➪ 𝐘𝐨𝐮 𝐧𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐛𝐞 𝐚𝐥𝐨𝐧𝐞.
Never be alone - Shawn Mendes.
Take a piece of my heart
And make it all your own
So when we are apart
You'll never be alone
Edès Londson.
《 Tu ne seras jamais seul.》
En silence, Edès regardait son amour d'enfance s'en aller. Sans rien dire. Après tout, qui était-il pour le retenir ? Il avait perdu ce droit lorsqu'il les avaient tout deux abandonnés. Lorsqu'il avait fuit.
Il regrettait de n'avoir rien dit à l'époque. Mais qui écouterait un adolescent de 14 ans, venant de sortit de l'hôpital, des hématome témoignant son imprudence. Peut-être aurait-il du essayé, peut-être aurait-il pu rester.
Il soupira. Il avait attendu ce moment depuis 5 ans. Même s'il se doutait bien qu'il ne serait pas accueillie avec un tapis rouge. Il pensait au moins que son ancien meilleur ami l'aurait écouté. Mais Éros semblait avoir beacoup changé.
Il était plus grand, avait teint ses cheveux naturellement brun en blond, et lui qui en avait horreur, détenait désormais plusieurs piercing. Un a la langue, un autre sur ses lèvres, et un dernier sur le coter droit de son nez. Et ses yeux qui autrefois brillait toujours d'une lueur d'innocence semblait éteint. Vide.
Bien qu'Atlas, un très bon ami, qui avait décider de l'accompagner a l'autre bout du monde, lui avait décris physiquement son Éros, il restait tout de même choqué. Il ne ressemblait plus à celui qu'il avait connu.
Avant, Éros, bien qu'il aimait beaucoup s'attirer des ennuis, était en général un gamin plutôt calme. Il aimait avoir un routine, un point d'ancrage.
Edès serra légèrement la mâchoire, contrôlant les souvenirs qui venaient le titiller, et, se tourna vers sa maison. Cette maison qui l'avait vu grandir. Cette maison qu'il avait quitter. Cette maison où il revenait désormais. Il rentra alors chez lui, là où habite maintenant lui et ses amis qui l'avaient suivit de France.
Aussitôt, un odeur de pancake fit gronder son estomac. Il se dirigea vers la cuisine, et sans surprise, il retrouva ses 3 amis attablés, alors que Elphis, le plus âgé d'entre eux, et le seul capable de cuisiner mieux que des pâtes sans créer un incendie, se trouvait devant les plaques de cuissons, un tablier ridicule autour des hanches.
- Salut, les gars ; lança-t-il en s'asseyant sur un des tabourets libres.
- Ravie de savoir que je suis maintenant un mec ! S'exclama Héstia dans un léger rire.
- T'as vu ça ? J'savais que c'était ton plus grand souhait, le ressembler.
Son amie fit un moue dégoûter qui d'éclancha l'hilarité générale.
- Te ressembler ? Ouais non, je préfère encore devoir sentir vos chaussettes sales.
Edès grogna pour la forme, et se saisit du verre de jus que lui avait servit Éléos en le remerciant.
Ses amis savaient à quel point c'était dur pour lui de revenir ici après tout ce temps. Aucuns d'entre eux, hormis Atlas, n'avaient de détails de l'accident. Mais tous savaient qu'il ne parlerait que si il en ressentait l'envie.
Ils prirent leurs gouter ensemble, se chamaillent sur des choses de plus en plus bizzare jusqu'à ce que Elphis, qui n'aimait pas vivre au crochets de son cadet ne s'en aille pour son entretien.
Lorsque ses amis avaient tenus à ne pas le laisser partir seul, c'est naturellement qu'ils avaient tous aménagé dans la grandes maison des Londson. Et puis, Eléos, lui, avait un autre raison de vouloir vivre ici. Il y a quelques mois, en vacances en Espagne avec ses parents, il avait rencontre une jolie fille qu'il lui plaisait énormément. Et depuis, ils étaient rester en contact et s'étaient promis de se voir.
L'après-midi passa rapidement pour Edès, et Atlas ne rentrait toujours pas. Il ne s'en inquiétait pas vraiment, même si une légère appréhension trônait en lui.
Depuis que son ami avait été rendre le bracelet qu'il avait été incapable de donner lui-même, il ne l'avait pas revu. Il espérait qu'Atlas n'ait pas divulgué son secret. Hier soir, alors qu'il rentrait chez lui, c'était Edès qui avait trouvé le bracelet, au sol, dans un floqué d'eau et de boue. Il n'avait pas réussi à se résoudre à le laisser. Il espérait au fond de lui que ce bracelet l'aiderai à aborder Éros, mais il s'était dégonflé et avait envoyer Atlas à sa place. Mais depuis, silence radio. Il avait été absent toute la journée.
Tant pis, pensa le châtain. Il rentrerai lorsqu'il en aurait envie.
Connaissant son meilleur ami, il était certainement en pleine visite de la ville. Et il n'allait pas rentrer de si tôt.
Sur les coup de 20 heure, Edès épuisé, monta se coucher après avoir souhaité un bonne nuit à tout le monde.
Il se doucha rapidement, se sécha et fit un brun de toilette. Puis, il se dirigea vers sa chambre, ferma le rideau, et mit son téléphone à chargé. Il s'assit ensuite dans son lit, et repris le livre qu'il avait posé sur sa table de chevet.
Il avait toujours aimé lire. D'aussi loin qu'il se souvienne, il aimait se plonger dans un autre univers, oublier le sien, ses problèmes, et entre dans la peau de quelques d'autre. Il se sentait juste apaisé quand il lisait. Et cette sensation lui plaisait beacoup.
C'est finalement lorsque la porte de sa chambre s'ouvrit sur un Atlas souriant, qu'il sortit de sa lecture.
- Je peut entrer ?
- Tu l'as déjà fait, du con. Grogna Edès en reposant son livre sur ses couvertures tandis que son ami s'avançait vers lui.
Le silence s'installa entre les deux hommes. Mais ce n'était pas gênant, ou irritant. C'etait simplement un silence qui en disait beaucoup, un silence apaisant.
Pendant plusieurs minutes, aucun d'entre eux n'osa parler. Jusqu'a ce que Atlas, ne commence ;
- Je sais que c'est dur pour toi d'être ici. Que ça l'est encore plus d'être confronté à tes souvenirs. Et je sais aussi que le plus douloureux est qu'ils ne soient plus avec toi. Héstia m'a aussi dit qu'elle t'avait vu parler à une garçon, et j'imagine que c'était lui. Je sais que je ne peut pas te dire que je comprend, parce que je n'ai jamais vécu de tel situation. Mais je veux juste te dire que quoi qu'il arrive, on sera là. Qu'on te lâchera pas. Jamais.
Edès était ému. D'ordinaire, ses amis et lui n'était pas très fleur bleue. Mais parfois, ça fait du bien d'être niais.
- Tu ne sera jamais seul, Edès. Rajouta le noireau, saisissant la main du plus jeune. Tu ne sera plus jamais seul.
Puis, sans un mot de plus, il quitta la pièce, laissant son ami en paix.
larryyyNiallerr juste parce que je t'aime hihi.😌
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