Paladin
La guerre est un art présent depuis toujours.
A des fins égoïstes et purement non utilitaristes, ils se battent nuits et jours,
Laissant derrière eux, le désespoir aux alentours.
Pour avoir toujours plus, les hommes, tels des vautours
Éliminent leurs frères, femmes, enfants tour à tour.
Ceux-ci portent un fardeau lourd,
Qui étreint tout dans leur fort intérieur, agrippant leur cou
Pour enfin se jetter de l'une des plus hautes tours.
L'art de la guerre subit de tout temps,une évolution.
Pour se perfectionner, les soldats jetèrent émotion et compassion.
Des armes et des techniques de combat plus mortelles,
Apparurent, désacralisant le mortel.
Hélas,avec de tels,
Comportements, la chance de parvenir au bonheur est nulle.
Ces armes tendent plus à ruiner la vie d'honnêtes gens.
Ainsi, la vie ne possède plus aucun sens.
Les soldats de tout type et calibre ont vu le jour.
Tous munit de glèves et de boucliers lourds.
Paris tous ces chevaliers, existe ceux dont la simple évocation de leur nom provoque un froid.
Ce nom n'est d'autre que GODFROY.
Un de ces guerriers ayant répandu
Le sang dans le monde, tel une étendue,
D'eau habitant une sorcière aux multiples verrues.
Ces chevaliers ont certes combattues pour de réelles causes.
Tous ces actes sont la cause,
De nombreux fléaux.
Mais, face à ce torrent de haine et de colère,
Un seul homme dû le faire,
Rétablir l'ordre et l'équilibre.
Parvenir à donner au monde l'espoir,
Que nous sommes tous entrain de perdre,
Sans pouvoir se lever et se battre.
Le PALADIN, l'homme du peuple,
Celui qui chassent les démons qui peuplent,
Les cœurs des hommes faibles.
Le PALADIN,son origine diffère
A travers le temps et les époques.
Pour certains, c'est celui qui apporte la lumière
En dissipant sur son passage les ténèbres.
Pour d'autre, c'est le combattant de l'impossible,
Car il transforme ce qui semble impossible en possible.
Mais, de tous ces racontars, il y a du vrai, c'est celui qui apporte la foi.
Le PALADIN apparut toutes les fois,
Où le mal se trouva puis, il brisa son foie.
Porteur de foi, le Paladin,
Apparaît pour éliminer l'assassin
Lorsque cela se trouve utile.
Sa force de frappe est plus utile,
Qu'une armée complète voire entière.
Même avec l'entraînement le plus dur possible,
N'est pas Paladin qui veut.
Seul celui capable d'une foi sans faille,
Et animer d'une volonté de feu,
Peut y prétendre.
Mais, le temps d'une vie, il doit attendre.
Que sa cause à lui se présente.
Généralement, il se bat pour l'amour d'une femme,
Sa force est décuplée lorsque celle-ci l'aime de manière sincère et véritable.
Sa volonté atteindra alors son paroxysme
Jusqu'à exploser, tel un feu d'artifice.
Cette femme doit l'avoir choisie réellement.
Et cela doit se faire réciproquement.
Ce choix est comme un pacte entre un sorcier
Et une créature aux pouvoirs mystérieux appelée un familier.
Ce pacte donne au Paladin de la force,
Et à sa Déité, la force de croire sans résistance.
Déité, déesse, puissance divine, en un seul mot, femme.
Que de tel, qu'un être apte à la protéger,l'homme.
Tout est soumis à une Déité,
Mais, nul qu'un guerrier,
Le Paladin, pour supporter
Ce pouvoir pour lutter
Contre les DIEUX.
Ayant fais le tour de son existence,
Nous atterrissons sur Maxence
1er du nom, toi d'Alsace.
A son compte, une troupe de soldats aguerris,
Qui malgré leur existence, n'en sont pas moins avertis.
Aucun ne surpassait l'autre,
Mais nul n'était inférieur à l'autre.
Le temps passa, et les terres conquises,
La notoriété, le renom et la force furent acquises.
Maxence dirigea l'Alsace loraine,
Mais il éprouvait de la peine.
Son âme,qui autrefois saine
Fut contaminée et devint malsaine.
Le royaume tomba en ruine
Causant même la ruine
De son peuple.
Les siècles passèrent,
Telle une brise d'air,
Le temps changea,
La cloche sonna,
L'entrée dans une nouvelle ère,
Celle de l'espoir,
Où les hommes doivent croire.
Mauriane LISELOTTE
Prit le contrôle et se dressait devant Camelot.
Ce pays a pour chef le roi Uther
Pendragon, un grand détenteur de terre,
Un combattant à nul autre pareil.
Il lui arrivait de couper les oreilles,
De ces ennemies et leurs orteils.
Pour que la souffrance atteigne,
Au maximum son seuil ultime.
Dans ce Meli mélo, un enfant naquis.
Un être dont l'existence accomplierai la prophétie.
Pour nous, il s'agissait du messi.
Il se nomme Kelvin,
Le nouveau Paladin.
Sa légende commença avec la bataille
Pour conquérir les terres de la Haye.
Une dizaine, vingtaine voit trentaine
De personnes furent tuées sans résistance aucune.
L'honneur de la reine Mauriane
Fur enfin sauve.
Dans ce même sens,
Les batailles s'enchaînent sans
Répit en répandant le sang
D'honnêtes gens.
Le temps était venu d'affronter
Uther avec ses grqnds guerriers.
La table ronde complète,
La victoire en tête,
L'affrontement pris place en Crète.
Avec la force du Paladin,
La victoire du côté du terrain
Adverse ne pouvait exister.
Avec la fougue d'un démon délesté,
Le sang gicla sur son épée.
Il élimina beaucoup d'hommes de Camelot.
Les familles fondirent en sanglot.
Kelvin à lui seul faisait le poids
Mais les douzes de la table ronde chargèrent en une fois
Sur lui, me laissant au sol,en agonie.
Une chose disparue, l'harmonie,
Du côté de la belle reine.
Le porteur d'espoir à terre,
L'odeur de la mort dans les airs,
Un souffle de désespoir qui s'installait.
Une jambe dans le monde des morts.
Le Paladin ne put se résigner à son sort.
Il les tua tous sans exception,
Puis de riz sur le chef de la domination.
L'homme fort, Uther Pendragon.
Dans le but de sauver tout le monde,
Paladin donna jusqu'à à son dernier souffle.
Peu à peu, la vie quitta son corps,
Sa force le déserta au fur et à mesure.
Tel un dragon, Uther le chargea,
Avec ses dernières forces, il fit rampars,
Pour protéger son habitat.
Il mourut, tel un héros, pour la femme de sa vie,
Mais l'Alsace n'avait plus de vie.
Voici comment se termine la légende net la vie de Kelvin, le Paladin des vies en détresses.
Il mourut, mais son combat eu un sens utilitariste.
*******Fin*******
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