Une matinée « tranquillou » avec la famille bakugo (ce titre est trop long non?)

PDV IZUKULI DE CARAMEL

Le rideau placé à moitié devant la fenêtre laisse quelques rayons de soleil se faufiler dans la chambre du blond, éclairant une partie de son lit et des vêtements sales posés en chiffon au sol. La lumière naturelle émanant de l'astre diurne est la seule à éclairer la chambre et à la réchauffer. La fenêtre légèrement entrouverte laisse parvenir à nos oreilles le doux bruit du vent chaud, typique du printemps. Quelques oiseaux accompagnent la mélodie reposante du vent de leur vocalises. C'est assez plaisant... cette atmosphère me rend nostalgique, surtout avec Kacchan à mes côtés.

Cela me rappelle quand nous nous faufilions, sans l'accord de nos parents, dans les multiples parcs qui parsèment la ville. Nous nous amusions à espionner les passants, tels de vrai héros-agent secrets, à admirés les oiseaux qui passaient au dessus de nos petites têtes innocentes.

Nous nous la coulions douce, tandis que nous parents nous cherchaient partout, paniqués et inquiets que leurs enfants de 7 ans aient disparus.

*poof*

Sans que personne s'en aperçoive.
C'était la Belle Époque... quand Kacchan ne savait pas encore utiliser son alter, à tors et à travers...

Une période emplie d'innocence.

Un raclement de gorge grave vient me tirer de mes pensées nostalgiques. Kacchan a sûrement remarqué que je rêvassais.

J'enfile alors un de mes short all might au couleurs jaune et rouge en tissu léger, et passe une couverture marron, tout aussi légère, sur mes épaules, faute de pouvoir enfiler entièrement un t-shirt.

Kacchan, se tenant debout à côté de moi fait de même, tout en me lançant parfois des regards furtifs et fuyants, que je ne sais comment interpréter.

Je rêve ou il essaie de me matter discrètement ?!

Je ne peux pas lui en vouloir, je suis pas mieux, mais qu'il soit plus discret !

On peut dire modestement que je ne me prive pas, mes yeux en prennent plein la vue. En même temps, je ne vais pas laisser une occasion pareil de reluquer Kacchan torse nu, et de surcroît en caleçon, enfin plus pour longtemps vu qu'il enfile vite fait un short semblable au mien mais dans les teintes grises et noires.

Ça serait du gâchis me direz vous !





(D'ailleurs, je me demandais, pour que son cul soit aussi rebondis, fait-il des squats ? Ou est ce qu'il a déjà essayé la chirurgie plastique ? Après je dis pas que ce n'est pas naturel hein... mais pour que ça soit aussi volumineux, ferme et rebondis, je pensais qu'il ne pouvais avoir que la chirurgie pour faire un miracle pareil)




Oh et surtout je ne reviverai sûrement pas une situation similaire à celle-ci de toute ma vie, donc autant en profiter tant que Kacchan ne commet pas un meurtre.

D'ailleurs, ça me surprend que l'explosif ne m'ait pas déjà étriper depuis longtemps après ce que j'ai fais ce matin...

peut être me réserve t-il quelque chose d'encore pire ?!

Pour résumé, Après que je lui ai fais cette sorte de « facial », je suis vraiment pas doué moi..., des explosions on commencer à crépiter à l'intérieur la paume de ses mains. Je me suis lever précipitamment afin de fuir, sauf que j'avais oublié que nous étions collés l'un à l'autre... C'est alors que Kacchan a eu la merveilleuse idée de tirer sur mon bras collé à lui et de me faire tomber à terre. Or, ma tête a heurté le pied du lit dans un gros bruit de fracas que même les voisins ont du entendre.

Je dois avouer que c'est douloureux, même vraaiiment douloureux. Pour vous dire, j'ai même eu la tête sonnée pendant quelques secondes et de légères gouttes de sang ont perlés à l'endroit de l'impacte, à l'arrière de ma tête.

Par la suite, quand le pétard mouillé, comme dirait Ochaco, s'est rendu compte de ma douleur, il s'est tout de suite calmé, m'a aidé à me relever et depuis ne parle plus.

Entre temps il s'est nettoyé le visage avec de l'eau, bien évidement. D'ailleurs j'ai cru qu'il allait éclater le miroir de la salle de bain tellement la rage coulait encore dans ses vaines.
Cependant, je l'ai remarqué tout de suite, il s'est contenu. Pour qu'elle raison, je ne sais pas. En tout cas ça ne lui ressemble pas...





La couverture beige posée sur les épaules musclée de kacchan glisse à moitié, après plusieurs minutes à essayer désespérément de la faire tenir.

Kats : Putain de merde !!

Il la saisit et la jette violemment devant lui, sans se soucier d'où elle allait atterrir. Celle-ci traverse la pièce puis se pose lourdement sur le bureau en bois foncé, d'où un journal laisse entendre un bruit de froissement sous le poids de la couverture.

C'est alors qu'une expression que je qualifierai de « ah meeerde » s'affiche sur le visage précédemment fermé de Kacchan.

Le blond accourt alors vers le bureau, m'entraînant avec lui contre mon grès, prend délicatement le bout de papier et essaie d'enlever les plis de froissement désespérément. Une expression inquiète remplace la précédente lorsqu'il réalise qu'il est presque impossible d'enlever des plis de froissements sur un journal dont le papier est très fin.

Un long soupire de la part du blond résonne à mes oreilles.

Depuis quelques temps, il n'arrête pas de soupirer, et je n'aime pas ça... Ça me donne la lugubre impression qu'il est fatigué de tout, de la vie.
Plusieurs questions, dont je n'aurai sûrement pas la réponse car je n'oserai pas les lui poser, fusent alors dans ma tête encore légèrement endolorie.


Pourquoi est-il si étrange ces derniers


temps ??? Cette question me tracas de plus en plus, et est de plus en plus présente dans mon esprit. Elle se renforce d'ailleurs avec son attitude de ce matin, avec ce papier hebdomadaire.
Il est étrange à se préoccuper autant d'un journal...

Izu : K-Kacchan, qu'est ce que c'est ?

Kats : Tu vois bien que C'est un journal ducon la joie.

Izu : euh ui, mais je veux dire... il y a quelques chose d'important à tes yeux dedans ?

Kats : Qu'est ce qu'il te fait dire ça ? - dit il sur la défensive

Cette réponse le rend encore plus suspect qu'il ne l'était déjà...

Izu : Tu n'a pas souvent été soigneux avec les objets... surtout avec un journal qui est récent et que l'on peut retrouver partout...

Un blanc de quelques minutes s'installe entre nous, le temps que mon ami d'enfance essaie de défroisser le journal en question, mais en vain. Les plis persistes.

Il le repose alors sur son bureau, voyant que c'est peine perdue, et se retourne vers moi, or sans m'adresser un seul regard.

Kats : La ferme Deku. On va déjeuner. - dit il en passant ses mains sur ma taille, et en me soulevant afin de me poser sur son épaule et de me porter ainsi, à la manière d'un sac à patate.

Izu : M-Mais qu'est ce q-que tu fais ?!

Il ouvre la porte de sa chambre et la balance violemment contre le mur gris de sa chambre. Il commence à descendre les escaliers d'un pas moux.

Kats : Ça ira plus vite comme ça.

Sa main libre qui me maintien sur son épaule musclée, viens se poser sur mon postérieur.




Mais qu'est ce qu'il fou ?!



Mes joues se teintes d'un rouge flashi et je commence à déblatérer un charabia incompréhensible, comme à mon habitude quand je suis gêné.

Kats : rah la ferme je t'ai dis !

La poigne sur mes fesses augmente et sa main vient emprisonner ces dernières plus fermement, plus sauvagement.

Je sens alors un léger « pétillement » vers mon bas ventre, comme une légère goutte d'excitation qui vient de réveiller le lac, même plutôt l'océan, qu'est ma libido.


Oh nan, manquerait plus que je bande et s'en est fini pour moi !


T'as pas intérêt à faire ça, Izuku Midoriya !


Ressaisit toi !

J'arrête donc de parler, trop gêné pour le faire. C'est alors que je sens la poigne sur mon postérieur se desserrer.

Kats : Ba tu vois quand tu veux ! - dit il d'un ton amusé

Fiou, heureusement qu'il a arrêté...

Izu : C'est pas sympa...

Kats : On va dire que c'est ma revanche pour ce matin, enfoiré. - dit il, un sourire malicieux et mesquin affiché sur ses lèvres, montrant ses belles dents blanches.

Arrivés en bas des escaliers, il se dirige dans sa cuisine aux couleurs claires et me pose sur une chaise se trouvant autour d'une table de taille moyenne. Je peux ainsi remarquer que trois paquets de céréales différentes, accompagnés de bols de lait nous attendaient.

Kacchan s'assoit lourdement à côté de moi et me tend une cuillère, ce sourire malicieux toujours dessiné sur ses lèvres rosies.



Qu'est ce qu'elles sont belles ses lèvres...

Elles ont l'air si douces.

J'ai envie de les toucher, de les caresser...





Wait





Hum





Mais à quoi je pense moi ?!!!





Je suis vraiment le stéréotype de l'adolescent qui ne sait pas tenir son engin reproducteur tranquille dans son pantalon.

Il faut forcément que je pense à des truc pas très catho h24 !

Quelle personne en infériorité intellectuelle je fais !


(Vous avez remarqué ? J'essaie de ne plus être trop vulgaire. Hehe. En tant que futur hero, je me dois d'être poli)

Kats : Y a que ça à petit-déjeuner, alors ne fait pas le difficile. - dit il en pointant les paquets de céréales.

Soudainement, nous sommes interpelés par de lourds pas se déplaçant à toute allure sur le parquet de la maison dans notre direction.

C'est alors qu'une Mistuki sauvage apparaît en provenance du salon et rentre en trombe dans la cuisine.
Elle porte un tailleur classique, jupe noir et chemise blanche.

Mistu : Comment ça « que ça » ?! Espèce de fils ingrat ! Si tu veux manger autre chose, démerde toi pour aller t'en acheter avec ton propre argent ! - Elle marque une pause et son regard se porte sur moi. Celui-ci change alors complètement et passe de sévère à doux - Oooh Izuku ! Comment vas-tu ? Que ça fait longtemps... waou tu a tellement grandit et changé ! - Elle passe sa main dans mes cheveux - Par contre tes cheveux, eux, non pas changé. Ils sont toujours aussi doux ahah.

Kats : La ferme la vieille ! J'ai pas que ça a faire ! Casses toi et retourne tricoter ! -dit il en tapant du point sur la table

Mistu : Mais quel fils ingrat, c'est pas possible !
Déjà que je me suis inquiétée parce que la voisine m'a dis que tu n'avais pas tes clés hier soir et que, de surcroît, tu avais ramené une fille à la maison-

Quoi ?!

Comment ça une fille ?!

Kats et Izu : Une fille ?!

Mitsu : Oui, désolée Izuku, ne te sent pas visé. Tu sais, Mme Sanada commence a se faire vieille et parfois ses yeux lui jouent des tours. - dit elle d'un air gêné.

Et c'est sensé me rassuré ? T-T
Elle m'a quand même pris pour une fille... snif. « Izukette Midoriya ».

Mitsu : En tout cas, tout ça pour dire que je me fais du soucis pour un fils ingrat qui n'est même pas reconnaissant de mes efforts. D'ailleurs, je suis parti en panique à la supérette d'à côté pour t'acheter des céréales et une boîte de capote. (Car c'est important de se protéger les enfants). - Elle hausse les épaules - Mais bien sûr, mes efforts n'ont encore servis à rien, comme toujours avec toi...

Blasée et surtout énervée, elle dépose sur la table de la cuisine, entre nos bols de lait, deux paquets de capotes et un tube de lubrifiant.

Mistu : Il y avait une promo « deux paquets achetés et un lubrifiant offert», du coup j'en ai profité - dit elle en haussant les épaules

Mitsu : Après vous n'êtes pas obligés de les utilisés hein... mais ça serait quand même bien de rentabilisé mon argent *clin d'œil* *clin d'oeil*.








Euh








...








Je rêve ou...

... Mme Bakugo serait une de ces folles dont fait parti Ochaco ?!

Comment c'est déjà le nom de leur secte ?

euh... les taoïstes ? Nan c'est pas ça... yaotistes ? Hmm, non plus... yaaaooo... Ah oui c'est vrai, yaoistes !

Je demanderai l'avis d'Ochaco sur la question. Apparemment elle possède un radar à yaoiste.

La cuillère se trouvant dans la main libre de katsuki se tord sous la pression exercée par le blond.

Je crois bien qu'il est énervé...

Mme Bakugo a du le sentir car elle commence a partir en faisant quelques pas en arrière, sûrement pour éviter une dispute matinale en ma présence.

Mistu : Ah oui et Izuku, Inko m'a appelé ce matin et m'a expliqué la situation. Tu peux rester autant que tu en a besoins, tu seras toujours le bienvenu - dit elle en m'adressant un sourire réconfortant.

Soudainement, son regard devient plus ferme.

Mitsu : N'est-ce pas Katsuki ?

Il ne répond pas, trop occupé à canaliser sa colère pour ne pas balancer des insultes à tord et à travers, et la table de la cuisine au passage...

Mitsu : *soupire* je vais prendre ça pour un oui. 

Elle regarde sa montre puis se dirige vers l'entrée et commence à se chausser.

Mitsu : Je vais devoir y aller les jeunes, le travail m'appelle. Je ne rentrerai que vers 19h30, en même temps que mon mari, alors ne faites pas de bêtises *clin d'oeil*.

Je hausse la voix afin que Mme Bakugo m'entende de l'entrée.

Izu : Ne vous inquiéter Madame-

Mitsu : rooh, je t'ai vu naître alors appelles moi Mitsuki s'il te plais. - dit elle tout en saisissant son manteau se trouvant sur une chaise de la salle à manger.

Izu : Oh euh - je rougis - d'accord... Mitsuki. En tout cas nous serons sages, ne vous inquiétez p-

Kacchan s'appuie sur la table de ses main crispier, se lève rapidement, puis se dirige promptement, tel un taureau en furie dans le couloir afin de voir sa mère partir.

Or, comme vous pouvez vous en douter, je suis attiré à lui contre mon grés, destiné à le suivre jusqu'à la fin de la semaine.

L'explosif s'est levé si rapidement que je n'ai pas réussis à le suivre dans ses mouvement, et maintenant mon bras est tiré violemment et avec force contre lui.

Je sens mon poignet près à se disloquer, mon bras se tordre légèrement et la peau du dos de ma main près à se déchiré.



Bon j'éxagere peu être « un peu »... mais je vous assure que ça fais vraiment mal !

Izu : Aï aï Kacchan, arrêtes de tirer !

Cette semaine va être longue...

Kats : BON CASSES TOI LA VIEILLE !! Va faire mumuse à ton travail inutil et laisse nous tranquille avec tes sermons de merde !

Izu : Aï aï aï...

Je frotte mon bras, et surtout mon poignet, comme si j'allais faire partir la douleur ainsi.

Je ne relève pas la tête mais entend la porte de la maison claquer dans un grand fracas. On aurait dis que le mur avant de la maison allait s'effondrer.

Je suppose que Mme Baku-... Mitsuki, est partie.

Izu : Aï... mon pauvre bras... snif

kats : Tch, c'te vielle...

Je continu de gémir de douleur. Il me jette alors un regard noir.

Kats : Oi Deku, t'as quoi encore ?!

Est ce que je me permet de lui faire une remarque afin de me plaindre ou est ce que je me tais ? Il est vraiment de mauvaise humeur aujourd'hui, et je n'ai pas aidé à améliorer la situation...

si ma réflexion sur sa brutalité, qui est son caractère, lui déplaît je vais sûrement me prendre une explosion en pleine face.

Kats : Ne pas me répondre m'énerve plus qu'une de tes remarques de merde ! Alors craches le morceau !

Je le regarde, étonné. Est ce qu'il lis dans mes pensées ?! Aurait-il acquérit un seconde alter de télépathie ? Comment est ce possible ? Je devrai faire quelques recherches à ce sujet... ça serait une grande avancée dans le monde des héros !

Son regard devient alors encore plus noir qu'il ne l'était déjà. Je crois qu'il est vraiment énervé cette fois-ci... enfin nan, je ne crois pas, j'en suis sûre.

Kats : NON JE NE LIS PAS DANS LES PENSÉES STUPIDE NERD !!!

Il va se rassoir et tire encore plus violemment sur mon bras que lorsqu'il s'est levé. Arrivé devant la chaise, il se laisse lourdement tombé et laisse échapper un long et profond soupire.



Toujours ce même soupire qui me met mal à l'aise...


Je m'assois à côté de lui, à ma place d'avant. J'aimerai m'éloigner de lui, de cette boule de colère, mais bien évidement son bras me retiens...

Il me regarde droit dans les yeux. Je plonge alors dans son regard carmin que j'aime tant, et qui m'a tant réconforter lorsque nous étions enfants.

Kats : Je te connais juste par cœur. T'es trop simple à comprendre...

Je souri légèrement. C'est vrai que comparé à toi...

Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il se passe dans ta tête. Un mystère. Ou plutôt un casse tête. Je crois que le seul moment où j'arrivais à te comprendre, Kacchan, c'était lorsqu'on était petits. C'était si simple. Tout était si simple. L'innocence des enfants...

Je compte bien profiter de cette semaine pour te comprendre, mon Kacchan.

Kats : Oi

Izu : hm ?

kats : Tu parle à voix haute... stupide nerd.

Q-Q-Quoi ?! D'où je parle a haute voix ?! Nan nan nan je parlais bien dans ma tête ! Je...je...je... raaaaah ! Mais je suis con moi ! C'est pas possible.

Je pose ma tête contre la table et l'entoure de mes bras, en tirant sur celui de katsuki, afin qu'il ne remarque pas ma gêne. Sa main, étant collée à la mienne, se retrouve donc au-dessus de ma tête.

Ses doigts se faufilent alors dans mes cheveux verts bouclés, faisant de petits et légers ronds.

Kacchan est doux...





trop doux, c'est étrange.
Ça ne lui ressemble pas.
comment se fait il qu'il soit aussi doux avec moi ? Déjà à la fête d'hier soir, puis là. En ma présence, il contient sa colère, a des gestes attentionnés dédiés à ma personne, et a un regard nostalgique, et légèrement triste encré sur son visage. Pourquoi a-t-il eu
un changement de comportement aussi radical, et si soudainement ?




Peut être veut - il retisser nos liens d'amitié d'antan ?!

Ça serait merveilleux !



Ahah, il faut vraiment que j'arrête de le faire de fausses idées ! Trop d'espoir, tue l'espoir.



Espérer que Katsuki, le Katsuki Bakugo, veule recoller les morceaux de notre amitié, détruite par ses soins, serait trop beau pour être vrai...


Je suppose, qu'il me considère plutôt comme son nouveau jouet...
Enfin « nouveau », plutôt un ancien jouet qu'il vient de retrouver.









Je ne sais pas...















Je n'en sais rien...















Je ne sais plus...








Mon cœur bat de plus en plus vite, je commence à avoir chaud, vraiment chaud.


J'étouffe.


Je crois que je vient seulement de prendre conscience de la situation actuelle dans laquelle je me suis empêtré. Jusqu'à peu, je considérai Kacchan comme un rival, et ancien harceleur.
Mais là, je ne sais plus...

Je crois bien que ce con, a réussis à raviver des sentiments enfouis en moi...

Des sentiments que je me refusais.

Le protagoniste en question, ou plutôt le problème en question, toujours les doigts empêtrés dans ma tignasse, laisse échapper un long soupire de fatigue. Mais pas vraiment de la fatigue physique à proprement parlé, ce soupire sonne plus comme s'il était fatigué de moi, de mon comportement.

Kats : Bon allé, déjeune sinon il sera trop tard. - me dit il avec un ton exaspéré, tout en se servant des céréales et du lait d'un seule main, l'autre toujours dans mes cheveux.

Ma jambe gauche, celle se trouvant vers l'explosif, commence a légèrement trembler.

Je suis épris d'autant de stresse que la première fois ou j'ai rencontrer mon idole, All Might.

La main libre de Kacchan se pose délicatement sur la jambe tremblante, afin de me calmer.

Kats : Hey, qu'est ce qu'il y'a ? Tu ne te sens pas bien ? T'es malade, ou est ce que ta tete te fait encore mal ?

Ma main collée à la sienne arrêtes d'entourer ma tête, afin de dégager celle du blond de ma cuisse.

Je relève la tête, une expression de colère et de sévérité encrée sur mon visage. Cependant, cette expression sévère ne sert qu'à cacher ma tristesse.

Mes yeux plongent alors dans les siens, le fusillant du regard.

Izu : POURQUOI ?! Pourquoi tant d'attention à mon égard ? Tant de douceur ? De retenue ? Je ne comprend pas... je suis perdu...

kats : Je... euh...

Izu : Expliques moi !!

Il baisse la tête et regarde le sol dans le coin de la pièce.

Kats : Il n'y a rien a expliqu-

Ma voix déraille, à bout de souffle. Je suffoque. Mes cordes vocales se déploient, malgré ma conscience, dans un dernier souffle de douleur.

Izu : Est ce que je suis un jouet pour toi, Kacchan ?!










********************************************
Wow
C'est un long chapitre, pour une fois...

Ça fait quelques chapitres ou c'est assez calme. Mais les prochains qui vont être publiés seront plus mouvementés.

Hehe

Kissou kissou et merci de lire ma fic ^^

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