36 - Chapitre.
Je lâche un petit cri de douleur.
- Younes : Qu'est-ce que t'as wesh ?
- : Putain, tout ça c'est de ta faute hagoune. J'me suis pris un bout de verre dans le pied.
- Younes : Ah smehli... Ça va ?
- : Lebess, je vais me soigner.
- Younes : Attends je t'aides.
Nous allons dans la salle de bain. Je m'assois sur le rebord de la baignoire. Et je me laisse soigné par Younes. Il faisait très attention à ma plaie et je vous avoue que ça ne me déplaisait pas, pas du tout même. Une fois finit, il me tire vers le salon.
- Younes : Bon maintenant ramasse les bouts de verre.
What ?
- : T'es pas sérieux là ?
- Younes : Mais je rigole batata.
- : Pff...
Il ramasse les bouts de verre et nous sommes parti dormir.
( ... )
Depuis maintenant un moi tout allait bien. Durant ce moi, Kenza et Aymen sont sorti entre eux, trois fois. D'après Kenza ils font connaissance. J'espère que ce sera du sérieux, j'étais très contente pour elle. Elle avait l'air follement amoureuse de lui. Avec Hymène je me suis beaucoup rapproché, je l'aime trop cette femme. Elle est toujours là pour moi, pour me soutenir. J'aime beaucoup parler avec elle, sa maturité, sa façon de penser. Toutes ces petites choses me pousse à lui faire confiance, encore plus chaque jours. Avec Younes, nous sommes également parti dîner chez eux. Son ventre commençait vraiment à prendre forme. Elle était enchanté. Du côté de ma famille, ils allaient tous bien. Nesrine s'était calmé et c'était bien mieux comme ça. Avec Aliyah et Aminata nous nos voyons très souvent, elles vont très bien. Le voyage d'Aliyah en Algérie approchait à grand pas. Et Aminata révisait beaucoup. Pour ce qui concernait Sonia, elle avait tenté de me parlé une fois. Mais je l'avais rejeté, quand je l'avais vu j'avais qu'une seule envie, la prendre dans mes bras. Mais j'avais cette rancœur au fond de moi qui me poussait à la rejeter. Et enfin, Younes et moi nous sommes beaucoup rapproché. Mais ce n'est pas pour autant que nous avons consommer notre mariage. Ce n'était plus des sentiments que j'éprouvais pour lui, mais c'était plutôt de l'amour. Chaque jour cette amour là s'intensifiait, s'agrandissait.
Younes jouait à la play, pendant que je lisais une chronique sur un mariage forcé. Ça me faisait rappeler mon mariage. C'est fou ce que cette histoire là m'avait marqué, j'avais l'impression de vivre la même chose. Sauf que mon mari ne me battait pas et ne me violer pas contrairement celui de la chronique.
- : Younes ?
- Younes : Oui ?
- : Je suis fatiguée.
- Younes : Viens dormir dans mes bras.
- : J'arrive.
Je m'allonge sur lui, enroulant mes bras autour de son cou et en posant ma tête sur son torse. Je ferme les yeux et je finis par m'endormir.
( ... )
Je venais tout juste de me réveillé par les bruits de Younes.
- : Younes ?
- Younes : Oui ?
- : Lebess ?
- Younes : Bah oui, pourquoi ?
- : Comme ça. Dis t'as pas eu des nouvelle d'Adama ?
- Younes Je sais pas w'Allah. Il a disparu ce fils de pute.
- : Mhh... Alors l'Espagne ?
- Younes : Bientôt in sha Allah.
- : In sha Allah. Fais attention là bas et belek tu vas voir des meuf je te tue !
- Younes : T'es jalouse.
- : N'importe quoi...
Il me tire les joue fortement, mais qu'est-ce que ça faisait mal.
- Younes : J'ai trop envie de te mordre les joues.
- : Non, ça ira.
Il me mord la joue en rigolant.
- : Aiie méchant !
- Younes : Je kiffe te faire ça.
- : Ouais, mais ça fait mal Younes.
- Younes : Ont passent la journée ensemble ?
- : Saha.
- Younes : Tu m'a jamais fais de gâteau, tu m'en fait un ?
- : Si tu m'aide oui.
- Younes : Je suis pas un zemel pour faire un gâteau moi.
- : N'importe quoi les hommes. Tant pis pour toi.
( ... )
- : Tu fais ce que je te dis saha ?
- Younes : Tu veux je fais le soumis belek ?
- : Mais non, bref, premièrement on se lave les mains.
Nous nous lavons les mains, Younes et moi. J'enfile mon tablier.
- : Tu mets pas de tablier ?
- : Non c'est pour les pédé wesh.
- : Les tabliers, c'est comme les tong c'est pour toutes les espèces.
- Younes : Je suis pas une espèce moi.
- : Comme tu veux, je dis ça pour pas que tu te salisse. Mais bon, comme Younes ****** n'est pas un pédé. Il ne va pas en mettre !
- Younes : Ouais ouais, ont fait quoi maintenant ?
- : Prends un saladier hefeck.
Il me tends un saladier qui se trouvait dans une étagère.
- Younes : Tiens.
- : Merci, bon maintenant on sépare les blancs et les jaunes d'œufs.
( ... )
Younes me lance une poignée de farine sur les cheveux.
- Younes : Voilà t'es toute belle comme ça.
- : Mais Younes pas de farine dans les cheveux !
Il m'en met sur le nez.
- Younes : Bah sur le nez alors ?
Je prends une grosse poignée de farine et la lance en pleine face. Il casse un œuf sur mon front. Je prends le peu de chocolat qui restait pour lui en mettre sur son T-Shirt. Il retire son T-Shirt, en me lançant son haut salit par le chocolat en pleine face. Je lui beurre son visage. Et ça s'est terminé en bataille de nourriture. Ont ressemblaient à... Bah à rien tout simplement. Nous finissons la préparation du gâteau pour le cuire au four.
- : Bon vas te doucher hmar !
- Younes : Tu veux m'accompagné ?
Me questionna t-il d'un air pervers.
- : Les rêves c'est la nuit.
- Younes : Bah soir-ce alors ?
- : L'espoir fait vivre Younes.
- Younes : Ouais ouais, as-y j'vais me lavé.
( ... )
Il avait enfin finit avec la salle de bain. J'y entre en me déshabillant. Je me brosse les cheveux et j'entre sous la douche. Je me shampouine la chevelure doucement, et je me mets à appliquer mes huiles essentiels. J'ouvre l'eau et la laisse couler le long de mon corps en fermant les yeux.
( ... )
J'ai enfin fini mon long bain. Je saisis une longue serviette pour l'entourer autours de ma poitrine et je vais dans ma chambre. Je cherchais des sous-vêtements quand je sentais des grosses mains se positionner sur ma taille. C'était bien évidement Younes, il me retourne en me regardant droit dans les yeux. C'était la première fois de toute ma vie que j'affrontais son regard. Son regard noir, sombre, glacial. Ses yeux noir perçants m'hypnotisait, j'avais l'impression que ça ne s'arrêter plus. Waouh. Ses yeux, juste magnifiques. A travers son regard, je pouvais lire du désir. Je ne saurais pas vous expliquer, une lueur indescriptible. Il pose ses lèvres sucrés sur les miennes. On pouvait entendre seulement nos souffles s'entremêler. Pour une fois, je réponds à son baiser, je pose une main sur son torse et la seconde sur ses cheveux. J'en avais énormément besoin de ce baiser, ce baiser dangereux. Il commençait à me baiser les lèvres sauvagement. J'ai toute suite compris son attention. Je décolle mes lèvres des siennes doucement.
- : Smehli, je peux pas...
- Younes : Non c'est moi je me suis emporté.
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Selem aleykûm les filles. Comment ça va ?
J'espère que ce chapitre vous a plut. Quels sont vos impressions ? Dîtes moi tout en commentaire.
A votre avis comment sera l'ambiance entre Neyla et Younes après ce baiser ?
Je tenais à vous informer que je faisais, sur mon RantBook une FAQ. (c'est une foire aux questions) donc si vous avez des questions à me poser c'est le moment ou jamais. Toutes les têtes curieuses, posez-moi toutes les questions que vous voulez, sur la chronique ou bien sur moi. J'y répondrai en vous identifiant. Si vous avez des questions posez les soit par commentaire sur mon RantBook ou bien par message privé.
Sur ceux je vous fait d'énormes bisous sur vos joues.
Love love mes Harisettes.
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