chap 6-premiere victoire

Romario avait reconnu le club en y entrant. C'était le même où ses amis l'avait emmener hier soir.

___ Si c'est ainsi que vous pensez gagner votre vie ! Je vous suggère de changer de métier car ce genre de déhanchement ne marche pas sur les hommes comme moi, si vous ne me croyez pas demande à la jeune femme qui à essayer de me séduire hier soir.

Rouge de colère, elle se retourna quand les filles eclatèrent de rire devant la remarque grotesque de Romario. Ce prêtre ne savait pas à qui il avait à faire décidément.

___ Allez-vous en ! On reprendra plus tard bande de crétine ! Vous avez intérêt à être prêt pour ce soir sinon vous serez renvoyé !

Elles se turent et s'en allèrent.

___ Il y a quelque chose de particulier ici ce soir ? S'enquit Romario d'un ton sarcastique.

__ Je comprends que le fait que vous étiez ici hier soir fut un pur hasard. Mais ce matin ce n'est pas le cas ! Comment m'avez-vous retrouvé ?

____ Vous voulez dire, comment je vous ai retrouvé ici alors que vous devriez être à la faculté de médecine en ce moment.

Elle haussa les épaules. Elle s'en foutait de sa remarque tout ce qu'elle voulait s'était de savoir comment il l'avait retrouver.

___ Je ne veux pas être médecin et je ne veux plus aller à la fac, cracha t-elle.

___ Ça je l'avais compris. Alors comme ça vous avez de plus grande aspiration comme bouger nu sous les cuisses des hommes pour les allumer.

Elle le fixa le regard rempli de haine, prêt à exploser de colère. Qui était-il pour penser pouvoir juger ces actes, elle avait toujours fait tout ce qu'elle voulait sans l'avis de personne !

___ Vous vous méprenez Padre, lança t-elle en marchant vers lui, ce club m'appartient, ces filles bossent pour moi, ce sont eux qui dansent nu sous les cuisses des hommes afin que je gagne de l'argent. Vous ne devriez pas prendre mon travail à la légère car gérer un club et le faire prospéré n'est pas aussi facile que réciter notre père.

Piqué au vif, il cligna les yeux devant tant de hardiesse. Quand elle fut à sa hauteur, elle planta ses yeux dans les siens, la lueur plein de menace qu'il vit dans ses yeux ne lui disait rien qui vaille. Elle croyait pouvoir lui faire peur mais cela n'arriverait jamais.

___ Vous croyez être un dur en me suivant ici ? La vérité c'est que vous n'avez pas de couille, je ne sais pas comment vous m'avez retrouvé mais je vais vous faire regretter de m'avoir suivit jusqu'ici.

Alors que Romario essayait d'assimiler ses mots pour comprendre de quoi elle faisait allusion, il la entendit crier un nom.

___ Malo ! Malo !

Un mec apparu dans la pièce, vêtu d'une chemisette qui dévoilait ses Abdo bien dessiné. Un tatouage de couleuvre logeait le long de son bras doigt, il avait deux anneaux dans ses sourcils. Son apparence de Bad boy et son air dur lui fit comprendre qu'il allait passer un mauvais moment.

___ Qu'est-ce qui a bébé ? Qui est ce mec avec l'air d'un idiot.

Éviter de venir à la main avec ce mec était la seule chose qui lui montait à la tête. Il ignora son commentaire insultant.

___ Ce con n'arrête pas de n'embêter bébé, il dit qu'il m'aime.

L'expression du mec changea tout à cou. Il marcha vers Romario et lui tapa le bras.

___ Alors comme ça tu dragues ma meuf ?

C'était le moment où ne jamais de montrer à cette fille qu'on ne peut pas ce moqué de lui. Il fallait qu'elle lui montre de quoi il était capable.

___ Tu ne dis rien ? Tu fermes ta gueule imbécile ! Cracha t-il en lui tapant le bras encore une fois.

___ Si tu me touches encore une fois, je te pète le bras !

Le fameux Malo et sa petite amie éclatèrent de rire comme s'ils le voyait deja mort après cette réponse.

___ Tu entends ça bébé, il va me péter le bras ! Fit-il en ricanant.

Seigneur fait qu'il n'essaie pas de me frapper, pensa Romario intérieurement mais Mono leva la main pour lui lancer un coup de poing. Il pencha la tête sur le côté et lui attrapa le bras en le tordant. Il grogna de douleur en soulevant l'autre bras pour l'attaquer encore plus une fois. De sa main libre Romario lui attrapa l'autre bras et lui tordit dans le dos, puis lui lança un coup de pied dans son entre- jambe avant de le pousser par terre.

___ Malo ! S'écria Mélia et s'agenouillant vers lui.

Son garde du corps lui attrapa par surprise et lui passa les menottes.

___ Qu'est-ce tu fais ? S'écria t-elle folle de rage.

___ Je te ramène à la faculté, demande à ton petit copain d'engager quelqu'un pour entraîner les filles car à partir d'aujourd'hui chaque matinée, tu seras à la faculté.

___ Vous êtes fou ! Lâchez-moi ! Malo ! Malo ! Criait-elle alors qu'il l'entraînait dehors.

___ Cessez de faire tout ce vacarme sinon je raconte à votre père que vous déhancher dans un club au lieu d'aller en cour.

A peine ces mots prononcés, elle devient douce comme l'agneau dans ses bras. Il posa devant la voiture, puis ouvrit la portière et la fit monter de force.

___ Vous allez me le payez très cher ! Murmurait-elle, en secouant ses cheveux bleus alors que ses yeux lançaient des éclairs qui pouvaient brûler n'importe qui.

___ Je sais mais en attendant je vous ramène en cours, allait sourit un peu, je sais que vous avez un joli sourire.

___ Va te faire foutre ! S'écria t-elle au bord des larmes.

Un rire rauque s'échappa des lèvres de Romario, ce qui attisa encore plus sa colère. Le sourire aux lèvres il démarra la voiture, heureux d'avoir pu dompter la lionne qui séjournait dans l'âme de cette jolie fille aux cheveux bleus et au tempérament de feu...

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