29/04/18

Il était l'heure de pleurer, de tout laisse couler, même le navire.

La cause de la chute du barrage était la simple maladie, une tite contamination et tout le monde pouvait m'entendre hurler dans ma tête. J'ai rien de grave, ça me pompe surtout toute mon envie de vivre, pas que je veuille crever, juste que je n'arrivais qu'à végéter. J'me demande si des gens on des problèmes de temps en temps, bien espacé. Moi non ils sont tous en même temps, ils savent pas être patient. Ce p'tit virus m'a pris mon dimanche, on est bien dimanche hein ? J'voulais aller voir des gens à l'hôpital. Une personne m'a dit que ça serait peut-être bientôt la fin pour l'un des concernés ce situant dans ce lieux tout blanc qui me fait je pense inconsciemment peur. Je voulais y aller jusqu'à ce que mon corps me disent non en tentant de me faire vomir mon âme.

J'ai deux problèmes quand je suis malade, le premier est que je pars loin mes délires sont ... et bien ce qu'ils sont d'autant plus quand j'ai des médocs qui tente de me soigner. Pour donner une idée, j'ai quand même dit à la personne que j'aime que j'étais entrain de crée un larvasutra, une déviante du kamasutra qui consiste à ce mettre dans des positions chelou et attendre que la mort vienne vous chercher. Ouaaais comment passer pour un con tome 1.

Le deuxième point est que je suis incapable de penser à autre chose qu'à mes échecs, à tout ce que je me reproche. Pas ce qu'il y a de mieux pour guérir. Sans oublier les décisions débiles, qui sont prise sur un coup de tête.

Si avec mon larvasutra je deviens riche, j'embaucherais la jolie infirmière Tatiana de the Evil Within pour qu'elle me caresse les cheveux quand j'en aurais envie.

J'dis vraiment de la merde. J'ai juste envie de faire chier les gens, et m'excuser pour des raisons stupides.

04/05/18

C'est assez dur de reprendre contact avec le monde terrestre, clairement j'en ai pas envie, je voudrais bien rester dans mon coin, mais je sais que ça sera encore plus difficile plus tard.
Pour faire suite à la journée maladie, une nuit très douloureuse physiquement, chaque partie de mon corp, me fesais extrêmement mal, j'avais mal au coeur, et mes muscles étaient de trop.
Le réveil fut pas mieux, quand je me suis déplacé de mon lit pour rejoindre ma mère dans la cuisine, j'ai senti la douille arrivé. Elle est arrivée avec un ton arrière grand-père est parti. Le barrage venais de sauter une deuxième fois. C'était dur de ce dire que mon Papi était aller à l'hôpital pour une grippe, pour ne finalement jamais revenir. J'm'en suis voulu de ne pas avoir pu aller le voir, mais j'avais pas eu le choix, j'aurais pas pu. J'suis retourner me coucher, et pendant 3 jours je ne faisais que me lever, boire, dormir, sans oublier de pleurer.
Quand y'a fallu aller dans la chambre funèbres, c'était compliqué mais je les fais jusqu'à j'ouvre la porte et que je vois mon papi. Et que mon cerveau me hurle non, et que je me casse en courant dehors faire une crise d'angoisse. Ma cousine m'a ramené chez moi, ils étaient inquiets pour moi, et mon état de santé. J'ai mangé un peu, et je me suis recouché. Et ça a continué comme ça jusqu'à hier matin.
L'enterrement, j'étais aller prendre une douche qui n'avais pas décontracté mes muscles bien stressé. Mon ventre voulais refaire l'autre coup du vient on te fais mal sans aucune raison. J'ai préféré ignoré, je me suis habillé en noir, normal. Et on est aller au funérarium, j'ai retenté d'aller voir mon papi. J'ai tenu 3s à tout casser, mais j'ai pas pleuré. La famille proche était la, pas souriant comme d'hab'. Juste des cernes sur patte. Et ensuite on a suivi le corbillard, ça m'a fait pensé au mariage quand on suis les mariés, mais la le silence régnait. Arrivée à l'église j'ai senti que mes jambes ne saurai pas me supporté aujourd'hui. Pendant la cérémonie, j'saurais dire si j'étais réellement la, je crois que j'étais perdu dans mes souvenirs, de pourquoi j'avais si mal. En 2007 on perdait mon arrière grand-mère, sa femme. La femme qui m'inspirait tant par ça gentillesse que ça bonté d'âme. J'avais eu le coeur arraché quand c'est arrivé, je dirais même que ça m'a traumatisé, j'avais 6-7 ans et j'avais compris que la vie c'était de la merde. Longtemps je m'attendais a ce qu'elle revienne, qu'elle me refasse des chips et qu'elle me laisse gagné au domino en souriant doucement. Et la je perdais le grand Papi, celui qui donnait un goût d'aventure à nos petite vie d'enfants, en nous amenant faire des tours de tracteur, à aller faire les vendanges. Ces deux personnes s'aimaient, et ça se voyait, la flamme de quand ils s'étaient rencontrer était toujours là. Ils se tenaient la main, ils n'avaient pas honte de montrer qu'ils s'aimaient et personne ne pouvait dire le contraire.
Ces deux là nous avait appris la gentillesse, et l'amour pour les proches. J'admirais ces deux personnes, tout comme mes proches. Et perdre le dernier de ces deux là, avait été un choc, c'était aller si vite, si inattendu.
Mon arrière grand père était âgé de 93 ans, il avait la forme vraiment, je pense pas qu'à son âge je serai capable de monter sur un tracteur, coupé du bois seul. Il pétait la forme. Il avait tout le temps le moral, il était impressionnant.

Une fois rentré chez moi, j'ai eu du mal à réaliser ce qui venait de ce passer, je m'attend à le voir à chaque fois que je rentre de l'école le soir, qui sera la pour saluer le grumpy cat que je suis en rentrant à la maison ? Qui sera la pour me faire un vrai bisous pour me saluer ?
Qui sera la Hein ?
Des bons souvenirs, que des bons souvenirs, mais je suis égoïste j'aurais aimé plus de temps avec lui. Mais je me dis que au moins maintenant (si ça existe) il est avec mon arrière grand-mère qui a du lui manqué.
Il va me manquer.

J'espère que la tristesse va passer vite, elle m'empêche de vivre normalement, j'ai du perdre 3 kilos, j'essaie de remanger normalement, j'essaie de reparler au personne qui se sont inquiété, je dois aussi m'excuser auprès de ceux que j'ai ignoré pour ma peine. S.c'est beaucoup inquiété je crois, je m'en veux.

La vie doit reprendre tranquillement.