40 - Chapitre.
- Sonia : D'a... d'accord.
- : Je veux que tu l'appelle maintenant, dis lui que tu vas le quitter. Tiens, prends mon téléphone. Envoie lui un message vocal.
Elle hésite puis finit par le prendre avec quelques larmes prête à couler.
- : Euh... C'est Sonia... désolé... Bilel, c'est finit entre toi et moi...
Elle envoie le message vocale.
- : Merci.
Elle était mal, en réalité j'avais envoyé le message vocale à moi même. Tout ceci n'était pas réelle. J'ai quand même un cœur, je ne suis pas ce genre de fille qui détruit des couples, encore moins celui de mon frère et de ma sœur de cœur. Ce qu'elle avait fait, était la preuve de notre amitié. Elle était sincère. Je la prend dans mes bras en versant quelque larmes de joie tandis qu'elle pleurait.
- : Sonia, tu sais je ne suis pas un monstre. Ce message, était envoyé pour moi. Je ne veux pas que tu quitte Bilel. Si c'est sérieux entre vous deux, je ne vais pas m'opposer à votre relation. Ce que tu as fait, là, c'est la preuve de ta sincérité. Je te pardonne ma chérie, oublions toute cette histoire Sonia. Tu as assez souffert par ma faute, je t'ai fait assez attendre hbiba.
- Sonia : C'est vrai ?
- : Bien sûr que c'est vrai Sonia, tu crois que je suis une meuf sans cœur ou quoi ?
- Sonia : Merci, w'Allah merci Neyla...
- : Ne me remercie pas, c'est rien.
Je la regarde dans les yeux.
- : On oublie tout ?
- Sonia : Oui, tout.
- : Tu m'a manqué bagra, je veux plus que tu me cache des choses.
- Sonia : Toi aussi w'Allah... Non plus jamais.
Et voilà comment nous sommes réconcilié. J'avais passé la fin de journée avec elle. Nous avions rattrapé tout le perdu. J'étais hyper heureuse de l'avoir enfin retrouvé et elle également.
( ... )
J'ai enfin finit de dîner, avec Sonia. Je lui avait proposé de resté dormir à la maison, et elle avait accepté sans hésitation. Je lavais la vaisselle avec elle quand je reçois un appel de Youssef. Je m'essuie les mains pour lui répondre.
- : Allo ?
- Youssef : Ouais ûkhty c'est moi.
- : Je sais que c'est toi mddr.
- Youssef : Ta gueule, bref cette après-midi avec Safiyah ?
- : Je l'ai tout de suite kiffer. On est allé prier al salat al jumu'ua. Ensuite elle m'avait laissé le choix, donc on s'est dans un parc tranquillement. On a discuté, c'est une femme en or. C'est une perle w'Allah. Je veux que te prenne soins d'elle. Elle est encore fragile malgré qu'elle est plus grande que moi.
- Youssef : Je savais que t'allais la kiffer. Je l'ai téléphoner elle m'a dit la même chose.
- : Et c'est quand que tu vas la présenté à papa et maman ?
- Youssef : Elle m'a dit qu'elle voulait les voir dans une semaine, histoire d'être psychologiquement, zehma.
- : Super j'ai hâte moi.
- Youssef : La même, j'espère que les darons vont bien l'aimer.
- : C'est sûr, j'en doute pas une seconde.
- Youssef : Ouais as-y je te laisse sœurette.
- : Bisous mon frère.
Je décroche et je vais finir de laver ma vaisselle avec Sonia. Après avoir terminé de ranger la cuisine, Sonia et moi avions regardé un film d'amour. Puis j'avais reçu un appel avec Younes. Il me manquait vraiment, mais je commençais à prendre l'habitude. J'étais entrain de lui parler quand je m'aperçois que nous discutions depuis maintenant plus d'une heure.
- : C'est pas que je t'aime pas Younes mais je dois te laisser. J'ai laissé Sonia solo, miskina.
- Younes : Ah donc tu m'aime ?
- : Rohh t'as retenue que ça dans l'histoire.
- Younes : Je te taquine mongole.
- : C'est toi le mongol.
- Younes : Ouais c'est ça, c'est ça. As-y bonne nuit bagra.
- : Bonne nuit Younes. Rêve bien de moi.
- Younes : Bien sûr.
Il décroche, je rejoins Sonia dans le salon.
- : Désolé sah avec Younes, on a pas vu le temps passé.
- Sonia : Tranquille c'est rien wesh vas-y viens ils vont s'embrasser là.
- : Ohh hella.
Je m'allonge près d'elle et nous finissons le film, à deux.
( ... )
Depuis maintenant deux semaines, Younes était en Espagne. Il commençait à sérieusement me manquer. De plus depuis maintenant quatre jours, il ne m'apellait plus, étrangement. Je commençais à m'inquiéter mais tout le monde me disait que je me faisais des films.
Pour ce qui concernait Safiyah mes parents ont préféré attendre le retour de Younes pour faire la rencontre. Elle et moi, parlions souvent en message. Je l'appréciais vraiment. Du côté de Nesrine je ne lui parlait plus depuis l'autre fois. Bilel et Sonia allaient bien. Je commençais à m'habituer de les voir ensemble, malgré qu'au début ça me faisait bizarre de les voir ainsi. Mes parents vont également bien et ceux de Younes aussi el hamdûlillah. Farah et Jafar aussi, on s'était vu deux fois depuis, Aminata n'avait pas vraiment le temps elle révisait, mais dès qu'elle avait l'occasion elle venait me voir. Shana me parlait de temps à autre en message, en ce moment elle était trop occupé, à trouver un petit boulot.
Aujourd'hui j'étais de bonne humeur. J'étais entrain de navigué sur internet quand mon téléphone sonnait un appel de ma belle mère. Je lui répond très rapidement.
- khelti Nora : KHALED WELD EL HRAM VIENT M'AIDER KELB ! ALLO ?
- : Selem aleykûm, lebess ?
- : Aleykûm selem, oui ça va benthi et toi ?
- : Comme d'habitude...
- khelti Nora : Ça ne va pas ?
- : Si, si ça va très bien !
- khelti Nora : T'ES ENCEINTE ?
Je pouffe de rire.
- : Mais non khelti je suis pas enceinte pourquoi ?
- khelti Nora : Je sais pas t'es bizarre.
- : Bref,kheli Ahmed va bien ?
- khelti Nora : Oui il va bien el hamdûlillah.
( ... )
Farah voulait absolument que je passe chez elle. Apparemment elle voulait me dire "un truc important". Hassoul je ne me fais pas prier, j'enfile des vêtements plus adaptée et je monte chez elle. Elle m'ouvre toute souriante.
- : Selem aleykûm.
- Farah : Aleykûm selem entre hbiba !
Elle m'installe dans son salon en m'apportant de la boisson et de quoi manger.
- : Alors ? C'est quoi le truc important ?
Questionnai-je curieuse.
- Farah : Attends j'arrive...
Elle court vers sa chambre en revient avec quelque chose à la main. Je ne pouvais pas voir ce dont il s'agissait puisqu'elle cachait son objet derrière son dos, à l'aide de ses deux mains.
- : T'as quoi dans les mains hafrita ?
Elle me lâche un sourire de plus en plus large et elle finit par me montré, fièrement, six test de grossesses positives. Je lui saute dans les bras, heureuse de l'apprendre enceinte.
- : YOUYOUYOUYOYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUYOUOUYOUYOUYOUYOU ! MABROUK OUKHTY !
- Farah : JE VAIS DEVENIR MAMAN...
- : Je suis trop contente w'Allah. C'est pas une de tes blagues pourries ?
- Farah : Si, c'est vrai. Mais attends comment je vais le dire à Moussa ?
- : Je sais pas franchement. Invite le au restaurant et tu lui dira.
- Farah : Ouais, je l'inviterais. Mais je vais faire une prise de sang, imagine je suis pas enceinte ?
- : Mais non t'es enceinte, t'as fait six tests de grossesses et ils sont tous positives.
- Farah : Quand même, j'ai envie d'être sûre.
Elle se met à pleuré. J'étais outrée de la voir dans cet état. Des larmes de joie, sûrement.
- : J'espère que c'est des larmes de joie hbiba.
- Farah : J'ai honte Neyla...
- : Honte de quoi ma belle ? T'es enceinte c'est grave bien, en plus dans le hlel.
- Farah : Il me manque trop.
- : Hein ? Qui te manque ?
- Farah : Hamza... Je veux le voir...
- : C'est qui Hamza ?
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Selem aleykûm mes chéries d'amours que j'aime, ou pas. Vous allez comment ?
J'espère que ce chapitre vous a plut, laissez vos avis et votez. Ça fait toujours plaisir, et c'est encourageant. A votre avis qui peut être Hamza ?
Préparez-vous les filles, le prochain chapitre sera aussi piquant que de l'Harissa...
Hahahahaha.
Je vous fait de gros bisous bande d'Harisettes brûlantes.
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