Partie 3 Insatiable



Une fois la Nadia rapportée à sa base en compagnie de toutes ses autres copines, les deux heures du matin approchaient. Je déposais Damien chez lui. La lumière de la fenêtre de sa chambre était allumée.

- Tiens Marion dort toujours pas ?

- Non elle doit regarder sa série de merde de "Plus belle la vie" en replay...

- Lol c'est bien une gonzesse

- Ouai grave elle me fait chier avec ça...

Damien descendit de la voiture et alla rejoindre sa dulcinée. 

Une fois rentrée chez moi, je ressentis à mon tour l'envie de baiser. Deux heures trente pétante Céline ne dormait pas non plus. Elle bouquinait After, un livre de gonzesse complètement naze éclairée par sa lampe de chevet. Il faisait lourd et orageux le velux légèrement ouvert mais elle n'était pas à poil, toujours avec sont haut de pyjama pour que ses cheveux ne lui piquent pas le dos.

- Tiens ! tu es rentré ?... C'est tout ce qu'elle trouve à dire. Puis elle zyeuta ma braguette qui menaçait d'exploser. Tout ce que je sentais, c'était le côté décisif, déterminant, explosif de la situation qu'allait prendre cette fin de soirée. Entre la quéquette de Damien qui fourrait le cul de sa pute. Mon tour à moi était venu également de fourrer.

Pour mieux voir son visage je lui relève la tête par le menton. Elle se laisse regarder, les yeux toujours baissés sur ma braguette, et dit tout simplement "tu voudrais pas me baiser ?"

- J'aime pas ta façon de parler, je lui dis.

Mais y avait son odeur, ses émanations de femme aux abois, son parfum de Lady million qui montait de son coup et ses yeux de chienne qui ne demandaient que ça. Je la retournai, maintenant j'avais ses fesses nues entre mes jambes et fallait absolument que j'arrive au plus vite à sortir ma bite de mon jean car ça devenait intenable. C'est tellement jouissif une bonne levrette qu'au bout de 5 minutes d'action je me suis concentré sur autre chose pour tenir la cadence tellement qu'elle en demandait la salope. Elle hurlait à la mort de plaisir. Le genre de truc à ameuter le lotissement entier! je me donnais au maximum ! à un rythme infernal ! Encore quinze coups de reins et dix autres, ma tête chercheuse qui ramone au plus profond d'elle. Elle prenait un pied biblique, elle mouillait comme jamais. Impossible de la lui boucler. Le moment pour moi était venu de lâcher la sauce, Céline s'écroule à plat ventre sur le lit et gémit encore de plaisir, pas moyen de s'en dépêtrer elle me suppliait de la lui remettre. Insatiable cette salope !

Une fois ses chaleurs estompées, de mon coté il était temps d'aller me vidanger. J'essayais de viser le fond de la cuvette tant bien que mal mais j'avais plus l'impression d'avoir une pomme d'arrosoir fixé sur le gland tellement mon jet se dispersait, j'avais beau me plier dans n'importe quel sens, j'arrosais plus le carrelage que le WC. Je savais à l'avance que le lendemain Céline allait encore me faire chier en me demandant  comment je pouvais en mettre autant à côté. Seulement voilà ! Elle ne savait pas a-t-elle point il était difficile pour un homme de pisser droit après avoir éjaculé ou sans même avoir éjaculé d'ailleurs. Et puis de toute façon Céline n'était qu'un plan cul qui n'avait pas d'ordre à me donner. Une ravissante serveuse de 26 ans, brune, mince aux gros seins bien durs et ronds, avec une chair bien ferme et une putain de bouche, tout ce que j'aime. Rencontré dans un pub et qui profitait de sa belle gueule d'ange pour ne pas être dans un HLM au 10eme étage ou se retrouver une nuit après son service dans une cave à devoir faire la chienne. En contrepartie de l'héberger et de la sauter elle ne m'astiquait pas seulement le manche mais aussi la maison et savait savoureusement bien cuisiner et réaliser des mojitos comme je n'en buvais nul par ailleurs. On y trouvait chacun notre compte dans l'histoire.

Demain je ne serais pas là mais avec mon pote, une sortie entre couilles bien couillu comme d'habitude, histoire de glander tuer le temps. Le travail pour ma part je connaissais le mot j'avais des amis qui y allaient, comme Damien, sauf que moi je vivais de mes intérêts, un petit million gagné secrètement il y a déjà pas mal de temps au loto. Ce qui me permettait de vivre au jour le jour sans me soucier de quoi sera fait demain. Lorsque l'on est riche ça ne s'arrête jamais, c'est pareil quand on  est pauvre. Des humiliés, des dominés, des esclaves du réveille-matin je n'en faisais pas partie, je me sentais donc étranger à ces gens-là. Je n'acceptais pas et je ne voulais pas que ma vie soit réglée d'avance ou décidée par un autre que moi. Si à six heures du matin un jour de semaine j'avais envie de prendre le cul de Céline, je voulais prendre le temps de bien le prendre, sans regarder l'heure sur mon portable. Je voulais vivre sans heure, sans obligation, considérant que la première contrainte de l'homme est de calculer le temps. Et moi, je voulais avoir le temps. Il n'y avait que Damien dans la confidence et devait bien rester silencieux sur ce sujet s'il voulait toujours se taper des Nadia. Car c'est bien moi qui lui payait ses putes à la Clara Zahia. Jamais Damien n'aurait voulu se taper une grosse Fatoumata de 30 euros à la DSK, il avait ses critères de prédilection. Je lui devais bien ça, car sa femme Marion elle est moche, elle est gentille mais elle est moche, une grande seringue aux fesses plates, sans nichons  et de plus au lit un vrai bout de mou c'était qu'un trou avec du poil autour rien d'autre.

En attendant demain, je retrouve mon oreiller et je me retrouve dans les bras de Morphée en compagnie des ronflements de Céline.

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