Prisonnier d'une devise

Ombre de mes envies, enchaîné à cette vie.
Ô devise qui me détruit, laisse-moi cette nuit,
Pour qu'afin, je prie ma douce divinité.
Lune, déesse de mon coeur, protectrice de mes heures; je suis si niais.

Baignant parmi les Astres de lumières,
Fleurs d'espoir et mères de nos manières.
Je prie a ces dames de beauté, de lâcher ce fardeau.
Cette simple devise que certains prendront pour cadeau

Qu'un souffle de pluie m'enlace, tel le baiser de la Nuit,
Et l'Oiseau vole, submergé par la richesse des mots du présent de vie.
Prisonnier de mon cachot, de mes pensées damnées,
Je ne peux m'envoler, accroché à la devise de mon être éveillé.

Je supplie de mon cœur égaré, ma mère,
Qui dans la Nuit, m'éveille à cet air
Où on se penche pour observer nos gestes passés,
Et enfin admirer l'Oiseau divin à la plume d'éternité.

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