| Forty-First | They can't save each other this time



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[ Five minutes ago ]

PETER PARKER

Grouille toi, grouille toi, grouille toi !

Je vais encore être à la bourre, pour pas changer, et je vais rater mon train.

Il est vrai que je rentre avec Gabe et Happy d'habitude, mais j'ai reçu un mot de Gabe dans mon casier ce matin pour me dire qu'elle restait plus tard à l'école à cause d'une sorte de réunion avec la prof de sciences, et qu'elle ne savait donc pas me reprendre.

J'ai trouvé ça étrange qu'elle mette un papier dans mon casier, mais comme nous n'avions pas cours ensembles aujourd'hui, on ne se serait certainement pas vu. Et peut-être qu'elle a cassé son téléphone, justifiant le mot. Ça ne m'étonnerait pas trop, elle les casse tellement souvent.

Il ne reste que dix minutes avant le départ de mon train, et comme il arrive souvent en avance, ce n'est vraiment pas pour m'aider.

Les mains accrochées aux bretelles de mon sac à dos, je me mets à courir pour atteindre les escaliers plus rapidement.

J'allais passer la grille séparant la station de l'extérieure lorsqu'une voiture attira mon attention.

Je fronce les sourcils en remarquant que c'est le même modèle que celui que conduit Happy.

Gabe ne m'aurait pas mentit, tout de même ?

Je soupire et me dirige vers la voiture en traînant des pieds. Ma curiosité causera ma perte.

Je me plante devant la portière conducteur et toque à la fenêtre.

Elle s'ouvre vers le bas, dévoilant, sans grandes surprises, le chauffeur de Gabe.

« — Qu'est-ce que tu fais là toi ? Il fronce les sourcils en mettant ses lunettes de soleil sur le haut de son crâne.

Je pourrais vous poser la même question, je réplique, tout aussi surpris.

T'es pas censé être avec Gabe ? Il lève les yeux au ciel. Elle m'a envoyé un message ce matin pour me dire que tu voulais la voir après les cours et que je pouvais venir plus tard.

— Quoi ? Je fronce les sourcils. On avait pas prévu de se voir. Elle a mit un message dans mon casier disant qu'elle devait voir un professeur après les cours et que vous ne pouviez pas me reprendre.

— Un mot ? Ce n'est pas le genre de Gabriella de mettre des petits mots doux dans des casiers, surtout qu'elle avait son téléphone.

— C'est sûr que c'est très bizarre.

— Tu ne la pas vue en sortant ?

Je pense qu'elle serait avec moi si c'était le cas, je répond, les yeux plissés, le faisant hocher la tête en accord. »

Je fronce les sourcils lorsque je vois deux personnes sortir en courant du gymnase par la porte arrière.

Je crois reconnaître la chevelure rousse de MJ ainsi que les cris de fillette de Flash, me faisant ricaner, avant de remarquer que je viens de louper mon train, me faisant tout de suite moins rire.

MJ vient vers moi en courant, me faisant soupirer. Que Dieu l'empêche de me toucher.

Je recule d'un pas lorsqu'elle veut s'approcher de moi, la stoppant net.

« — Ta copine, elle commence en respirant difficilement. Elle-

— Quoi ? Je fronce les sourcils alors que Flash nous rejoins. Qu'est-ce qu'elle a ?

— C'est un putain de monstre ! Il s'exclame, paniqué.

Qu'est-ce que- »

Je n'ai le temps de terminer ma phrase étant donné que je suis éjecté en arrière, caressé par une sorte de vent chaud. Très chaud.

Je me relève assez vite, encore un peu sonné, avant de regarder le lycée.

Le gymnase entier est détruit, en feu à quelques endroits, n'étant plus qu'un tas de pierres. Il est en ruine.

Je tourne vivement la tête vers les deux adolescents au sol, le visage partagé par la culpabilité et la peur.

Je fronce les sourcils avant d'écarquiller les yeux. Et lorsque les yeux de MJ se plantent dans les miens, je sais que j'ai raison.

Gabe est à l'intérieur.

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NARRATEUR EXTERNE

Tout était détruit.

Absolument toute la grande salle de sport était détruite.

Elle n'était plus qu'un ramassis de poussières et pierres bien trop lourdes pour être supportées par n'importe qui.

Il y avait du feu qui luisait dans tous les recoins de la pièce détruite. Certaines flammes étaient plus grandes que d'autres, celles qui étaient venues brûler les affiches et autres papier, et illuminaient le moindre caillou avec leur lumière meurtrière.

L'explosion qui avait causé ça, avait également abouti à la destruction de quelques salles de classes aux alentours, mais rien de grave, des futilités comparé au carnage qu'était à présent le gymnase.

Elle avait été d'une puissance insurmontable, provoquant une onde de choque dans un périmètre assez large, brisant des fenêtres, faisant enflammer des fours.

La source de cette catastrophe aurait pu être une bombe de très forte capacité d'explosion, ou à petite capacité nucléaire.

Mais elle n'était rien de ça.

La source de cette explosion n'était rien d'autre que la jeune fille ensevelie sous pas moins de deux tonnes de béton.


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TONY STARK

« — Où est-elle ? »

Mon visage découvert du masque de mon armure, je toise Happy avec un regard insistant.

Il est appuyé contre la voiture, les bras croisés contre son torse.

Il m'a appelé il y a dix minutes en hurlant qu'il y avait un problème avec Gabe et que je ferais bien de ramener ma fraise en compagnie de mon armure.

Je ne me suis pas fais prié et ai débarqué aussi vite que possible.

Gabe n'était pas là quand je suis arrivé, il n'y avait que des ambulances, Happy et le son des sirènes au loin.

Et c'est seulement lorsque je me suis posé au sol que j'ai remarqué le bâtiments en ruines.

« — Happy. Où est ma fille ?

— À l'intérieur. Il pince les lèvres.

Du lycée ? Ça va, elle est en sécurité.

— Pas le lycée, le gymnase.

— C'est où le gymnase ? Je demande en levant les yeux au ciel, ennuyé qu'il pense qu'un tel détail soit utile.

C'est le ramassis de poussière. »

J'ouvre grand les yeux en jetant un regard au soit disant gymnase, n'étant plus qu'un tas de cendre.

« — Tu veux dire qu'elle a été là-bas pour aider à sortir les malheureux coincés en dessous ? Je demande avec espoir devant son regard peiné.

Il n'y a qu'un seul malheureux sous les décombres. Et c'est elle. »

Je n'attends pas une secondes et décolle, mais suis rappelé par Happy.

« — Quoi ?! Je dois aller chercher ma fille !

— Faites attentions, Peter est déjà partis la chercher il y a vingt minutes, et il n'est pas revenus une seule fois. »

Je fronce les sourcils alors que mon masque se referme avant de m'envoler vers les ruines.

Une bonne couche de poussière est présente, ne me faisant pas voir normalement.

« — Friday. Je dis envers mon intelligence artificielle tandis que je dégage quelques bloc de mon chemin. Analyse le périmètre et trouve la moindre empreinte thermique. »

Je grimace en continuant de dégager le chemin, commençant à paniquer par la gravité de la situation.

Est-ce que c'est elle qui a déclenché l'explosion ?

Est-ce qu'elle l'a fait exprès ou pas ?

Et Peter cet idiot, ne pouvait-il pas attendre que j'arrive avant de se jeter dans ce bordel ?

« — J'ai détecté deux empreintes thermique. Commence Friday, me faisant soupirer de soulagement. L'une extrêmement forte et l'autre faible. »

Je grogne tandis que je les localise, assez proches l'un de l'autre.

Je commence à dégager les plus gros morceaux de béton lorsque j'entends de légers sanglots.

Je fronce les sourcils et continue d'autant plus vite. Dites moi que ma petite fille n'a rien, s'il vous plaît.

Et ce n'est pas sur elle que je tombe en premier, mais bien sur Peter, les yeux fermés, allongé de tout son long sur le ventre contre un large morceau de mur, un barre transperçant son épaule, et du sang s'écoulant de sa tête.

Sa main pend dans la vide à côté de lui et j'en déduis que des morceaux encore entiers ont du lui tomber dessus alors qu'il cherchait Gabe.

Je remarque tout de même qu'il respire encore, merci à ses pouvoirs, sans quoi il serait certainement déjà mort.

Je remarque ensuite des doigts crasseux tenter tant bien que mal de s'accrocher à la main du garçon.

Je retire une nouvelle pierre pour voir une masse de cheveux bruns éparpillées sur un tas de briques.

Ma respiration se fait plus saccadée alors que je commence à retirer les blocs deux fois plus vite, pour tomber sur une vision d'horreur.

Gabe, couchée sur le dos contre un tas de briques pointues, le visage tuméfié et brûlé à plusieurs endroits, des éclats de verre la transperçant de partout alors qu'un large triangle de verre est planté dans son abdomen, d'où écoule une abondante quantité de sang.

Elle émet des soubresauts, laissant des filets rouges sortir de sa bouche, tandis qu'elle essaye vainement d'attraper les doigts de Peter, des larmes coulant en afflux sur ses joues.

Elle ne semble pas m'avoir vue, et au moment où je veux prononcer son nom, sa main tombe lourdement au sol et ses yeux roulent dans leurs orbites.

Et je manque de vomir devant cette image.

Deux adolescents aux superpouvoirs immenses, qui n'ont pas pu se sauver l'un l'autre, cette fois-ci.

T H E  E N D
















MDRR NON JE DÉCONNE !

C'EST JUSTE LA FIN DU CHAP MDRR LA FICTION EST PAS FINIE X))


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M'ENFIN BREF J'ESPÈRE QUE VOUS L'AVEZ AIMÉ QUAND MÊME X))

J'SUIS SADIQUE JE SAIS MDRR MAIS COMME DIT -colesenpai UN AUTEUR SE DOIT DE FAIRE SOUFFRIR SES PERSO X))

AVIS GENERAL DU CHAP ?

GABE ?
(MORTE OU PAS ?)

BEBE PETE ?
(MORT OU PAS ?)

TONY ?
(PAPA TRISTE OH MON BEBE)

HAPPY
(IL AVAIT L'AIR DE S'EN BALEC MDRR)

BREEEEF VOILÀ MDRR

SINON JE VOULAIS VOUS DIRE !

Je suis maintenant admin sur la page
marvelcommunauteFR
C'est un petit coin tranquille où seront posté des livres tels que des plot shop, des face claim, contest et  autres ! C'est vraiment cool, n'hésitez pas à aller voir ;)

ET AUSSI J'AI ÉTÉ VOIR DUNKERQUE AJD

LA VIE DE MA MERE CE FILM EST PUTAIN DE STRESSANT C'EST PAS POSSIBLE !
MAIS J'AI ADORÉ ET HARRY MON BÉBÉ C'ÉTAIT UN PETIT CON MAIS IL JOUE PLUTÔT BIEN CE CON MDRR

EST-CE QU'IL Y EN À ICI QUI L'ONT VU ?

(et j'ai chialer à la fin, mais chut c'était le stress accumulé)

LA BISE À VOUS BANDE DE FOUS !

M M D

PS:  m'en voulez pas trop mdrr

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