Chapitre 9. Visite en famille


Trois jours venaient de s'écouler depuis le procès des Castello, quatre depuis celui d'Amaro. Grey et Silvio avaient commencé dès le lendemain du procès d'Amaro à travailler sur les carnets, transmettant au fur et à mesure leurs découvertes auprès de Aaron, Nino, Carlos et Elena. Je savais que ce que cela contenait ne pouvait que m'énerver, j'avais donc choisi de laisser mes chefs gérer. Ma matinée me servit à aller recouvrir comme promis le couloir de la maison des Salvatore d'un tissu, prenant le temps pour bien le faire, recouvrant le tissu au niveau du sol d'un long tapis blanc alors que le tissu avait été pris dans un ton sombre. Je disposais un vase avec des lys blancs à proximité de l'entrée sur un guéridon, allant ensuite refermer les fenêtres aux différents étages alors que j'en avais profité pour aérer la maison pendant que je travaillais. Je pris une photo de l'entrée et du couloir avant de sortir, refermant derrière moi la maison, prenant tranquillement le chemin de l'appartement. Je parvins à l'immeuble après quelques minutes de marches, rejoignant l'appartement où j'embrassais John.


— Rebonjour mon amour.

— Rebonjour mon amour. Ça a été ?

Je hochais la tête, sortant mon téléphone pour lui montrer la photo.

— Tu penses que ça suffira ? Soufflais-je en appuyant mon menton sur son épaule en l'enlaçant.

Il regarda la photo tout plaçant ses mains sur celles de Naëlle, observant l'ensemble.

— Ça me semble bien. Oui. Souffla John. Tu as tout recouvert. Il me restera à passer la porte. Merci mon amour.

— J'ai recouvert tout le couloir et le sol oui.

— Tu as pu voir l'accès au sous-sol ?

— Oui, mais je n'ai pas été. J'ai juste aéré un peu pendant que je travaillais.

— C'est une pièce que je ne connaissais pas. Ça ne me dit vraiment rien.

— En même temps les enfants ne vont pas au sous-sol. Riais-je doucement.

— On aurait été capable d'inventer une nouvelle aventure en plus de la pièce secrète. Avoua-t-il en ricanant doucement.

— Du coup c'est vraiment mieux que vous l'ayez pas découvert. Trop de tunnel nuit à la solidité d'une maison.

John hocha la tête en souriant puis la tourna pour m'embrasser.

— Plus qu'à aller voir.

Je caressais tendrement sa joue, l'embrassant avant de me redresser.

— Mangeons un morceau avant.

— D'accord. C'est moi qui cuisine. Sourit John en se levant. Prends-toi un verre en attendant.

— T'as peur que je fasse exploser l'appartement ? Ricanais-je en m'allumant une cigarette.

— Je sais très bien que tu sais cuisiner. Ricana-t-il. J'ai juste envie de le faire. T'as bossé dans la maison ce matin alors je prépare notre repas. Deal ?

— T'as pas de preuves de ce que tu avances. Rétorquais-je dans un grand sourire.

— Salomon ne te vire pas de la cuisine quand tu vas l'aider. Si ça c'est pas une preuve. Ricana-t-il en allant vers la cuisine. Mais j'avoue être curieux de goûter un jour à ta cuisine.

— Tu y as goûté, mais tu étais plus concentré à goûter mon corps Monsieur Napoli je te rappelle. Répondis-je en m'appuyant sur le plan de travail.

— Et c'est un plat que j'adore. Sourit-il en se penchant pour l'embrasser dans le cou.



Il se redressa d'un coup en secouant la tête pour chasser une image qui venait de lui passer par la tête puis enroula un tablier autour de sa taille.

— Donc, repas. Souffla-t-il.

— Tu veux pas faire du japonais ? Ricanais-je doucement en haussant un sourcil.

— Oh bordel.. souffla-t-il en partant rapidement vers le réfrigérateur, restant quelques secondes la tête à l'intérieur pour se rafraîchir.

— Sinon une salade de fruits... Ricanais-je en m'éloignant.

— Izanami ! souffla fort John en sursautant à l'image qu'il venait d'avoir.

— Hm ? Chantilly.

— Oh bordel la chantilly. Inspira aussi vite John.



Il se frotta ensuite rapidement le visage puis attrapa ce dont il avait besoin et se mit devant le plan de travail, commençant sa préparation tout en prenant de grandes inspirations. Il hacha alors plus que rapidement tout ce qu'il attrapait, inspirant puis expirant comme il pouvait, baissant de temps en temps son regard vers son tablier en jurant en sicilien.

— Ça a l'air dur non ?... Ton plat.

— Tendu, tendu, tendu.... Souffla John en continuant de hacher.

Je m'avançais de nouveau vers le plan de travail, observant ce qu'il hachait depuis plus de dix minutes en m'appuyant sur ma main.

— Tu attaques le plan de travail tu sais ?

Il stoppa son geste en levant sa main avec le couteau puis grimaça et tournant la tête vers elle.

— Oups.

— C'est bas de t'attaquer au plan de travail. En plus je sais même plus ce que tu découpais. Ricanais-je.

— Tu crois que le plan de travail est aussi solide que celui de l'école ? sourit-il en levant un sourcil tout en posant le couteau derrière lui. J'ai très envie de manger du Dragon.

— Ah bah oui maintenant que tu as préparé la garniture ! Riais-je


Il retira son tablier avant de retirer son haut puis prit un morceau de viande cru qu'il glissa dans ma bouche et me souleva pour m'asseoir sur le plan de travail.

— Dans ce cas, on a plus qu'à passer à table. susurra-t-il en parcourant mon cou tout en ôtant mon haut.



Angélina vint nous retrouver à l'appartement à 14h, et je terminais de me préparer, lui servant un café.

— On va y aller en voiture comme on va sûrement reprendre des choses.

— Oui. D'accord. sourit Angélina après avoir remercié Naëlle pour le café.

— Oh salut Angie. Sourit John en sortant de la cuisine.

— Salut John. Sourit Angélina. Oh dis-moi. Je n'ai pas eu le temps de t'en parler avant, mais, tu penses que ce serait possible que je reparte finir ma formation au temple ?

— Finir ? Oh euh... Oui. Oui pas de problème. Souffla John. Je contacterai le temple à notre retour à la demeure.

— Super. Merci.

— Hm. Chéri, il va te tuer pour son plan de travail. Ricanais-je l'air de rien en buvant mon café.

— Oh bordel Angelo ! grimaça John. Chui mort !

— Grave. Souriais-je.

— Mais qu'est ce que t'as fait ? demanda Angélina en ricanant.

— Euh... J'ai... J'ai cuisiné. Et... Euh... Avec peut être un peu trop de... passion.

— Ok. Fais-moi penser à éviter de te poser certaines questions. Ricana Angélina.

— Vilain samurai. Soufflais-je avec un sourire en coin.

— Oh toi ! souffla John en la menaçant d'une fessée de la main.

— J'ai rien fait moi. Rétorquais-je

— Oh vraiment ? Japonais, salade de... Oh bordel. Souffla John en repartant vers sa chambre. Dix minutes. Je reviens dans dix minutes... Douche... ouais c'est bien ça.

— Chantilly.. Viande ! Gueulais-je avec un grand sourire.

— Izanami ! hurla John depuis la salle de bain.


Angélina éclata de rire en secouant la tête, reposant de justesse son café qu'elle était à deux doigts de recracher.

— Donc cuisine. Sujet à éviter.

— Oh.. Tenues aussi. Ricanais-je en m'allumant une cigarette. Mais ça permets de garder son esprit sur des choses plus légères au moins.

— La technique à l'air de fonctionner. Ricana Angélina.

— C'est que j'ai utilisé la première fois pour l'amener au premier. On va voir si je dois recommencer aujourd'hui ou pas.

— Oui. J'espère que ça ira. Souffla Angélina en reprenant son café.


John revint quelques minutes plus tard, à nouveau doucher et habillé et rejoignit les deux en se pinçant les lèvres.

— Désolé. On peut y aller quand vous voulez.

— Allons-y, monsieur chantilly. Souriais-je en me levant.




John gémit aussi vite en levant la tête vers le plafond puis se passa la main sur son visage avant d'aller attraper sa veste. Je ricanais en allant enfiler ma veste, amenant les deux vers la voiture. Il ne fallut pas longtemps pour arriver devant la maison et je me garais, posant mon regard sur John.

— Respire d'accord ? Tu l'as déjà fait.

John ferma les yeux avant de prendre une grande inspiration puis hocha lentement la tête en les rouvrant.

— Ok. souffla-t-il en posant sa main sur la poignée de la portière.

Je descendis de la voiture, m'allumant une cigarette en faisant le tour, prenant sa main tendrement en refermant la voiture.

— Regarde-moi mon amour.


John tourna la tête vers moi en focalisant son regard sur le mien tout en continuant d'inspirer en serrant sa main.

— Tu as d'autres souvenirs d'eux, tu en as retrouvé beaucoup lors de notre visite. Tu veux bien nous raconter ta mission secrète que tu avais avec ton cousin ?

— Une mission secrète ? Ça m'intéresse. Sourit Angélina.


John tourna la tête vers Angélina avant de ramener son regard sur moi en souriant légèrement.

— On devait trouver une salle secrète. Et surtout comment y entrer... commença John.

— Tu m'as pas dit comment vous avez entendu parler de cette salle secrète d'ailleurs !

— C'est quand on quittait nos chambres certains soirs pour aller à la salle de jeux... On avait vu ma tante et mon oncle entrer dans le bureau et quand on s'approchait pour les espionner, ils étaient plus là. Au début on a cru à de la magie, mais après on a pensé à une salle secrète.

— Ohh... D'où les tunnels...

— Des tunnels ? s'étonna Angélina.

— Hmhm. Sous le plancher de la salle de jeux. Sourit John. On pensait pouvoir trouver un passage jusqu'en dessous de la salle secrète. Et... Y avait le bruit pour nous guider dans la bonne direction.

— Vous creusiez comment au fait ? M'étonnais-je en l'amenant sur le perron.

— Bah Franco m'avait offert le couteau pour sculpter mes chevaux alors Francesco avait piqué une louche dans la cuisine pour dégager ce que je creusais.

— Oh merde. John ! ricana Angélina.

— Eh ! C'était super sérieux. On a même dessiné des plans.

— De vrais aventuriers. Ricana Angélina.

— Mais du coup, vous faisiez des expéditions dans le bureau pour trouver l'entrée quand même non ? Sofia en parlait dans son journal.

— Oui. Pour trouver le bouton d'ouverture de la salle. On... ricana doucement John. On venait voir ma tante l'air de rien. On lui posait parfois de question en tournant dans le bureau. Ou des fois c'était Francesco qui posait des questions pendant que je cherchais. On avait vu la technique dans un dessin animé, je crois.


J'en profitais pour ouvrir la porte, me tournant vers John.

— Très discret. Ricanais-je. C'était votre occupation principale cette mission ?

— Le soir oui. La journée on préparait la mission Ranch ! sourit fièrement John.

— Oh les dessins ! Devinais-je.

— Hmhm. Sourit John en hochant la tête. Fallait tout organiser.

Je caressais tendrement ses joues, lui souriant.

— Maintenant, tu te focalises uniquement sur ces images-là. Toute celle qui te viennent, je ne veux que celle-là dans ta tête d'accord ? Peux-tu regarder l'entrée ?



Il inspira avant de tourner lentement la tête vers l'entrée, serrant plus fort ma main en se concentrant sur ses images puis observa automatiquement le sol avant de relever la tête en la secouant.

— Ranch... Mission... souffla-t-il doucement. Tunnels....

— Critique pas mon tapis il est très beau. Vous avez pas fait de tunnel au rez-de-chaussée au moins ? Demandais-je en le faisant avancer.

— Au rez de... euh non... répondit John en réfléchissant. Oh ! Derrière le meuble... Oui. Une cachette dans la cuisine.

— Bordel, mais t'avais pas volé ton surnom !

— Un surnom ? ricana Angélina. Seulement un ?

— Le petit diable.

— Pas volé, c'est certain. Ricana Angélina alors que John se pinçait les lèvres comme un gosse prit en flag.

— Clairement ! Ricanais-je.

Je me stoppais dans le couloir avec John, embrassant sa main tendrement.

— Voilà, tu es entré, tu vois que tu as réussi. Souriais-je. Et si tu montrais les étages à Angélina ?

— D'accord. sourit tendrement John en hochant la tête avant de m'embrasser dans le cou.

Il embrassa ensuite ma main puis tourna la tête vers Angélina qui lui souriait.

— Je te suis petit diable.



Il ricana doucement puis se dirigea vers les escaliers. Je les observais monter, allant visiter le rez-de-chaussée, me dirigeant ensuite vers le jardin qui contenait plus une grande terrasse qu'autre chose. Enfin grande... Pour la ville quoi. Je regardais les vélos pour enfants et les jouets, m'allumant un mélange pour m'empêcher de ressentir ce pincement au cœur en repensant à ce que m'avait dit les parents Salvatore.


John et Carla auraient pu avoir une vraie vie de famille si Amaro n'avait pas tout détruit par folie.

C'était d'une cruauté et d'une injustice sans fond...


— Oh.. Tiltais-je avant de fouiller dans mon téléphone.



J'envoyais la vidéo de la découverte de la salle secrète à Angelina, rangeant mon portable tout en fumant. Je restais un moment à fumer dehors, rentrant quand j'entendis descendre, souriant à Angélina avant de monter rejoindre John, le trouvant en haut de l'escalier.

— Promis j'ai pas mis de piège en bas. J'ai vu vos vélos dans le jardin.

— Notre premier circuit. Sourit John. J'arrive... Je...

— Ok Samurai. T'as déjà assuré. J'prend le relais. Sourit Shiro. Allons voir les bolides.

— Laisse-le essayer. Je sais à quel point c'est difficile, mais il peut y arriver crois-moi, même si ça fait mal. Il a juste besoin de prendre le temps. Soufflais-je en m'avançant pour enlacer Shiro. Laisse-le essayer mon amour.


Shiro me regarda en se grattant la nuque puis hocha lentement la tête en fermant les yeux, laissant John les rouvrir. Je caressais tendrement les joues de John, lui souriant.


— On a notre temps d'accord ? Tu veux qu'on parle de quand vous descendiez ? C'était pour les repas ou jouer dehors ?

— Les deux. Souffla-t-il enfin quand il faisait beau ou suffisamment chaud. Je... J'ai regardé l'ordinateur de Franco... Tu savais qu'il voulait que... Qu'il avait demandé que Carla et moi ont... Y a plein de mail avec mon père.

— Les parents Salvatore me l'ont appris oui... Soufflais-je. Je voulais pas enfoncer le clou...

— Le matin il lui avait dit presque oui et... le soir il répondait non.

— Je suis désolé. Murmurais-je en le serrant contre moi. Qu'il ait pu tout détruire comme ça dans sa folie...

— Je saurais lui faire regretter... Pour chacune des vies détruites. Souffla doucement John. Il m'a pris ma famille, mes souvenirs... Je serais patient. Bien plus que je n'aurais pensé.


Je hochais la tête dans son cou, caressant doucement son dos.

— On essaye de descendre ?

— Va bien falloir descendre oui. Ricana doucement John.

— Je suis là, je ne bouge pas, alors focalise-toi que sur les bons moments ici d'accord ? Je sais que c'est compliqué, mais tu peux y arriver. Il n'y a rien qui t'attend en bas à part Angélina..

— Y a rien que l'on ne puisse faire... souffla-t-il avant d'inspirer.


Il ferma les yeux en cherchant un souvenir lié à l'escalier puis étira un léger sourire en les rouvrant, hochant la tête en me regardant Naëlle.

— Tu... Tu m'attends une minute ?

— Bien sûr. Souriais-je


Il m'embrassa dans le cou avant de repartir rapidement dans la salle de jeu, allant directement dans sa cachette à sculpture puis revint vers moi avec deux longs cartons.

— Prête pour l'aventure ? sourit-il comme un gosse en me tendant l'un des cartons.


J'alternais mon regard entre le carton et John, me demandant s'il était sérieux, constatant que oui.. Il l'était...


Bon bah...


Si je meurs comme ça, c'est classé au top 10 des morts de merdes on est d'accord ?


— Après vous petit diable.

— Ok ! Pense à t'incliner dans le virage du bas. Sourit-il les yeux brillant en s'installant sur le carton.

— Ok.

— Ça va là-haut ? demanda Angélina du rez-de-chaussée.

— Recule toi !

— C'est parti ! hurla John en s'élançant sur le carton poussant un cri d'assaut.

— Bordel... Marmonnais-je en me frottant les yeux.


Je me mis tout de même en position, priant pour ma survie avant de m'élancer, prenant le virage... Avant de me prendre le dos de John, ricanant en me frottant le visage.

— Il est vraiment proche ce mur. Riais-je. Ça va mon amour ?

John ria aux larmes aussi vite en hochant la tête, restant les fesses à terre alors que ses jambes étaient pliées contre le mur.

— Bordel, on descendait moins vite avant. Ria-t-il.

— T'es un grand malade ma parole. Ria Angélina en le voyant faire.

— Le poids d'être un adulte ! Riais-je en me levant avant de l'aider à se lever.

— Merci mon amour. Ria John en se levant tout en se frottant les fesses.



J'entrainais les deux dans le rez-de-chaussée, me stoppant sur la terrasse pour m'allumer une cigarette alors que les deux regardaient la cuisine. John continuant de se frotter les fesses en souriant.


Aucun doute qu'il allait encore montrer une de leurs conneries...

Impression se confirmant avec sa tête d'innocent.


— Qu'est-ce que tu as montré comme bêtise encore pour faire cette tête-là ?

— Notre cachette pour le ravitaillement des tunnels. Sourit John en se pinçant les lèvres.

— Bordel vous étiez vraiment pas tenable ! Riais-je

— On était super sage. Ricana John.

— T'as creusé des tunnels à la louche ! Riais-je en terminant ma cigarette.

— Ah non. Ça c'était Francesco. Moi J'avais le... Ouais ok. ria John.

— Allez, allons voir ce sous-sol.



Je l'emmenais vers l'accès au sous-sol, descendant avec lui et Angélina. Les lumières s'enclenchèrent automatiquement une à une, faisant apparaitre un long stand de tir face à eux ainsi que des armoires contenant des armes et une autre remplit d'albums photos et de cassettes vidéo. Je me dirigeais vers les armes, les observant avec attention sans y toucher.

— Elle devait s'entrainer aussi. Remarquais-je.

— Je n'me serais jamais douté dans tel endroit. Souffla John en venant près de moi.

— Il était de la Cosa. Souffla Angélina en venant nous rejoindre. Ça reste logique.

— Beaucoup à l'époque étaient des brêles.. Tu vois bien le ménage que font Carlos et Elena..



Je continuais de parcourir les armes des yeux, me dirigeant vers les cibles, souriant en regardant les dates et les deux prénoms, les reposant afin d'aller voir vers les photos et les vidéos, m'allumant un mélange par réflexe. Angélina vint près de moi avant de tourner la tête vers John en pointant l'armoire contenant les albums et vidéo.

— Je peux ?

— C'est chez toi. sourit John avant de continuer de visiter les lieux.


Angélina hocha la tête en souriant puis ouvrit l'armoire, observant ensuite les titres notés sur les dos.

— Oh ! Celui-là doit être sympa. Sourit-elle en prenant l'album. Piccoli Diavoli...

— T'as un carton carrément... Pas demander le nombre de connerie. Ricanais-je doucement.

— Je sens que je vais le regretter. Souffla John en se grattant la nuque.


Elle le parcourra en souriant, découvrant chaque photo de John enfants, ricanant sur certaines à la vue de certaines expressions qu'il avait encore.

— Et un zoom sur la moue. Ricana Angélina en me montrant la photo.

— T'étais trop mignoon ! M'extasiais-je

— Et merde... souffla John.

— Oh et ce sourire pleine dent ! Oh non pardon. Ricana Angélina. Il en manque une.

— C'est le jour où j'ai perdu ma première. Répondit John en secouant la tête.

— Ah là attention. Photo de monsieur Napoli dans son bain.

— Hey ! Sérieux. Y a d'autres albums ! râla John en retenant sa moue.

— Pas faux. Regardes les autres. Ricanais-je en prenant l'album pour aller regarder les photos.

— Ok. ricana Angélina en attrapant celui nommé « L'artista ».



Elle ouvrit l'album doucement, découvrant alors son frère et forcément le même style de photo, ricanant sur certaine où un petit diable faisait le clown en arrière-plan. Je repris ma découverte de l'album, souriant en le voyant grandir au fil des photos.

— Ça promet si ton fils tient de toi. ricana doucement Angélina.

— L'acrobate tient de sa mère. La demeure est sauve. Ricana doucement John en venant attraper l'album nommé Carla.


Il s'installa au sol avant de l'ouvrir, puis laissa un sourire s'étirer sur ses lèvres en soupirant. Je m'avançais pour me mettre derrière lui, souriant en découvrant Carla bébé.

— Elle était trop mignonne !

— Oui. Très craquante. Jo devrait aimer les voir. Sourit John. Et tu me crois si je te dis sage et silencieuse ?

— Tu as bien vu Iris bébé non ? Rétorquais-je en haussant un sourcil.

— Oui. Ricana John en continuant de tourner les pages. Oh sur celles-ci elle est avec Sofia. Sourit tendrement John en fixant les photos. C'est dommage qu'elle était trop petite pour se rappeler d'eux...

— Elle sera déjà contente de les voir. Souriais-je en caressant son cou.

— Ça fait beaucoup de souvenirs... Et je suis le seul à... souffla John en refermant l'album. Au moins Angie va pouvoir les découvrir vraiment. Avec de vrais albums faits par eux.

— Beaucoup de souvenirs et certains que tu as oubliés aussi. Ces photos et ces vidéos peuvent autant te servir qu'à Angélina et Carla.

— C'est d'abord à Angie d'en profiter. Sourit John. Après pour celui me concernant... Eh bien... Disons que c'est bien si tu le garde pour toi hein. Ricana-t-il doucement. Y a surement du compromettant dedans.

— Oh pourtant je suis sûre que ta sœur adoreeeraiit les voir. Surtout le concours cul nu entre toi et Francesco.

— Je me retrouve pris au piège par Pandora. J'suis foutu. Ricana John.

— Vas falloir négocier dur chaque photo. Souriais-je

— Ça tombe bien on a Donjon et marathon pour entamer les négociations. Ricana-t-il. Je vais devoir m'y consacrer corps et âme.


Il se retourna pour m'embrasser puis leva la tête vers Angélina.

— Mettons tout ça dans des cartons. Tu pourras les regarder tranquillement à la Demeure. Il est temps qu'on rentre.

On rangea les albums et les vidéos dans des cartons, remontant ensuite le tout et je me stoppais devant le salon.

— Il reste des albums dans le salon si tu veux Angélina.

— Oh super. Je vais les chercher. Sourit Angélina en rejoignant le salon.

— Pendant que j'y pense. Souffla John en me regardant. J'aurais besoin de toi ou de Peter pour régler un problème... Médiatique.

— Oh... Oui bien sur. On regardera ça.

— Merci. Sourit John avant de se mettre en route vers la voiture avec son carton.



Je l'observais faire, rapprochant les cartons pour les mettre sur le perron afin de lui faciliter la tâche et il me sourit tendrement en revenant récupérer les suivants, les chargeant tour à tour dans la voiture avant de fermer le coffre.

— Je vais refermer tous les rideaux et vérifier que tout est bien fermé, j'arrives. Souriais-je avant de l'embrasser.

Je fis le tour de la maison, revérifiant tout avant de me diriger vers les lys, les caressants du bout du doigts.

— La vérité a enfin éclaté. Soufflais-je. Et vous n'avez pas fait tout ça pour rien. Merci d'avoir autant aidé à le coincer.




Je refermais la porte à clé, rejoignant Angélina et John que j'embrassais, montant dans la voiture. John se cala contre le dossier de son siège et me laissa les ramener à l'immeuble. On arriva quelques minutes plus tard, montant directement à l'appartement où je me versais un verre, prenant place sur le fauteuil en soupirant doucement, observant John.


— Tu as vraiment bien avancé, je suis fière de toi que tu sois parvenu à faire tout ça.

— Je n'aurais pas fait tout ça sans toi. souffla John en se servant un saké. C'est toi qui as fait tout ça. C'est un cadeau inestimable que tu m'as fait. Sourit-il tendrement en revenant vers moi pour m'embrasser. Merci mon amour.

— Je suis heureuse d'avoir pu t'aider. Souriais-je en caressant sa joue.

— Tu es une femme incroyable Izanami. sourit-il tendrement. Et je suis toujours aussi fier et heureux de me tenir à tes côtés. Je t'aime.

— Je t'aime mon samurai. Soufflais-je avant de l'embrasser. Et si on rentrait retrouver les trolls ?

— Ils me manquent. Oui. Sourit-il. Rentrons à la maison retrouver les enfants.

— J'envoie un message pour prévenir le pilote et les autres.



Je prévins le pilote, me posant contre John tout en buvant mon verre. On prit la route une heure plus tard, chargeant directement la voiture, décollant peu de temps après. Le vol et le décalage nous firent arriver à la demeure vers 20h30, pile avant le repas, nous faisant accueillir par les quatre trolls justement.

— Bonsoir vous quatre. Souriais-je avant de les embrasser.

John posa un genou à terre en leur souriant tendrement puis ouvrit ses bras pour les enlacer.

— J'ai le droit à un câlin ?

Ils l'enlacèrent aussi vite et je souriais tendrement en caressant leurs crânes, rentrant pour saluer la demeure.

— Bonjour Naë. J'ai tout le stock de vidéo que tu m'as demandé. Ça va aller ?

— Bonjour bébé. Souflais-je en l'enlaçant. Oui, je prendrais juste le temps c'est tout. Même papa tu as trouvé ? M'étonnais-je en reculant.

— Étonnement, oui. Autant que maman.

John posa doucement sa main dans mon dos, le caressant tendrement avant de m'embrasser dans le cou.

— Si tu veux bien, on le fera ensemble.

— Je veux bien oui. Souriais-je timidement en tournant le visage vers lui.

Il hocha la tête en me souriant tendrement tout en posant une main sur ma joue puis m'embrassa sur le front.

— On fera comme ça alors. Sourit tendrement John.

— Naë c'est peut-être...

— Ça va aller. Et puis il va falloir que tu les regardes aussi, tu sais...


Il hocha doucement la tête, se frottant la nuque et je caressais tendrement sa joue avant de baisser le regard, attrapant Hakan pour le porter.

— Ma gueule d'ange. J'ai obtenu plein de photo de papa tout bébé comme toi, et tu sais quoi... Vous avez la même bouille à connerie !

John grimaça en se grattant l'arrière de la tête alors que Carla levait un sourcil en le regardant.

— Très intéressant comme info. Sourit-elle.

— Fais pas la maligne. On a ton album aussi. Ricanais-je alors que Hakan imitait son père en riant.

— Un album de... Oh merde... souffla aussi Carla. Et... compromettant à quel point ?

— Moins qu'un concours de cul nu. Répondis-je avec un grand sourire.

— Oh bordel. Souffla John en plaquant sa main sur son visage avant laisser tomber sa tête.

— Et juste sur des photos... J'imagine même pas les vidéos du concours... Riais-je

— Adieu dignité... souffla doucement John la tête toujours baissée.



Je ricanais alors que Hakan riait de plus belle à la tête de son père, et je le tendis à John alors que Hakan tendait ses bras vers lui. J'en profitais pour aller chercher ça dans le coffre de la voiture, revenant vers Carla pour lui tendre l'album à son nom.

— Tiens. Souriais-je.

— Oh super ! Sourit Carla en prenant. Merci.

— De rien. Ça se prend toujours des photos à découvrir. Souriais-je

— Mes premières vraies photos. Sourit Carla en regardant la couverture de l'album. Carrément que ça se prend.


Je caressais tendrement sa joue, l'embrassant sur le front et Carla m'enlaça aussi vite en la remerciant à nouveau.

— Beau brun, interdit de rire. D'accord ? ricana-t-elle en repartant vers Jo avec l'album.

— C'est celle qui s'est foutu de moi pendant des mois sur mes photos qui ose me dire ça ? Un peu que je vais me moquer ! Rétorqua Jo.

Carla ricana aussi vite en haussant les épaules.

— Bon. J'aurais tenté votre honneur.

Je ricanais doucement, enlaçant Aylan en l'embrassant sur la tempe alors qu'il venait m'enlacer.

— Et si on allait mangeait ?



On profita d'un repas de famille plus détendu et plus calme, allant ensuite prendre le temps de coucher les enfants. Je m'allumais un mélange en descendant au sous-sol, passant par le bureau d'Ali avant de me diriger vers la première cellule, observant Paola attachée puis j'allais voir la cellule pour Vincent, observant les spots qui l'empêchait de voir quoi que ce soit. Je haussais un sourcil en voyant qu'il n'avait plus qu'un slip sur lui, devinant qu'il avait dû subir une fouille profonde version Ali avant d'être mis dans cette cellule avec ce seul vêtement... Enfin ça et le collier.


Je me connectais à la cellule de Paola, prenant la caméra pour l'afficher sur l'une des faces à côté de Vincent, tapant un message.


« Vous serez heureux de savoir qu'elle vous a suivi dans le rang de nos jouets dans sa grande dévotion pour vous. Bienvenue cher prisonnier 202015. Prenez vos aises. C'est ici que vous finirez votre vie. »
Je m'amusais à déclencher le courant électrique dans les chaines de Paola, un sourire en coin s'étirant sur mes lèvres alors que je ne pouvais nier prendre mon pied à l'entendre hurler.


— Allez vous faire foutre ! Bande d'hypocrites !

Je ricanais ouvertement, croisant les bras en observant Paola hurler de douleur.

« Peut-être, mais moi au moins je ne mens pas quand je dis que je sais faire hurler comme personne. Mais vous allez voir, mes deux maris sont vraiment experts aussi dans ce domaine. »


Vincent releva aussi vite les sourcils en lisant le message puis ricana nerveusement.

— Oh le Dragon... Le spectacle te plait ? Oui. J'en suis sûr. sourit-il en levant un sourcil. Dis moi, ça t'excite ? hein ?


Je ricanais de plus belle, secouant la tête tout en continuant de fumer, l'observant alors que l'autre continuait de hurler... Et il avait l'air de s'en foutre comme de l'an 40.

Tu me diras on parle d'un mec qui a buté la femme qu'il prétendait aimer, et son propre fils alors bon...


Il ricana en ne voyant pas de réponse puis secoua lentement la tête.

— J'aurais adoré te faire hurler aussi Dragon. Tu as aimé être ma proie ? Dis moi ?

— Ouais l'espoir fait vivre mec. Ricanais-je alors que je savais qu'il pouvait pas entendre. C'te fantasme est tellement cliché en plus... Vraiment... Soupirais-je. C'est quoi sa prochaine phrase ? Je t'aurais fait hurler comme personne ? Oh ou mieux... Ah ah je suis meilleur dominant que John ! Il se rappelle que s'il s'emballe, il va douiller de la queue ? Oh Bordel Ali, faudra raviver tout ça au fait. Faudrait pas que ça cicatrise hein.



Je m'amusais ainsi à ne répondre que toutes les X questions, complètement à côté en plus, finissant par entendre entrer.

— Izanami ?

— Mon samurai ? Pardon j'avoue je m'amuse avec tes jouets. Enfin le bruits de fond c'est plus par pur plaisir, et lui... ça m'amuse encore plus de le faire douter de savoir s'il parle dans le vent ou pas. Ricanais-je en posant mon regard sur John.

— Et alors ? Ça donne quoi pour l'instant ? ricana-t-il en venant l'embrasser dans le cou.

— Il attend ma réponse sur... oh.. si ça m'excite de le mater. Je crois..


Je me penchais vers l'écran, me rallumant un mélange avec un sourire en coin, modifiant la fréquence des décharges sur l'autre tout en tapant mon message.

« Tu sais que ta tigresse était vraiment déçue de plus pouvoir compter sur ta queue... »

— J'suis sûr que tu l'aurais aimé aussi. Ricana Vincent.

John se redressa aussi vite en inspirant puis hocha la tête.

— Ok. J'voulais attendre un peu, mais au final ça fera plaisir à mon vieil ami. Souffla John en rouvrant la porte. Je reviens.


Il sortit de la pièce avant de refermer la porte puis se dirigea vers une autre salle, entrant quelques minutes plus tard dans celle de Vincent en étant accompagné.

— John ? Souffla Vincent en tournant la tête vers lui.

— Alors. Je vais faire les présentations. Voici mon ami Baker. Andrew de son petit nom, et il est vraiment, vraiment sympa. Souffla John avant de tourner la tête vers Baker. Hein t'es sympa Andrew ?

— Oui. Monsieur Napoli.

— Bien. Je n'ai qu'une parole. Sourit John. Étonne-moi, fais-moi plaisir et tu auras ce que je t'ai promis.


Baker hocha la tête alors que Vincent cherchait à comprendre ce que John faisait, le voyant ensuite tapoter l'épaule de l'homme avant de repartir de la salle. Il rejoignit ensuite tranquillement la pièce où se trouvait Naëlle et referma la porte en souriant.

— Aurais-tu une cigarette mon amour ? demanda-t-il en prenant une chaise.

Je lui tendis la cigarette, faisant taire l'autre, avant de pencher la tête vers John.

— Pardon je suis en mode connasse. Prévins-je.

— Commence pas à m'exciter. Ricana John en s'allumant la cigarette.


Je ricanais avant d'activer le micro, haussant un sourcil alors qu'un sourire narquois s'étirait sur mes lèvres.

— Monsieur Baker. Contente que mon mari n'ait pas touché à vos doigts, ça aurait été dommage avec un doigté pareil. Susurrais-je

Je coupais le micro, me redressant en ricanant, me rallumant mon mélange.

— Fin bon je dis ça, mais c'est souvent de l'arnaque les réput'. Réfléchis-je. Fin on s'en fout.

John ricana avant de se pencher pour activer le micro.

— Vous pouvez répondre Andrew. Sourit John.

— Monsieur Napoli a été gentil oui. Il m'a laissé mes doigts. Merci madame pour mon doigté. Souffla Baker. Mais je... Je n Je... Je peux..

— On peut commencer Drew-drew. Je regarde. Sourit John avant de couper le micro.


Baker hocha la tête avant de se diriger vers une armoire, fouillant dedans sous le regard interrogateur de Vincent.

— Je sens qu'il va être créatif. Sourit John en fumant sa cigarette.

— T'as tout cassé Baker c'est nul. Boudais-je. Encore un mec que t'as charmé ?

— Non. ricana John. Nous avons eu de grandes discussions sur le respect. Et il a été très... attentif. D'ailleurs, s'il réussit à me faire plaisir avec cette séance, il gagne trois cadeaux de ma part. Tout va dépendre de sa prestation.

— Bien ce que je dis l'es tout pété. Je vais jouer un peu avec l'autre du coup.



J'embrassais John avant de me lever, allant dans la salle de l'autre conne où j'activais les chaines pour la mettre dans la position que je voulais. Je fis un coucou à la caméra, cherchant dans l'armoire ensuite avant de trouver mon bonheur, revenant avec une lame pour découper son bas, lui installant ensuite le dispositif. J'appliquais la pince sur son clitoris, enfonçant un objet métallique dans chaque trou, serrant les sangles avant de me reculer, revenant dans la salle où se trouvait John pour activer le voltage variable sur ce que je venais d'installer à l'autre. Mon sourire s'étira aussi vite à l'entente de son hurlement, et je m'appuyais sur ma main en soupirant de plaisir.


John ferma les yeux en souriant puis les rouvrit pour continuer d'observer Baker qui finissait d'installer une pompe à pénis sur celui de Vincent qui tentait de se débattre, hurlant contre Baker comme il pouvait.

— C'est très intéressant Andrew. Sourit John en activant le micro.

— John !

— Comme apparemment, tu es très attaché à tes... performances, je suis sûr que cet appareil peut te plaire. Continuons.

Andrew hocha la tête puis activa le dispositif, faisant hurler Vincent aussi vite, ses cris se mêlant à ceux de Paola.

— Oh c'est bon Ali, c'est rouvert ! Déso je sais que t'es déçu.

John tourna la tête vers moi en levant un sourcil puis se gratta le crâne.

— Hm ? Oh parce que je lui disais qu'il devait penser à pas laisser la plaie se refermer, mais c'est fait.

— Oh. D'accord. souffla John.


Andrew vint ensuite installer des pinces croco sur les tétons de Vincent puis activa la batterie à laquelle ils étaient reliés, relançant de plus belle les hurlements du jouet. Je me levais pour sortir de la salle, entrant dans celle où se trouvait les deux, fouillant dans l'armoire pour en sortir un phallus en métal relié à un câble, le tendant à Baker.

— Et si tu montrais à John ta force Monsieur Baker ? Souriais-je

— Oh merci ! Sourit Andrew en alternant son regard entre l'objet et moi avant de le prendre.

Je posais mon regard sur son jouet, haussant un sourcil.

— Et moi qui croyais que ça te faisait bander d'entendre ta tigresse hurler... Décidément. Soupirais-je en ressortant de la salle pour rejoindre John.

— Naëlle ! hurla Vincent tout en enchainant par des cris de douleurs.

Baker montra alors avec enthousiasme sa force à John, se défoulant clairement sur Vincent en souriant.

— Excellent. Vraiment excellent. Soupira John en fermant les yeux.



Je m'assis sur John, écrasant mon mégot en posant ma tête dans son cou, écoutant les cris en même temps et il enroula ses bras autour de moi tout en gardant les yeux fermés, étirant un large sourire à l'entente de cette douce musique.

— Oh faudrait réunir les deux amants tiens. Pillule bleu pour l'un & excitant pour l'autre. Faut juste attendre que ça soit bien cramé pour elle sinon c'est pas marrant. Tiltais-je dans le cou de John.

— Alors ça, si c'est pas créatif. Ricana John. Bravo pour l'idée. Ça me plait beaucoup. Surement ton côté sentimental

— Clairement. Soufflais-je avant de l'embrasser. Mais ça me donne faim salle de torture et toi en même temps, tu sais ?

— Alors monte un peu le son et occupons-nous de cette faim. Susurra John en m'embrassant dans le cou tout en laissant ses mains parcourir mon corps.

Je me penchais vers l'ordinateur, désactivant les caméras dans notre pièce, augmentant le son des deux avant de pencher la tête vers John.

— J'active le micro pour eux ou pas ? J'ai désactivé les caméras pour ici. Mais Ali peut continuer de surveiller les deux.

— Et bien active. Sourit John. Je suis sûr qu'au moins un des deux va apprécier, bon peut être Baker aussi. Mais il a été très bien.



J'activais le micro après avoir hoché la tête, l'embrassant tout en le déshabillant, venant m'occuper de son sexe aussi vite tout en laissant mes ongles venir griffer son corps. John grogna aussi vite de plaisir puis bascula sa tête en arrière en agrippant mes cheveux. Je m'appliquais à le faire parvenir à deux orgasmes avant de me relever, me déshabillant tout en le fixant avant de grimper sur lui, l'embrassant dans la foulée. Il vint la mordre aussi vite dans le cou en m'agrippant fermement par les fesses, laissant libre court à notre envie tout en ne retenant pas nos bruits et commentaires.


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