me lance un regard réprobateur avant de se lever et de jeter par terre les grains de maïs soufflés qui sont accrochés à son pull.

« Ce n'est pas bien de ce moquer d'une personne sur le point de mourir par étouffement., il débite, un faux air mélodramatique dans la voix.

- Je suis médecin, je t'aurai sauvé., je glisse en le regardant.

- Je.. Comment ?, il se risque.

- Je t'aurais fait du bouche à bouche. »

Il pique un fard vers son pot de pop-corn et je rigole doucement. J'imagine facilement qu'il doit rougir. Les publicités finissent par se terminer et le dessin-animé commence alors. Le silence règne en maitre dans la salle, et le brun est absorbé par le film. Il a mit de coté sa nourriture.

Attendri par la vision qu'il renvoie, j'approche doucement ma main de la sienne, qui est posé sur l'accoudoir. Je ressens le besoin de la tenir. J'aime sa compagnie. J'entrelace doucement nos doigts, tandis que j'entends son souffle se couper. Je jette un regard dans sa direction, et parmi la pénombre je distingue qu'il me regarde aussi.

On se fixe. Mutuellement. Ses yeux sont tellement captivant, je pourrais m'y perdre jusqu'à mon dernier souffle. Mon regard descend progressivement vers ses lèvres, après cette courte contemplation. Ses lèvres que je rêve d'embrasser depuis la dernière fois que j'ai pris le risque de me faire jeter. Je me penche doucement, et je viens les trouver, pour la deuxième fois.

Je les goutes de nouveau et la sensation reste la même si ce n'est qu'elle est encore meilleure que la dernière fois. Elles sont douces, tellement timides, c'est tellement plaisant. Je viens placer ma main libre sur sa joue, et je tente les prolongations. Il ne tarde pas à accepter, et je suis pris de frissons. Bordel ce que ce garçon me rend dingue.

A bout de souffle le baiser se termine et je me sens comme capable de déplacer des montagnes. Harry à replonger son regard sur le film, le rouge au joues, mais il sert plus fort ma main. Et la chaleur qui s'en dégage me fait sourie bêtement. Mais à ce moment là, je m'en fiche.

Finalement, dans la voiture, sur le chemin de son appartement, nous parlons plutôt bien. Le grand brun semble plus détendu, et je ne peux pas m'empêcher de penser que la cause n'est autre que notre baiser. J'aurai voulue recommencer, mais nous ne sommes pas dans les films et vraiment je ne m'affiche généralement pas ainsi dans les lieux publics. Un cinéma n'est pas une chambre à coucher.

Arriver devant son bâtiment, nous sortons tous les deux et il me propose gentiment de venir prendre un café. Ce que j'accepte sans me poser de question. Nous montons donc ensemble jusqu'à son appartement. Il semble avoir du mal avec la serrure mais je penses surtout que c'est le fait qu'il soit nerveux. Je ne comprend pas tellement pourquoi, mais je souris en coin. Adorable.

« Un chocolat chaud ?, il me regarde.

- S'il te plait., je souris. »

Pendant qu'il s'affaire dans la cuisine ouverte de son appartement, je prend place sur l'un des tabourets, et je le regarde. Son dos se contracte et se décontracte suivant ce qu'il fait. Je remarque facilement qu'il est musclé sans trop l'être. Bien proportionné en soit. Je me lève doucement et je viens me placer juste derrière lui.

Je ne réfléchis pas trop et je viens placer mes mains sur sa taille. Il stop tout mouvement, fais même tomber dans l'évier la boité de cacao poudré qu'il tenait. Il est nerveux, je le sens. Je commence tout simplement par faire de petits cercles sur son tee-shirt, à l'aide de mes pouces pour tenter de le détendre un peu.

Il souffle doucement, et je laisse ma bouche se déplacer dans son cou. J'embrasse chaque parcelle de peau visible, tandis qu'il laisse tomber sa tête en arrière sur mon épaule. Je glisse mais mains vers son bassin et je le sert contre moi quelques seconde. Il se tourne finalement vers moi, et il prend possession de mes lèvres. Et je suis bien. Pris de désire et de passion. 

Petit mot de la fin. 

Hello tout le monde ! Je suis contente de vous retrouver pour l'avant dernière chapitre. Et oui ! La fin arrive de plus en plus rapidement selon moi. Enfin bref, je suis ravie de partager cette histoire avec vous. Vraiment. Je le dit à chaque fois, j'ai l'impression, mais je m'en fiche. Merci d'être là, je suis touchée. Oui il m'en faut peu pour être heureuse. J'espère que ce chapitre sous le point de vue de notre Louis Tomlinson vous aura comblées, ahah. 

Je voulais aussi parler du projet que j'ai légèrement aborder leur du dernier update. Il s'agit de ma prochaine fiction. Je peux donc déjà vous le titre de cette dernière à savoir : Ce que la vie doit aux souvenirs. Il s'agira d'une fan-fiction Larry Stylinson, traitant de l'Alzheimer Précoce, donc une fiction tragique et triste en soit. Je n'en dirai pas plus. Vous découvrirez le restes des informations en tant voulue. 

Merci pour tout. xx Laura. 


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