SPÉCIAL CENTS ABOS 🥳🎉🥂
B A P T I S T E.
Lucas m'observait en silence, un sourire espiègle aux lèvres.
— Viens ici. Murmura le châtain, sa voix grave brisant le silence.
Je tournai la tête, croisant le regard de Lucas. Une onde de désir et de nervosité m'envahissent.
Lentement, je traversai la pièce, chaque pas résonnant comme un écho.
— J'ai pensé à ce moment toute la journée. Avoua le plus jeune, ses doigts glissant sous le tissu de ma chemise, effleurant ma peau avec une délicatesse inattendue.
Je fermai les yeux, savourant le frisson qui parcourait mon échine.
— Moi aussi. Répondis-je, mes mains tremblant légèrement alors que je les posai sur les épaules de Lucas.
Il leva son regard, ses yeux brillant d'une intensité presque féroce.
— Je veux te sentir contre moi.
Les mots de Lucas éveillèrent en moi un feu que je ne pouvais plus contenir.
Je déchirai sa chemise, exposant son torse.
Lui, embrassai mon cou, continuant sur ma peau, m'arrachant des gémissements à chaque contact.
— J'adore te voir comme ça, vulnérable et fort à la fois. Me souffla Lucas entre deux baisers.
Une vague de chaleur envahit mon bas-ventre, mes sens en éveil, répondant à chaque caresse, chaque mot susurré.
— Lucas... Haletai-je, mes doigts s'enfonçant dans ses cheveux, tirant légèrement pour le rapprocher encore.
— Ouais c'est moi. Murmura-t-il, sa bouche se posant sur la mienne, un baiser brûlant, chargé de promesses et de passion.
Mon impatience était palpable, chaque fibre de mon être tendue par le désir. Je pressai mon corps contre le sien, mes mains glissant fiévreusement sur son dos.
— Lucas, je te veux maintenant. Soufflai-je, ma voix tremblante d'envie.
Le châtain ria doucement, son rire résonnant comme une mélodie moqueuse dans l'air lourd de désir.
— Doucement, Baptiste. Me taquina-t-il, ses yeux pétillant d'amusement. Tu es tellement impatient.
Son rire, loin de me calmer, n'attisait que davantage mon ardeur.
Je sentais une frustration délicieuse monter en moi, un besoin urgent de combler cet espace entre nous.
— Arrête de te moquer. Le grondai-je. Tu sais ce que tu fais...
Lucas sourit, un sourire qui faisait naître une chaleur brûlante en moi.
Il glissa ses mains sur mes hanches, ses doigts exerçant une pression légère mais ferme.
— Ouais, je sais. Répondit-il, son regard devenant plus intense et plus sérieux.
Il me fit basculer sur la banquette du sofa, son corps sur le mien, dominant, mais toujours avec cette douceur qui me rendait fou.
— Enfin. Soufflai-je contre sa bouche.
Sa main descendit, glissant sur mon ventre, faisant naître en moi un gémissement involontaire.
— Tu me rends fou. Avoua-t-il, sa voix rauque trahissant son propre désir.
Sans attendre, il agita ses lèvres et ses mains, créant un festival de plaisir.
Sa main descendait sur mon torse, puis vers mon ventre et sans hésiter, ses doigts abaissèrent ma ceinture et ouvrirent mon pantalon.
— Putain, Baptiste... Souffla-t-il, sa voix rauque et pressante. T'es tellement désirable...
Il m'embrassa profondément et sa main explora sous mes vêtements jusqu'à ma virilité tendue.
Un gémissement m'échappa alors qu'il me caressait avec expertise, me submergeant de plaisir.
Soudain, d'un geste rapide et déterminé, je renversai la situation, me retrouvant au-dessus de lui, dominant, mes yeux brûlant d'une lueur féroce.
— À mon tour, chuchotai-je d'une voix chargée de désir.
Je vis dans ses yeux la lueur de soumission tandis qu'un sourire joueur étirait ses lèvres.
Je m'enfonçai en lui lentement, chaque mouvement calculé pour le conduire au bord de l'extase.
Nos regards se croisèrent, et je lui offris un sourire narquois.
— Tu croyais tout de même pas que t'allais rester au-dessus de moi, hein ? Lui lançai-je, ma voix douce mais pleine de défi.
Lucas, essoufflé et les joues rougies par le plaisir, peina à répondre, ses mots entrecoupés de gémissements.
— T-t'es... un vrai enfoiré, Baptiste... Tu... mais là... oh putain...
Je ris doucement, savourant la vue de son corps frémissant sous le mien, soumis et pourtant si désireux.
— Avoue que t'aimes ça ? Le taquinai-je en appuyant mes coups, lents puis soudain rapides, le faisant haleter davantage.
— Ouais... merde... j'adore...
Ses mots étaient à peine des murmures, étouffés par les vagues de plaisir qui le submergeaient.
Je le sentais se tendre, son corps réagissant à chaque mouvement, à chaque caresse.
— Dis-le encore. Exigeai-je, mes mains serrant ses hanches avec une possessivité brûlante.
— Je t'aime... je t'aime, Baptiste... merde, ouais... c'est tellement bon...
Je souris, satisfait de l'entendre se perdre complètement, son esprit et son corps totalement à ma merci.
Ses cris résonnant dans le sauna, provoquaient en moi une vague de désir incontrôlable.
Je sentis ma propre volonté vaciller face à cette vision.
— Putain, Lucas... tu es tellement beau comme ça. Soufflai-je, sentant la chaleur monter en moi, mon propre plaisir approchant rapidement.
Il ouvrit les yeux pour me regarder, un mélange de satisfaction et de désir brûlant toujours dans son regard.
Ses mains glissèrent sur mes hanches, m'encourageant à continuer.
— Allez, Baptiste... lâche-toi... je veux te sentir.. jusqu'au bout...
Ces mots furent ma perte. Je sentis une vague de plaisir irrésistible m'envahir, me submerger.
Mes mouvements devinrent frénétiques, désordonnés, chaque poussée m'amenant plus près du bord.
Et puis, dans un ultime élan, je me perdis moi aussi, mon corps se tendant tandis que l'orgasme me frappait de plein fouet.
Nos corps restèrent unis, tremblants, chacun savourant les derniers échos de notre plaisir partagé.
Essoufflés, nous nous effondrâmes l'un contre l'autre. Et je savais que ni lui ni moi n'oublierions jamais cette nuit dans le sauna, où la passion et le désir avaient éclipsé tout le reste.
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