Chapitre 13 Tyler Partie 1/2 (Tome 2)
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Elena défit le dernier bouton de ma chemise et glissa ses mains sur mon ventre jusqu'à mon torse pour en écarter les pans, me caressant et faisant en sorte que ma peau s'enflamme à son contact.
Seigneur ! Elle me rendait totalement dingue, tellement elle était belle. Et son audace ? Elle me surprenait et me comblait entièrement, adorant la voir prendre les devants.
Elie se pencha sur moi et me gratifia d'un sourire coquin, plein de mauvaises intentions, que je tenais à découvrir au plus vite.
À mon plus grand bonheur, elle avait accepté ma proposition, même si elle n'y avait pas cru une seule seconde. Ça me faisait rire qu'elle me connaisse aussi bien.
Je voulus porter mes mains à son haut pour le lui enlever, mais elle m'attrapa les mains et les plaqua sur le matelas, à mon plus grand étonnement.
— Laisse-moi faire, murmura-t-elle d'une voix suave en se trouvant à deux centimètres de mes lèvres.
Je restai alors immobile, curieux de savoir comment elle allait s'y prendre. La laisser me dominer était pour moi un véritable plaisir, adorant l'audace dans ses gestes, ses paroles... cette fille était ma drogue, ne pouvant tout simplement pas me passer d'elle.
Je fermai alors les yeux, me focalisant sur les réactions de mon corps qu'elle déclenchait à chaque nouvelle caresse, murmure ou baiser.
Je sentis alors son souffle chaud contre mon oreille, puis ses lèvres et ses dents sur mon lobe, avant qu'elle ne le happe langoureusement et le suce.
À chaque seconde qui passait, ma respiration n'en devenait que plus saccadée et j'avais du mal à rester tranquille, crevant d'envie de balader mes mains sur son corps. Toutefois, je me fis une raison et continuai à lui obéir.
Ses lippes passèrent alors à mon cou et sa langue commença à tracer des petits chemins de feu sur ma peau, m'arrachant un grognement que je fis mourir au fond de ma gorge lorsque sa main caressa mon entre-jambe à travers mon pantalon.
Mon dieu, mais elle voulait ma mort ou quoi ?!
Je laissai échapper un ricanement rauque en me rendant compte à quel point j'étais en train de la laisser jouer avec moi. Elle prenait sa revanche de toutes les fois où je l'avais faite languir.
— Je ne te savais pas aussi vindicative.
Je sentis les secousses de son rire silencieux contre mon corps.
— Il y a tellement de choses que tu ne sais pas encore.
— Je veux tout découvrir.
— Chaque chose en son temps, Señor Mendoza.
J'adorais lorsqu'elle parlait espagnol, c'était tellement enivrant, que ça me mettait dans tous mes états.
Ses lèvres se posèrent alors sur mon torse, tandis que ses mains caressaient mon ventre, ses ongles fines traçant des petits dessins sur ma peau dont seulement elle en connaissait le sens. Sa bouche continua de descendre et je tentai de réprimer une complainte sortie tout droit du fond de mes entrailles, alors qu'un frisson rempli de plaisir me parcourait de la tête aux pieds.
La chaleur se répandait dans mon corps telle une déferlante, rapidement mais surtout violemment.
Elie allait toujours plus bas, mais elle s'arrêta au niveau de ma taille, où elle mordit la peau de mon bas-ventre à plusieurs reprises et à divers endroits. Un râle sourd s'échappa de ma gorge, cela aurait dû me faire mal, mais elle le faisait avec tellement de délicatesse, qu'une étrange sensation me submergea, mélange de douleur et bien-être. C'était plutôt confus, mais j'en voulais encore.
Toutefois, j'en avais marre de rester tranquille.
— Ça suffit !
Ainsi, je me relevai avant qu'elle ne puisse réagir, la pris fermement par les épaules et la plaquai ensuite contre le matelas.
Je me mis à genoux en enlevant entièrement ma chemise et me plaçai entre ses jambes. Les yeux d'Elie étincelaient d'excitation et ses mains se placèrent sur la ceinture de mon pantalon, mais je l'arrêtai.
Elle se redressa pour être à ma hauteur, me regardant d'un air confus. Je lui dis alors :
— C'est mon tour.
Elle m'avait suffisamment déshabillé comme ça, moi aussi je voulais m'amuser.
Passant mes mains sous son haut de pyjama, je lui caressai légèrement le ventre, pour presque instantanément, sentir les spasmes de ce dernier sous mes doigts. Sa peau était brûlante et sa respiration haletante, fermant les yeux à chaque caresse que je lui procurais. Puis je remontai sur son buste très doucement – en faisant durer l'instant et en me châtiant en même temps –, la taquinant, pour voir comment elle réagissait. Voyant que je faisais exprès de ne pas dépasser cette barrière, elle me foudroya du regard en se mordant la lèvre inférieure.
— Tu es cruel.
J'esquissai un sourire carnassier et m'approchai de son oreille pour lui murmurer :
— Tu croyais pouvoir me battre à ce jeu ?
— Je ne suis pas la seule à être vindicative, à ce que je vois.
— Non.
Et je plongeai sur ses lèvres douces et charnues qui ne cessaient de m'inviter à chaque fois que je les contemplais. Elie leva les bras afin de me faciliter la tâche et je lui enlevai son t-shirt, pour ensuite la serrer contre moi de toutes mes forces.
Nos poitrines s'unirent et nous nous allongeâmes. Je sentis ses mamelons durcir face au contact de ma peau et lorsque je lui empoignai son sein droit pour commencer à le caresser doucement tout en nous embrassant avec fougue et passion, elle gémit contre ma bouche, sans se retenir un seul instant. Et seigneur, qu'est-ce que j'aimais ce son ! La voir s'abandonner de la sorte à moi était le plus beau cadeau qu'elle puisse me faire. J'avais alors la sensation d'être tout puissant.
Je brisai notre étreinte un instant, voulant la regarder tandis que je la touchais, adorant voir les expressions de son visage lorsque je lui procurais du plaisir. Ce fut alors que je remarquais le collier qui pendait à son cou.
Il s'agissait de celui que je lui avais offert pour son anniversaire, portant mon initiale. Je pensais qu'elle l'aurait enlevé, pourtant il était là, ornant sa belle gorge. Je cessai alors mes caresses et le pris délicatement entre mes doigts.
Elie ouvrit les yeux et en voyant que je tenais son pendentif, l'expression de son visage changea pour ensuite le reprendre, se lever et enfiler son haut qui désormais trainait par terre.
— Tu le portes toujours.
Mais elle ne répondit pas, se contentant de me tourner le dos et en se coiffant à l'aide de ses doigts.
— J'aurais pensé que tu l'aurais enlevé.
— Je n'ai pas fait comme toi, marmonna-t-elle.
Je ricanai – sentant le reproche dans sa voix – et mis ma main dans la poche droite de mon pantalon afin d'en sortir le mien et me diriger vers elle pour le lui montrer.
En le voyant, Elena fronça les sourcils et l'effleura doucement, tentant de réprimer un sourire en coin.
— Je ne le porte peut-être pas au cou, lui murmurai-je à l'oreille, mais il est toujours avec moi.
Elle essaya de cacher sa joie, mais elle en fut incapable. Les émotions d'Elie ne se lisaient pas juste sur son visage, mais aussi dans ses yeux. Lorsqu'elle était heureuse ou touchée, ses prunelles bleues devenaient brillantes, comme des saphirs.
— La parenthèse est fermée, déclara-t-elle en se raclant la gorge et en mettant une distance entre nous, aussi rouge qu'une pivoine. Désormais, parlons.
J'aurais aimé faire durer ce moment d'intimité plus longtemps, mais finalement, ce n'était pas une mauvaise chose. Plus vite nous parlerions, plus vite nous serions fixés. Néanmoins, j'avais besoin d'un moment de répit, étant encore très... emballé et sentant mon pantalon serré par le renflement de mon entre-jambe. Je ne pourrais pas me concentrer si j'imaginais mille et une façons de lui faire l'amour.
Alors je devais me calmer et essayer de mettre dans un côté de mon cerveau ce qui venait tout juste d'arriver.
— Donne-moi un instant, dis-je en m'éloignant de quelques pas.
Elle hocha la tête et tenta de cacher un petit sourire en coin, en détournant le visage, toutefois, je pus l'apercevoir. Ça devait drôlement l'amuser de me voir dans cet état, au moins, je pouvais lui démontrer qu'elle me faisait toujours le même effet. Ou plus encore ! Est-ce que cela était au moins possible ? Avoir envie d'elle encore plus que jamais auparavant ?
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PARTIE 2 EN LIGNE
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